Les cartels de Madrid sont désormais officiels; ils ont été présentés hier et sont conformes à ce que nous avions annoncé https://corridasi.com/?s=madrid avec en prime la présentation de Marco Pérez en matinale le jour de la San Isidro. Suivre la cérémonie avec ce lien:
En présentant ces cartels Simon Casas a déclaré: “Nous avons travaillé pour engager toutes les figuras et les meilleurs élevages, pour favoriser l’émergence de toreros émergents, pour être créatifs dans notre programmation, le tout dans le but de motiver la jeunesse et de protéger la culture taurine”.
Les droits télé ont été cédé à “One toro” pour 3 ans en remplacement de Movistar dont l’avenir est compromis. Télémadrid télévisera 14 corridas dont la goyesque. Nous reviendrons sur cette couverture télé inédite et cruciale pour l’avenir de la tauromachie.
Cher.e.s ami.e.s signataires de l’appel citoyen contre l’interdiction de la tauromachie,
Nous sommes déjà fin janvier et l’année 2023 s’annonce combattive. Après la première tentative avortée, un nouveau projet de loi a été déposé par plus de cent députés qui sera donc examiné dans l’année qui vient en séance plénière de l’Assemblée nationale. Cette année commence aussi par une nouvelle attaque contre les cultures taurines, puisque c’est maintenant le mode d’élevage, de travail et de spectacle camarguais qui vient d’être mis en accusation.
Nous sommes aujourd’hui 3083 signataires. L’ensemble que nous formons est formidable de diversité et d’humanité, les valeurs qu’il porte se lisent dans les noms, fonctions et lieux de vie, et par familles entières. Pour tout observateur, il représente très bien la vitalité et la force du sentiment taurin en France, et prouve qu’il ne s’agit pas de sadisme ou de cruauté, mais d’amour de l’animal et de ce qui fait société : le partage d’une culture et de convictions ou croyances communes. Réunis, nous formons une ressource importante pour l’avenir, par toutes nos vies et compétences rassemblées.
Mais ce n’est que le début.
Le peuple du taureaux fait front. De nombreuses rencontres et initiatives publiques s’organisent dans toute la France, des regroupements de clubs taurins naissent, l’association pour la reconnaissance de la Bouvine au patrimoine de l’humanité par l’Unesco va déposer son dossier. Et le samedi 11 février à 11 heures, un grand rassemblement est prévu à Montpellier sur la place de la Comédie, à l’appel de toutes les associations de la Bouvine. Le Salon de l’Agriculture à Paris, du 25 février au 5 mars, sera également un temps fort pédagogique et médiatique, où seront présents éleveurs, raseteurs, professionnels et matadors de toros.
Soyons innombrables pour manifester à Montpellier. Consacrons les mois qui viennent à continuer faire signer et circuler cet appel, pour rassembler encore. Soyons six mille, soyons dix mille et nous témoignerons et pèserons plus fort.
Nous vous rappelons que pour signer l’appel, il suffit d’envoyer son soutien et son NOM / PRENOM / FONCTION-PROFESSION / CODE POSTAL À <contreinterdictiontauromachie@gmail.com>. Les signatures sont régulièrement actualisées et consultable en cliquant ici
Nous nous proposons, sauf demande contraire de votre part, de vous informer régulièrement des différentes actions et actualités de l’aficion contre cette proposition, de contribuer à créer du lien à notre échelle.
Merci de toutes vos marques de soutien et de vos suggestions,
Le cartel de la féria de Séville 2023 a été présenté par le teniente mayor dans le salon de Carteles de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla. C’est une oeuvre signée du grand architecte britannique Norman Foster. Comme chaque année, elle fait l’objet de controverses féroces. Chacun jugera…
Traditionnel cycle de novilladas dans la deuxième arène d’Aguascalientes, Sans Marcos, avant la féria la plus importante d’Amérique Latine. On le voit la cantera mexicaine est fournie:
Dimanche 19 févrie 17:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de Real de Saltillo: Rafael Reynoso, Rafael Soriano, Juan Pedro Herrera, Enrique de Ayala, Juan del Castillo et Lázaro Rodríguez.
