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Matias : La Passion de la Corrida Depuis l’Enfance ( suite et fin)

Aujourd’hui, nous avons le plaisir de plonger dans la seconde partie de l’interview captivante de Mathias Sauvaire, alias « Matias » ! .

Préparation lors de la nsp de Maurrin 2024

Nous poursuivons notre exploration avec lui pour découvrir ensemble ses projets passionnants pour la saison 2024 et ses goûts taurins !

Lien vers la première partie de l’interview : https://corridasi.com/2024/12/10/matias-la-passion-de-la-corrida-depuis-lenfance-1er-partie/

Matias et Denis Loré

« – N.C Parlons un peu de l’avenir. Tu as rejoint Denis Loré. Quel sont tes attentes à son égards ?

-Matias : Comme je l’ai évoqué auparavant, j’ai rejoint oui le maestro Denis Loré, mais au sein de la section « El Toreo Nîmes » dirigé par Hervé Galtier ! J’attends d’eux qu’ils m’aident dans ma progression dans le but d’atteindre la novillada con caballos dans un futur proche. Je me retrouve totalement dans les valeurs véhiculées par Hervé et Denis !

NC : Comment perçois tu la temporada 2025 ?

-Matias : pour la saison qui arrive, on espère que je pourrai intégrer un maximum de cartels et montré mon envie au public. Tout cela avec beaucoup de triomphes !!« 

Portrait Chinois

– Ton maestro préféré ?

-Matias : Mon maestro a été et restera Manolo Vanegas. Mon père le suivait depuis son époque de novillero piqué. Je faisais partie de sa pena et j’ai donc eu l’occasion de le voir assez régulièrement. C’est un torero qui m’a donné beaucoup d’émotions et qui tout au long de sa carrière a incarné des valeurs et une force mentale et physique qui m’a particulièrement plu !

– L’arène ou tu aimerais passer ton alternative ?

Matias : mes professeurs m’ont toujours appris depuis le début qu’en tauromachie tout se fait un pas après l’autre donc je n’y pense pas encore, on verra au moment voulu.

– Ton pasodoble préférée ?

Matias : J’aime les pasodobles avec un rythme assez lent, j’essaie lors de mes faenas d’adapté le rythme de mes séries et de mes déplacements a celui de la musique. Je dirais « Caridad Del Guadalquivir »

– Cape ou muleta et ta passe préférée ?

Matias : question difficile ! Muleta, car c’est avec elle qu’on coupe les oreilles. Je dirais les bernadinas, c’est un final qui lorsqu’il est bien réalisé permet une fin de faena explosive afin de finir sur une bonne note avant d’allée chercher l’épée. C’est un final que j’aime beaucoup réaliser !

– Description de ton habit de lumière que tu souhaiterais porter ?

Matias : Depuis petit, j’ai toujours aimé les costumes blanco y oro rématé de noir. J’ai eu la chance d’en porter un lors d’une becerrada sans mise à mort en 2023.

– Ton encaste ou ton élevage préféré ?

Matias : Je n’ai pas encore eu l’occasion de tous torée. A ce jour, je dirais le Santa Coloma. J’ai eu l’occasion d’toréer régulièrement, de plus en parallèle de la tauromachie, j’ai réalisé pour mes études un stage à la Ganaderia Turquay et à ce jour depuis 1 an et demi chez François André. J’ai donc l’occasion d’approfondir chaque jour mes connaissances de cette encaste  !« 

Je tiens à remercier chaleureusement Matias d’avoir pris le temps de répondre à mes questions avec autant de passion et de sincérité. En espérant une magnifique temporada 2025, je vous invite vivement à découvrir ce talentueux novillero dans les arènes qui auront l’opportunité de l’inscrire à leur cartel.

