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La « Concha de Oro » de Saint Sébastien pour « Tardes de Soledad »

Concha d'or pour le réalisateur Albert Serra. Le film, avec le torero Andrés Roca Rey comme protagoniste, remporte le premier prix au Festival de Saint-Sébastien. Ce prix est la récompense la plus importante du cinénma hispanique. Le lobbyè anti avn,ait essayé d'empêcher ce succès mais la qualité du film, son sujet et la charisme de son principal protagoniste ont faiy la différence. Sohaitosn que ce film soit présenté en France et enhorabuena au réalisateur Albert Serra.

Albert Serra : "Le monde est plus complexe qu'être pour ou contre quelque chose"

Albert Serra : "Je ne m'intéresse ni aux causes ni à l'idéologie, seulement au cinéma"

Albert Serra : « La tauromachie n’est pas un divertissement, c’est une valeur positive et il vaut mieux qu’elle existe »

Le festival taurin de Séville fin prêt

Le festival qui clôturera la saison le 12 octobre à la Real Maestranza de Séville compte désormais ses ganaderias : Fuente Ymbro, Núñez del Cuvillo, Zacarías Moreno, El Parralejo, El Vellosino et Jandilla.

Le cartel est composé des toreros Morante de la Puebla, Diego Urdiales, Daniel Luque, Oliva Soto, Pablo Aguado et du torero Javier Zulueta.

La célébration a été organisée par l'empresa Pagés et bénéficiera à l'action sociale de la Confrérie des Tsiganes et de l'association Nuevo Futuro Sevilla. En outre, à cette occasion, le festival rendra hommage au maestro Curro Romero pour son parcours et son lien avec cette confrérie.

L’art taurin s’invite à Paris

L’exposition « Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris » propose une immersion fascinante dans le dialogue entre tradition et création contemporaine. Elle met en lumière un riche éventail d’œuvres réalisées par des artistes contemporains tels que Laurent Arpinon, Chrislaine Dupuy, Méryl Fortunat-Rossi, Quentin de Ladelune,William Lentz, Eugénie Martinez, Revilla, Swan Soto, Jonathan Veyrunes, Claude Viallat, Jean Villevielle, ainsi que des pièces historiques de collection. Cet événement invite à une exploration profonde de l’art tauromachique, à travers des médiums variés allant de la peinture à la photographie, en passant par la sculpture, la vidéo, la performance, la sérigraphie et d’autres expressions artistiques. Certaines œuvres littéraires ayant nourri la réflexion autour de ce projet seront également mises en avant.

Prenant pour fil conducteur l’œuvre de José Bergamin, La solitude sonore du toreo (1981) l’exposition aspire à faire ressentir l’omniprésence du taureau, bien qu’absent physiquement de l’arène. L’auteur y dévoile la relation intense et exaltée qui se tisse entre le torero et le public lorsque l’animal fait son apparition. Dès cet instant, les protagonistes de la corrida – mozos d’espada, picadores, et autres acteurs – s’animent dans une chorégraphie millimétrée où chacun occupe un rôle précis, du président dans sa loge aux alguazils dans leur couloir.​

Plus qu’une simple célébration de la beauté et des mouvements subtils de la corrida, cette exposition engage également une réflexion profonde sur les dimensions esthétiques, émotionnelles, historiques et sociétales de cet art séculaire, interpellant ainsi le spectateur sur son sens et sa portée dans le monde contemporain

https://artficionadas.wixsite.com/artficionadas/events/avant-premiere-exposition-corps-en-mouvement-quand-lart-taurin-sinvite-a-paris

jeu. 17 oct. Paris

Avant-première : Exposition – Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris.

[Sous invitation]

ven. 18 oct. Paris

Portes ouvertes : Exposition – Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris.

[Sans réservation]

La date et l’heure sont à définir

Paris

Table-ronde : Corps en mouvement, quand l’art taurin s’invite à Paris.

[Sous réservation] En direct sur Instagram + Enregistrement vidéo publié sur notre site.

Madrid: saluts de Villita

Plaza de toros de Las Ventas, Madrid. Deuxième de la Feria de Otoño 2024. 13. 568 spectateurs.

 Novillos de José González, Condessa de Sobral, Guerrero y Carpintero, Quintas, Baltasar Ibán et Ángel Luis Peña, 

VILLITA, ovation après avis et silence. 