Samedi 25 février 17:00 hrs.- 6 Novillos para el concurso de ganaderías, (Corlomé, Castorena, Rosas Viejas, Arellano Hermanos, Santa Inés y Campo Real): Jesús Sosa, Emiliano Robledo et Luis Ángel Garza.
Dimanche 05 mars 17:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de Barralva para los Novilleros José Miguel Arellano, Cristian Antar y Alberto Ortega.
Dimanche 12 mars 17:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de Monte Caldera ; Daniel Prieto, Bruno Aloi , Andrés García.
Dimanche 19 mars 17:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de El Grullo : Juan Querencia, César Pacheco , César Fernández.
Dimanche 26 mars 17:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de San Felipe Torres Mochas Pedro Bilbao, Julián Garibay y Rubén Núñez.
Dimanche 02 avril 17:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de El Greco pour Alejandro Moreno, Jorge Esparza, Enrique Melchor, “El Solito”, Antonio Magaña y Manuel González.
Dimanche 09 avril 17:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de Castorena pour Eduardo Neyra, Joel Castañeda et Emiliano Osornio.
Vendredi 15 avril 20:00 hrs.- 6 Novillos de la ganadería de La Alejandría pour Hidalgo García, Fernando Vásquez, Sebastián Soriano, Diego Garmendia, Tomás Alejandro, Carlos Luevano.
Réservez votre abonnement avant le 31 mars pour profiter de nombreux avantages : – 10% de remise – Participation à notre jeu-concours pour gagner une contre-piste – Possibilité de payer en 3 fois sans frais – Entrée OFFERTE pour les spectacles en soirée des 12, 13 et 14 août
Et toujours : – Entrée OFFERTE pour les 2 novilladas sans picador
Cinéaste et aficionado l’orthézien Yves Pétriat a fait de ces deux passions son métier à force de persévérance et courage. Il préfère aux ors de la télévision le dialogue avec les spectateurs, signe d’une empathie avec les gens. C’est ainsi qu’il a pris une place originale dans le monde du documentaire où pourtant il est difficile de se faire un nom. Yves va présenter son dernier film sur l’Espagne au cinéma le Pixel à Orthez dans quelques jours après avoir montré aux aficionados sa réalisation sur le solo de Daniel Luque à Dax dans le cadre du club taurin Los Maletillas d’Orthez.
Il nous dit comment il est venu au cinéma :
«-J’avais douze ans le père noël m’a apporté une caméra vidéo et cela m’a plu : j’ai fait des choses maladroites mais j’ai aimé faire des montages. J’avais donc le gusanillo de la réalisation. Un jour, en 2007, j’ai décidé de faire de cette passion mon métier. Aimant rencontrer des gens, de partager avec eux, j’ai voulu faire des films avec des commentaires. Comme cela se faisait à Connaissance du Monde ; à 18 ans je suis allé à une séance et je me suis dit je prendrai la place de ce monsieur et c’est ce qui s’est passé. C’est une trajectoire de vie ; une philosophie de vie. J’ai donc réalisé notamment des documentaires sur le Tunisie, la Camargue, la Gascogne et le dernier sur l’Espagne. Je partage la vie des gens et j’essaie de trouver des choses qui sont derrière le rideau…
-As-tu évité la tauromachie dans ce film ?
-Je ne l’ai pas éludée : je suis aficionado et je ne renie pas ce que je suis. L’Espagne que je propose, je pourrai dire mon Espagne, car en 70 minutes on ne peut pas tout dire, il y a une séquence assez longue sur la tauromachie. C’est la tauromachie de « derrière le rideau ». Je me mets à la place des gens qui ne la connaissent pas et que je rencontre dans mes tournées de conférence, c’est leur montrer une autre facette de ce que l’on voit sur les réseaux sociaux. Il était donc très important que j’en parle. Il y a une longue séquence qui lui ait consacrée et ensuite dans les débats je ne l’élude pas. Le film pour des raisons pratiques a été présenté plus d’une vingtaine de fois en France (Nantes et la Vendée notamment). Je n’ai pas eu de retours négatifs au contraire j’en ai eu de positifs. Une personne m’a dit que la séquence l’avait ému « lui avait hérissé les poils de la peau »… Je n’ai pas eu de personnes virulentes mais je suis prêt à argumenter si cela se trouve.