Texte Nicolas Couffignal

Photos Eloise Huan et Nicolas Couffignal

Matias : La Passion de la Corrida Depuis l’Enfance ( 1er partie)

J’ai découvert Matias chez un éleveur, et depuis ce jour, j’ai eu le privilège de le suivre tout au long de cette temporada 2024. Au-delà de ses compétences techniques et de son talent naturel pour la tauromachie, Matias se distingue par une belle personnalité qui le rend aussi captivant dans l’arène qu’en dehors. À travers cette interview en deux parties , nous allons explorer son parcours, ses inspirations et ses aspirations.

« N.C Quels éléments ont suscité ton intérêt pour la corrida et t’ont conduit à commencer en tant que novillero ? 

Matias :Tout commence à l’âge de huit ans lorsque j’ai vu ma première corrida. C’était une corrida équestre au domaine de Méjanes. Avant mon seul contact avec le milieu taurin était des extraits de vidéos que je regardais avec mon père. En sortant des arènes, j’ai dit à mes parents que je voulais être torero, mais « sans chevaux », à pied ! Après trois ans d’attentes et la passion qui persistait, mes parents m’ont inscrit à l’école taurine d’Arles où j’ai commencé mon apprentissage jusqu’à mon début en tant que novillero sans picador, avant de rejoindre tout récemment la section jeune El Toreo Nîmes dirigé par Hervé Galtier et le maestro Denis Loré.

N.C – Nous avons eu l’occasion de se croiser plusieurs fois à la Ganaderia Malabat. Quelle est la raison de venir régulièrement chez eux ?

Matias : J’ai eu l’occasion de rencontrer cette famille incroyable grâce à Serge Almeras. Ils m’ont donné l’opportunité de toréer leur bétail et offert généreusement un novillo pour leur dernière journée. Je les remercie de tout cœur d’avoir partagé ces moments avec moi !

le novillero lors de sa première novillada à Ales

N.C : Peux-tu décrire ton parcours d’apprentissage avant de te présenter à Alès,ainsi que l’état d’esprit qui t’a permis à te préparer pour faire face au jugement du public ?

Matias : J’ai fait mes gammes au sein de l’école taurine d’Arles ainsi que ma première épée à la monumental de Gimeaux. En plus de ça, je m’entraînais régulièrement auprès du maestro Denis Loré, car je voulais être vraiment prêt pour ce jour si important. Denis m’a également appris le maniement de l’épée qui était une lacune pour moi, car je suis gaucher et qu’il fallait que je tue de la main droite. Les entraînements ont été très intenses pour ne laisser aucun détail de côté ! Mon état d’esprit était que j’avais toujours rêvé de porter l’habit de lumière donc forcément que l’émotion était au maximum, mais j’ai la chance d’être très bien entourée par mon équipe ainsi que ma famille ce qui m’a permis d’apprécier cette journée et d’arriver le jour J avec l’envie d’exister malgré le stress.

Matias lors de la nsp de Arles

« N.C Quel est ta novillada de cette temporada la plus aboutie  ?

– Matias : La novillada la plus aboutie et celle de la Féria d’Arles. J’ai ressenti beaucoup d’émotions et je pense avoir transmis au public, j’ai su profiter à fond de cette matinée et mieux gérer la pression que lors des autres novilladas où je l’avoue, le stress m’avait un peu gagné.

Fin de la première partie de l’interview ( la suite à venir)

Texte Nicolas Couffignal

Photo Philippe Gil Mir et Nicolas Couffignal

Marco Pérez, un contre six à Las Ventas pour sa despedida de novillero

Marco Perez à Mont-de-Marsan Photo Bruno Lasnier

Le jeune novillero prodige Marco Pérez affrontera 6 toros en solitaire pour sa dernière novillada à Las Ventas. C’est la première annonce concrère de la temporada 2025 madrilène. Date de l’événement le 30 mai 2025.

Finale de la Liga dimanche sur Canal Sur

Et sur https://www.aragontelevision.es/directo

Puerta Grande pour Julio Mendez à  Saint Sever avec un bon lot de El Palmeral

Après une riche semaine culturelle au cloître des Jacobins, conclue hier par une course landaise, la novillada non piquée marque la fin des festivités. Le cartel est particulièrement alléchant, avec le retour de la Ganadería El Palmeral après près de quarante ans d’absence dans cette arène. L’encaste peut offrir de belles surprises, mais peut aussi se montrer plus âpre.