JESÚS MORENO, silence et silence après avis 

DIEGO BASTOS, silence et silence 

Aaron Palacio Puerta Grande avec un bon lot de Guadalmena à  Arnedo

L’automne dans la Rioja, c’est le vin, les toros. Pour donner suite à la feria à Logroño, cap sur Arnedo et son incroyable weekend taurin, le Zapato de Oro, promettant des moments festifs et captivants. Cette feria est une référence en matière de novillada piquée. Aujourd’hui un élevage que je vois pour la première fois celui de la Ganaderia Guadalmena. Cet élevage se trouve à Jaen et avec un encaste Domecq. Pour affronter cet élevage trois novilléros que l’on a vu dans le sud-ouest Christiano Torres, Aaron Palacio et Javier Zulueta.

Aaron  Palacio ouvre la grande porte

Président

Public  1/4 d’arène

Musique : Harmonie  de Arnedo

Christiano Torres :   avis et  1 oreille / Salut et vuelta

Aaron PALACIO    :    avis et deux oreilles vuelta/ une oreille

Javier Zulueta.      : Salut au tiers et vuelta / Salut au tiers

Les novillos

Le lot est bien présenté. L’ensemble du lot a presque quatre ans. Le premier a une tête commode contrairement au reste du lot. Ils expriment de la noblesse. Ils expriment de la bravoure au cheval.

Naturelle de Christiano Torres

Christiano Torres

Le Boléro inspire plus Maurice Ravel que le novillero à la cape. Le novillo ne montre aucun défaut dans le premier tiers. La faena est propre. Il ne se croise pas. La musique démarre dès la première série à droite. Il se fit prendre à cause du manque de sitio. À gauche, la faena fut plus aboutie. Le public adhère à la faena. L’épée est entièrement efficace. Le public demande l’oreille.

Voltereta de Christiano Torres

Lastimano avec une robe negro comme le premier novillo de Christiano. À la cape, il s’emploie un peu plus. Le novillo est noble mais faible. La faena s’exécute en plein centre de la piste. Il est sur le passage. La série se fait exclusivement avec la main droite. L’épée est caida.

Aaron Palacio à la cape

Aaron Palacio

Pistolero, negro Liston a un trapio identique au précédent. Aaron Palacio l’accueille avec deux largas.  Le novillo pousse le cheval contre les planches. La faena du novillero est sur le pico. Le museau du novillo mange le sable du ruedo. La faena exprime de l’émotion. Il montre un éventail de sa technique. Le public adhère complètement. L’épée est entière, bien placé mais plate. Les panuelos s’agitent le palco lâche le mouchoir bleu et les deux blancs.

Naturelle de Aaron Palacio

Asustado avec une robe negro bragado . C’est le seul novillo de deux mille vingt un. Comme sur son précédent novillo il exécute de jolies séries à la cape. Il exécute la meilleure mise en suerte et avec de l’alegria. Asier Campos exécute une joli pose de banderille. A la muleta, le novillero est sur le passage lors des derechazos. Il se fait prendre sur une erreur de placement. A gauche, il exécute qu’une série, car le novillo est arrêté.

Javier Zulueta à la cape

Javier Zulueta

Il tombe sur le lot qui lui plaît le moins ou qui ne l’inspire pas.

Blancaflor avec une robe colorado ojo perdiz est le novillo qui permet le moins de pouvoir s’exprimer. Il donne des coups de tête lors de la faena le public réagi avec émotion lors de la série à la cape. Plein centre. Le novillero exécute sa faena à mi-hauteur. Aucune émotion ne se dégage de la faena. Il ne se croise qu’à la fin de la faena. 

Second novillo de Javier Zulueta


Lastimado avec une robe negro ferme cette novillada entretenue. Le novillero se comporte à la cape comme sur son précédent novillo. A la muleta, près des planches, il exécute des doblones de façon très appliquée. Les séries de naturelles sont exécute avec douceur. Le novillero n’insiste pas sur la faena.

Texte et photos Nicolas Couffignal

Madrid : les adieux triomphaux de Ponce

Plaza de toros de Las Ventas, Madrid.

Première de la Feria de Otoño 2024. Casi lleno. 20.973 espectadores.

Toros de Garcigrande (1º, 2º, 3º) et Juan Pedro Domecq (4º, 5º et 6º).

 ENRIQUE PONCE, silencio y dos orejas. 

DAVID GALVÁN, ovación tras aviso y silencio. 

SAMUEL NAVALÓN, qui confirmait, ovation après xeux aviset oreilel. 