-Samedi, au club taurin orthézien “Los Maletillas”, tu vas présenter un résumé du fameux solo de Daniel Luque à Dax
–Ce fut une après-midi comme les aficionados en vivent peu dans leur carrière d’aficionados ; J’ai filmé la corrida de Dax en entier et j’ai dit à Nichols Pétriat, le président de Los Maletillas, que j’avais un résumé d’une trentaine de minutes de ce moment-là. Je crois qu’il aura beaucoup de monde. Ce qui veut dire que si les choses sont installées, préparées, les gens se déplacent.
-Tu as filmé aussi la journée taurine d’Orthez, ta ville. Ce fut un grand moment…
– Cette année la corrida d’Orthez aura fait date car il y a eu des toros et des hommes. Nous avons eu beaucoup d’émotions, des émotions artistiques avec Sergio Flores qui a été bien ce jour là…
-Sensationnel même…
–Oui on peut employer ce mot là… Orthez aura été un marche-pied pour lui, pour qu’on le retrouve dans d’autres arènes. C’est souvent le cas avec Orthez on se rappelle d’Ivan Fandiño, d’Emilio de Justo… Ce jour-là, il y a eu aussi Francisco Montero qui a fait le maximum de ce qu’il a pu faire, avec les émotions liées au combat, au danger. On a eu de bonnes piques. Il y a eu une atmosphère très taurine à laquelle il faut rajouter la novillada matinale très prenante: l’ensemble fera date…
-Quels sont tes projets ?
-Je vais continuer à promouvoir la tauromachie à travers mes images. Et pour ce qui est de mon cœur de métier : la réalisation de films documentaires: j’ai passé l’hiver dernier quatre mois au Pérou après en avoir passé un, l’année précédente, sur une île sur le lac Titicaca : j’y ai vécu dans une même famille. De cette expérience je termine le montage d’un documentaire. Il sera présenté au public en 2024 et nous reviendrons au cinéma d’Orthez. Toujours dans le même cadre avec un débat, car j’aime le retour du public.
Le premier cartel de la feria 2023 a été dévoilé par la commission taurine extra-municipale
Elle débutera par une entrée exceptionnelle avec l’alternative du jeune talent landais Yon Lamothe, qui sera accompagné par le n°1 du moment, Andrés Roca Rey, en tant que parrain et par le prometteur Tomas Rufo comme témoin, face aux exigeants toros de Garcigrande.
Les autres élevages de la feria ont également été annoncés : Pedraza de Yeltes, La Quinta, El Pilar et Cebada Gago.
Renouvellement des abonnements à partir du 13 février à la Régie des Fêtes. Les personnes souhaitant s’abonner pour la première fois pourront le faire à partir du 27 février.
Samedi, 27 mai. Matinale. Novillos de Monteviejo pour Yon Lamothe, Jorge Molina et Christian Parejo.
27. Toros de Dolores Aguirre pour Alberto Lamelas, Luis Gerpe et Maxime Solera.
Dimanche 28. Matinal. Corrida concours. Toros de Saltillo, Villamarta, Conde de la Corte, Santa Teresa, Yonnet et Couto de Fornilhos pour Sánchez Vara, Adrián de Torres et Gómez del Pilar.
Dimanche 28. Toros de Baltasar Ibán pour Morenito de Aranda, Leo Valadez et Jesús Enrique Colombo.
Lundi 29. Matinale. Erales de Alma Serena, La Espera, Lartet, Turquay et La Golosina pour le gagnant du Bolsín de Bougue, Manuel Martín Morilla et El Quitos.
Lunes 29. Toros de Rehuelga pour López-Chaves et Daniel Luque, mano a mano.
La billetterie ouvrira le lundi 6 février à partir de 9h avec la possibilité de réserver des abonnements ou des places individuelles soit :