L’encaste peut offrir de belles surprises, mais peut aussi se montrer plus âpre. Face à ce bétail, nous retrouverons Jesús Iglesias, triomphateur de l’Esparragal de Oro 2024, Julio Méndez, régulièrement vu dans diverses arènes du Sud-ouest et triomphateur de Dax, et enfin, Bruno Angosto, qui a fait ses débuts à Alès et s’est distingué dans le sud-ouest en remportant une oreille et le prix de l’ACOSO à Maurrin.

Fiche Technique

Président : Robert Desclaux

Musique Peña Al Violin

Météo Été  indien

Public : 1/4

Jesús Iglesias : Salut /  une oreille  prix de la Villa Mirasol  & Prix peña Jeune aficion 

Julio Méndez :  Silence / deux oreilles et vuelta Prix acoso 

Bruno Angosto : Salut / avis et Silence

Sous le soleil au cœur de la Gascogne, les becerros de la Ganadería El Palmeral surgissent du toril. La  présentation des beceros va crescendo, culminant avec le dernier exemplaire.

 Certains montrent des signes de faiblesse, et le quatrième se blesse lors d’un début de vuelta de campana. Cependant, nous avons pu observer le comportement caractéristique de cet encaste, qui a posé de réelles difficultés aux novilleros.         

Jesús Iglesias

Le premier becerro se montre quelque peu violent. Le novillero manque d’inspiration à la cape, et les  premières séries à droite manquent de temple. La musique démarre rapidement. Au centre de l’arène, il  exécute des naturelles plus abouties et sa seconde série à droite est mieux maîtrisée. La seconde épée est bien placée après un premier pinchazo.

Son second becerro se blesse lors d’une vuelta de campana. Bien que distrait, il montre une certaine  noblesse. El Santo pose une jolie paire de banderilles, applaudie par le public. Jesús Iglesias exécute des  séries à droite mihauteur. La faena du novillero gagne en profondeur. Une première épée atravesada et  une seconde caida  n’empêchent pas que le pañuelo blanc tombe.

Julio Mendez

Son premier becerro montre plus de fixité que le précédent, mais aussi plus de violence. Bruno Angosto exécute une jolie quite sur le becerro. Malgré un manque de sitio, le novillero réalise des faenas avec du temple et de la profondeur sur les naturelles. La mise à mort pose des difficultés avec un pinchazo et un bajonazo, pour finir avec le descabello. Le becerro est applaudi à l’arrastre.

Le second becerro exprime une grande noblesse et un galop agréable. Mathieu Guillon est salué pour sa pose de banderilles. Julio Mendez ne répète pas les erreurs du précédent. À droite et à gauche, l’émotion se dégage de la faena, accompagnée du concerto d’Aranjuez. Il termine par une série de Luquesina.

Bruno Angosto

Le novillero est déterminé en exécutant deux largas devant son premier becerro exigeant. Il s’applique dans l’exécution de ses véroniques et de ses faenas. Malgré sa volonté de bien faire, il est débordé. Surpris par la charge du becerro à l’épreuve de l’épée, il réussit à placer une belle estocade.

Son second toro est celui qui a le plus de trapío. Il commence sa faena au centre de l’arène, en le citant de loin, ce qui crée de l’émotion. Au fur et à mesure de la faena, la charge devient plus courte. Comme pour son premier becerro, il est débordé par l’exigence de l’animal. Sa seconde estocade manque de technique, car il ne baisse pas assez la muleta, ce qui le fait rater son épée, qui est atraversada. Il termine au descabello.

Le mayoral et l’éleveur Olivier Martin sont salué à la fin de la novillada

Le soleil se couche et le public sort ravi d’avoir assisté à un lot encasté et exigeant pour les novilleros.. Les discussions animées et les sourires sur les visages témoignent de l’émotion et de l’admiration ressenties tout au long de la soirée.

