Arene de Parentis-en-Born. Pratiquement plein. Six novillos de José Cruz
Aarón Palacio : une oreille et une oreille
El Mene : une oreille et deux oreilles
Javier Zulueta : une oreille et une oreille
Cette novillada a régalé les spectateurs nombreux dans les gradins. Les novillos ont donné du jeu et les novilleros en ont profité pour offrir du spectacle chacun dans son registre. Aarón Palacio un cran vraiment au dessus de ses compagnons. Alors, oui, chaque novillo n’a pris qu’une pique mais en poussant pour certain d’entre eux. Ils étaient tous bien présentés, le dernier était un vrai taureau de corrida. Ils ont montré parfois de la faiblesse mais ont récupéré au dernier tier pour permettre aux novilleros de s’exprimer. Le ganadero a envoyé un lot pour triompher et les hommes ont assuré. Il a manqué par moment le grand frisson et l’émotion indescriptible (mais c’est tellement rare..) Ne boudons pas notre plaisir en coupant le cheveux en quatre et profitons de ces moments dont l’aficion et la tauromachie a besoin. Bravo aux organisateurs des novilladas de Parentis-en-Born.
La feria de Sen Bertomiu 2025 a commencé hier, et ce samedi marque l’entrée en scène des novilladas piquées. À l’affiche, les novillos de Los Maños, issus de l’encaste Santa Coloma, promettent une après-midi exigeante. Trois jeunes toreros composent le cartel : Nino Julian, récent triomphateur à Orthez face aux Aguadulce, Cid de Maria, remarqué dimanche dernier à Hagetmau, et Pedro Luis, qui complète ce trio prometteur.
En cette journée taurine, une pensée particulière est adressée à Christian Ernandoréna, ancien maire de Parentis-en-Born, dont l’engagement et la vision ont permis aux Parentissois de profiter aujourd’hui de cette arène couverte, véritable écrin pour la tauromachie avec des applaudissements avant le paseo
Président Denis Labarthe. Public lleno. Metéo : soirée Estivale. Musique Société musicale de Parentis. Cavalerie Bonijol 10 piques
Nino Julian une oreille / une oreille et vuelta pour le novillo
Maurrin, la Peña Toro Cardeño avec les bénévoles investis dans l’organisation de la novillada poursuivent leur engagement avec rigueur. Comme les années précédentes, l’élevage local de la Ganaderia Alma Serena, récemment distingué dans les arènes d’Hagetmau est present lors de l’événement. Les becerros sont affrontés par Pablo Hernandez de l’école Adour Aficion, Leo Pallatier, El Mosti ainsi que Clovis Germain, actuellement en tête de l’Escalafon des novilladas sans picador.
Leo Pallatier vuelta et avis.
Pablo Hernandez Oreille prix de l’acoso et uctl
El Mosti Avis et silence
Clovis Germain deux oreilles et vuelta prix de l’acoso
Seconde novillada aujourd’hui à Hagetmau, après le beau moment vécu la veille. Cette fois, la commission offre au public l’opportunité de découvrir la ganadería San Isidro, d’origine Marquis Domecq. Face à ces novillos prometteurs, trois jeunes talents en pleine ascension : Cid de María, El Mene et Julio Méndez. Une journée placée sous le signe de la bravoure et de la découverte.
Président : Pascal Darquie. Public 3/5. Méteo soleil et chaleur estivale. Musique Harmonie de Hagetmau. Cavalerie Bonijol : 10 rencontres.
Aujourd’hui commence la feria du novillo dans le cadre des fêtes d’Hagetmau, avec une novillada non piquée 100 % française. Le bétail provient de la Ganadería Alma Serena, un élevage local situé dans le même département, garantissant une proximité et une authenticité qui font la fierté de l’afición. Le cartel réunit trois jeunes espoirs aux styles bien distincts :
Léo Pallatier, remarqué récemment à Captieux lors de la matinale, Matías, que l’on a vu dans le Sud-Ouest pendant les qualifications du Bolsín de Bougue et Clovis, qui enchaîne les triomphes sur de nombreuses arènes. Chacun apporte sa personnalité et sa vision du toreo.
President Matis Courrelonge. Public : 1/3 d’arène.Meteo : Soleil musique Harmonie de Hagetmau
Leo Pallatier 2 avis silence.
Matias oreille; qualifié: oreille et vuelta prix acoso
Clovis Germain 2 oreilles; qualifié: silence et 2 avis prix acoso
Samedi 2 août : Journée 100 % française La journée débutera avec une novillada non piquée portée par la ganadería locale Alama Serena, une véritable vitrine de l’élevage français. Trois espoirs nationaux fouleront le sable :
Léo Pallatier, au style andalou qui évoque la grâce sévillane
Hugo Tarbelli, enfant du pays, prêt à conquérir son public
Au cœur verdoyant de la Gascogne, Plaisance du Gers accueille avec passion sa traditionnelle novillada non piquée, rendez-vous attendu de l’afición locale. Cette année, le cartel promet une après-midi vibrante, portée par des talents émergents. Clovis Germain, vainqueur du Bolsín de Bougue et triomphateur sur bien des ruedos, affrontera deux jeunes toreros prometteurs : David Guttierez, bien connu dans le Sud-Ouest, et Fernando Vanegas, aperçu notamment à Arzacq lors de l’ouverture de la temporada.
Rugby et toros, deuxième jour. Après le rugby d’hier, place à la tauromachie avec l’encierro des pitchouns et la novillada non piquée en matinée. La ganadería de La Espera est un pilier des arènes Jean Sango.
. Léo Pallatier, remarqué l’an dernier malgré une réussite mitigée à Bougue, retrouve Captieux. Face à lui, Clovis Germain, vainqueur de Bougue et triomphant sur de nombreuses plazas.
President : Mathys Courregelongue Dupeyré
Public 60 %
Meteo : Sous les nuages
Musique : Les Armagnacs
Leo Pallatier Avis et Silence
Clovis Germain une oreille et vuelta /une oreille Prix de l’Acoso
Le lot présenté à Captieux par la Ganaderia La Espera est homogène pour les deux premiers, tandis que le troisième se distingue par un trapío plus marqué. L’ensemble offre une belle présentation. Le comportement est typé encaste et le second a reçu un panuelo bleu.
Leo Palatier
Le novillero accueille avec une larga. Sa faena est marquée par l’alegría et la détermination, suscitant les applaudissements en réponse au quite de Clovis. Il entame sa série avec des doblones sous les encouragements du public. La série de naturelles est exécutée proprement, et la faena gagne en intensité, à l’image de la musique des Armagnacs. Il conclut par un pinchazo bajonazo et contraire.
Clovis Germain
La faena à la cape, propre mais manquant de douceur, est marquée par un joli véronique sur un quite de Leo. La pose des banderilles par Clovis est saluée par le public. À la muleta, il débute plein centre, cite le becerro de loin, avec des muletazos profonds, une domination légèrement brusque. Une série de luquesinas précède un recibir, mais à trasera. Le becerro est applaudi à l’arrastre.
Le troisième becerro encasté charge plus court. Le novillero peine à dominer à la cape, mais la pose des banderilles est régulière. Clovis entame une faena classique, les premières passes à droite sont sur le passage, puis il se croise. Le becerro se montre plus exigeant, le public encourage le novillero. Sa ténacité s’exprime face à la bête, il n’insiste pas sur les naturelles. Cette fois-ci, le recibir est réussi.