Photos Bertrand Caritey et Texte Nicolas Couffignal

Arnedo: blessure de Chicharro

Plaza de toros de Arnedo, La Rioja. 4ème du certamen de novilladas ‘Zapato de Oro’. 1/3.

Novillos de Adolfo Martín, 

JUAN HERREROsilence après avis et silence et silence à celui tué pour Chicharro

ALEJANDRO CHICHARRO, silence après avis et blessure

BRUNO ALOI, ovation après avis et silence.

Jesús Robledo ‘Tito’ : salut au 5ème

Grave blessure de Chicharro: cornada de 12 et 6cm dans le cuisse droite. Malgré cela il a annoncé qu’il serait ce jeudi à Las Ventas avec Valentín Hoyos et Nek Romero, novillos de Fuente Ymbro. 

Aaron Palacio Puerta Grande avec un bon lot de Guadalmena à  Arnedo

L’automne dans la Rioja, c’est le vin, les toros. Pour donner suite à la feria à Logroño, cap sur Arnedo et son incroyable weekend taurin, le Zapato de Oro, promettant des moments festifs et captivants. Cette feria est une référence en matière de novillada piquée. Aujourd’hui un élevage que je vois pour la première fois celui de la Ganaderia Guadalmena. Cet élevage se trouve à Jaen et avec un encaste Domecq. Pour affronter cet élevage trois novilléros que l’on a vu dans le sud-ouest Christiano Torres, Aaron Palacio et Javier Zulueta.

Aaron  Palacio ouvre la grande porte

Président

Public  1/4 d’arène

Musique : Harmonie  de Arnedo

Christiano Torres :   avis et  1 oreille / Salut et vuelta

Aaron PALACIO    :    avis et deux oreilles vuelta/ une oreille

Javier Zulueta.      : Salut au tiers et vuelta / Salut au tiers

Les novillos

Le lot est bien présenté. L’ensemble du lot a presque quatre ans. Le premier a une tête commode contrairement au reste du lot. Ils expriment de la noblesse. Ils expriment de la bravoure au cheval.

Naturelle de Christiano Torres

Christiano Torres

Le Boléro inspire plus Maurice Ravel que le novillero à la cape. Le novillo ne montre aucun défaut dans le premier tiers. La faena est propre. Il ne se croise pas. La musique démarre dès la première série à droite. Il se fit prendre à cause du manque de sitio. À gauche, la faena fut plus aboutie. Le public adhère à la faena. L’épée est entièrement efficace. Le public demande l’oreille.

Voltereta de Christiano Torres

Lastimano avec une robe negro comme le premier novillo de Christiano. À la cape, il s’emploie un peu plus. Le novillo est noble mais faible. La faena s’exécute en plein centre de la piste. Il est sur le passage. La série se fait exclusivement avec la main droite. L’épée est caida.

Aaron Palacio à la cape

Aaron Palacio

Pistolero, negro Liston a un trapio identique au précédent. Aaron Palacio l’accueille avec deux largas.  Le novillo pousse le cheval contre les planches. La faena du novillero est sur le pico. Le museau du novillo mange le sable du ruedo. La faena exprime de l’émotion. Il montre un éventail de sa technique. Le public adhère complètement. L’épée est entière, bien placé mais plate. Les panuelos s’agitent le palco lâche le mouchoir bleu et les deux blancs.

Naturelle de Aaron Palacio

Asustado avec une robe negro bragado . C’est le seul novillo de deux mille vingt un. Comme sur son précédent novillo il exécute de jolies séries à la cape. Il exécute la meilleure mise en suerte et avec de l’alegria. Asier Campos exécute une joli pose de banderille. A la muleta, le novillero est sur le passage lors des derechazos. Il se fait prendre sur une erreur de placement. A gauche, il exécute qu’une série, car le novillo est arrêté.

Javier Zulueta à la cape

Javier Zulueta

Il tombe sur le lot qui lui plaît le moins ou qui ne l’inspire pas.

Blancaflor avec une robe colorado ojo perdiz est le novillo qui permet le moins de pouvoir s’exprimer. Il donne des coups de tête lors de la faena le public réagi avec émotion lors de la série à la cape. Plein centre. Le novillero exécute sa faena à mi-hauteur. Aucune émotion ne se dégage de la faena. Il ne se croise qu’à la fin de la faena. 

Second novillo de Javier Zulueta


Lastimado avec une robe negro ferme cette novillada entretenue. Le novillero se comporte à la cape comme sur son précédent novillo. A la muleta, près des planches, il exécute des doblones de façon très appliquée. Les séries de naturelles sont exécute avec douceur. Le novillero n’insiste pas sur la faena.

Texte et photos Nicolas Couffignal

Murcie, Talavera, Logroño, Pozoblanco, Villaviciosa, Azucequa, Pisuerga, Salamanque

Arènes de Murcie, Murcie. Cinquième de la feria. Deux tiers d’entrée. Taureaux de Hnos. García Jiménez,

SEBASTIÁN CASTELLA, ovation et ovation.

JOSÉ MARÍA MANZANARES, deux oreilles et deux oreilles et queue.

PACO UREÑA, ovation et ovation

Talavera de la Reina (Toledo).  Feria de San Mateo. Casi lleno.

Toros, por orden de lidia, de Garcigrande, Santiago Domecq, Victoriano del Río, El Freixo, Daniel Ruiz (5º bis) y Núñez del Cuvillo. El tercero, de nombre Casero, y del hierro de Victoriano del Río, vuelta al ruedo.Le 4ème , de El Freixo « Rebujino », a été gracié.

TOMÁS RUFO, en solitaire, oreille pétition de seconde, palmas, deux oreilles, deux oreilles symboliques, deux oreilles et oreille.

Plaza de toros de La Ribera, Logroño. Première de la Feria de San Mateo. Un tiers.

Toros de Zalduendo,

MIGUEL ÁNGEL PERERApalmas et silence.

DANIEL LUQUEoreille et ovation.

BORJA JIMÉNEZsilence et silence.

Pozoblanco (Cordoue). Samedi 21 septembre 2024. Première de la Foire Nuestra Señora de las Mercedes. Entrée : Trois quarts.

Taureaux Cayetano Muñoz. Le second, récompensé par une vuelta.

ENRIQUE PONCE, oreille et deux oreilles.

ALEJANDRO TALAVANTE, oreille et ovation.

DAVID GALVÁN, deux oreilles et deux oreilles

Villaviciosa de Odón (Madrid)

Toros dValdefresno

Fabio Jiménez, deux oreilles et ovation ;

Diego Bastos, deux oreilles et deux oreilles ; Miguel Serrano; oreille et oreille.

Azuqueca de Henares (Guadalajara)

Novillos de Fuenterroble

Miguel Andrades, palmas, oreille, deux oreilles et deux oreilles et queue.

Le quatrième taureau de Fuenterroble a été récompensé par son retour sur le ring.

Herrera de Pisuerga (Palencia)

Taureaux de La Glorieta pour

Cristiano Torres, silence et oreille ;

« El Mene », deux oreilles et deux oreilles.

Salamanque. Samedi 21 septembre 2024. Feria Virgen de la Vega; rejones. Entrée : Presque une demi arène

Taureaux d’Angel Sánchez et Sánchez, le deuxième vuelta.

SERGIO GALAN, oreille et oreille.

DIEGO VENTURA, deux oreilles et deux oreilles.

GUILLERMO HERMOSO DE MENDOZA, silence après avertissement et ovation.

Albacete, Murcie, Mejorada, Azuqueca, Burgohondo, El Barraco, Lanteira

Albacete. Mardi 17 septembre 2024. Dixième de féria. Plus des trois quarts des entrées.

Taureaux Victorino Martín, bien présentés et inégaux dans le jeu. Le troisième le meilleur.

Manuel Escribano : silence et ovation.

Rubén Pinar : retour sur le ring et écoute.

Sergio Serrano : ovation et ovation.

Murcie. Mardi 17 septembre 2024. Foire de septembre.

Entrée : Plein de « Il n’y a pas de billets ». Premier depuis 15 ans.

Taureaux de Victoriano del Río, bien présentés. Premier, deuxième, quatrième et cinquième se sont distingués, ce dernier, le numéro 21 nommé Frenoso et pesant 539 kilos, a été récompensé par une vuelta.

ALEJANDRO TALAVANTE, oreille et oreille après avertissement.

PACO UREÑA, deux oreilles et une oreille.

Roca Rey, oreille et deux oreilles avec demande de queue.

Mejorada del Campo (Madrid).

Novillos d’El Retamar de bon jeu. Le cinquième, nommé Burleño numéro 20, a été récompensé par une vuelta al ruedo.

Víctor Cerrato, oreille avec demande pour la deuxième et deux oreilles ;

Álvaro Serrano, vuekta et deux oreilles ;

Mario Vilau, qui a fait ses débuts avec picadors, ovation et deux oreilles.

Azuqueca de Henares (Guadalajara).

Novillos de Los Eulogios.

Valentín Hoyos, qui a remplacé Carla Otero, blessée à l’oreille ;

Nek Romero, ovation et oreille ; et Cid de María, oreille et oreille.

Hoyos a subi une cornada à la cuisse gauche, après avoir traversé l’infirmerie, il a été transféré à l’hôpital.

Burgohondo (Ávila). Casi lleno.

Novillos de Pablo Mayoral.

Marco Pérez, oreille et oreille ;

Javier Zulueta, ovation et deux oreilles.

El Barraco (Ávila). Rejones.

Novillos d’El Cubo.

Sebastián Fernández, oreille et deux oreilles ;

Ferrer Martín, oreille et deux oreilles.

Lanteira (Grenade). Festival.

Trois toros de Castillo de La Reina, le quatrième vuelta, et un de Galbarín (3e).

María del Mar Santos, oreille et deux oreilles et queue ;

Estrella Magán, deux oreilles et queue et deux oreilles et queue.

Bargas, Alabacete, Murcie, Guadalix, Arganda, Tordesillas

Plaza de toros de Bargas (Tolède). Casi lleno.

Toros de la divisa de La Palmosilla, bien présentés et de jeu inégal:

Curro Díaz, ovation et deux oreilles  

Morenito de Aranda, silence et oreille après avis;

Víctor Hernández, oreille et ovation.

Plaza de toros de Albacete, feria taurine.

Toros de la ganadería de Conde de Mayalde, bien presentés et de bon jeu:

EL FANDI, ovation et ovation.

GINÉS MARÍN, oreille et oreille.

JOSÉ FERNANDO MOLINA, oreille et deux oreilles.

Plaza de toros de Murcie. Corrida Goyesque deuxième de abono.

Toros de Juan Pedro Domecq, Garcigrande, Hermanos García Jiménez, El Freixo;

ENRIQUE PONCE, oreille silence et deux oreilles.

PEPÍN LIRIA, oreille, ovation et deux oreilles.

Agustín de Guadalix (Madrid).

Novillos de Montealto, bien présentés, le quatrième vuelta.

Alejandro Chicarro, oreille et deux oreilles ;

Marco Pérez, ovation et deux oreilles après avertissement.

Arènes d’Arganda del Rey (Madrid).

Novillos de Luis Algarra.

Aarón Palacio, saluts après avertissement et silence après deux avertissements ;

Tomás Bastos, saluts et silence après avertissement ;

Joel Ramírez, oreille et silence.

Arènes de Tordesillas (Valladolid).

Bétail de  Brazuelas, le quatrième vuelta.

Diego Bastos, le silence et deux oreilles ;

Jesús de la Calzada, deux oreilles et une oreille ;

Pepe Luis Cirugeda, deux oreilles et une oreille.

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