Algemesi, Arnedo, San Miguel de Valero…

ALGEMESI

TOMAS BASTOS TRIOMPHE A ALGEMESÍ

Quatre oreilles et une queue pour le torero portugais nommé vainqueur de la Naranja de Oro.
Taureaux de Lagunajanda maniables.

Neck Romero : oreille et salutations après avertissement.

Tomás Bastos : deux oreilles et deux oreilles et une

Arènes d’Arnedo , La Rioja . Première corrida du Zapato de oro d’Or Demi-entrée.

Novillos de Murteira Grave, bien présentés

FABIO JIMÉNEZ, ovation et ovation

ALBERTO DONAIRE, vuelta et silence

EL MENE, lsilence et silence

San Miguel de Valero, Salamanca – Lleno de ‘No hay billetes’.

Novillos de María Loreto Charro Santos, le troisième vuelta al ruedo.

 Marco Pérez, deux oreilles, deux oreilleset la queue et deux oreilles et la queue. 

OLMEDO.

Novillos de El Vellosino pour
Diego Bastos saluts, oreille
El Moro oreille, saluts
Ferrer Martín vuelta, 2 oreilles

VILLARRUBIA DE SANTIAGO (TOLÈDE).-
Corrida de Rejones d’Aurelio Hernando pour
Sebastián Fernández, quatre oreilles,

et Rocío Arrogante, 1 oreille, bléssée à son deuxième.
MAYORGA, VALLADOLID

Festival. Trois quarts d’entrée.

Taureaux de la Campana .
Morenito de Aranda, deux oreilles ;

El Payo, vuelta;

Ismael Martín, deux oreilles et une queue ;

Raquel Martín, oreille.

Vu de mon tendido alto.

Vincent Van Gogh

C’est le vieil aficionado qui écrit ces mots.  Aficionado qui se demande parfois s’il l’est vraiment , étonné, surpris, scandalisé qu’il est par ce qui se passe dans le mundillo, ce que rapporte la rumeur, ce qui nous trouble lorsque , par exemple, une entreprise comme ONE TORO dépose le bilan pour de très valables mais anormales raisons. Raisons valables devant un commissaire aux comptes: défaut de recettes , perte de marge bénéficiaire, motifs scandaleux par ailleurs puisque d’une part l’étude de marché a certainement été faite naïvement, comptant sur l’honneteté des potentiels abonnés payants, et le résulat des courses démontrant que la plus grande partie des gens qui regardaient One Toro ne payaient pas leur abonnement, en se débrouillant avec de vilaines combines pour  voir les corridas sans donner les 1 ,28 que One toro leur demandait à l’unité. Ça rappelle la grande époque de Canal Plus que beaucoup regardaient en douce sans bourse délier.  

L’aficionado devrait avoir honte de ce genre de comportement et encore plus honte les peñas ou clubs taurins qui en payant un seul abonnement faisaient profiter leurs très nombreux adhérents de ces projections.. »clandestines » .

Certains ne manqueront pas de se réjouir que cette offre moderne disparaisse, arguant du fait que la corrida doit se voir en direct et jamais à la télévision. Avec des raisonnements de ce genre la corrida est assurée de mourir plus vite qu’envisagé, les prix pratiqués par les empresas éloignant de facto les gens à faibles revenus, les jeunes, et les mollah qui traitent d’idiots ceux qui n’ont pas leur vision integriste de l’art qui nous passionne, oublieux qu’ils sont du fait que la corrida est un art populaire qui se prête à toutes les manières de le voir.

Sur ce plan je crois absolument nécessaire de faire  des comparaisons, qui pour une fois seront raison.

Dira- t -on que le theâtre n’existe que s’il est de Brecht et d’extrême gauche en rejetant la comédie ?  

En musique les amateurs de dodécaphonisme se permettraient ils d’interdire Bach, Fauré Ravel, pauvre musique si on n’avait plus que l’école de Vienne pour bercer nos besoins mélodiques ?

Voulez vous d’autres exemples? Il se trouve que , à titre personnel, certains toreros ne me font pas  vibrer, de quel droit  aurais- je l’outrecuidance de tenter de leur nuire quand précisément beaucoup de gens dans le public aiment l’un et l’autre, disons un » pueblerino » et un » rigoriste classique »!

Tout cela ne nous éloigne pas de notre sujet,  j’en ai marre des donneurs de leçon, des querelles de chapelles, sachons regarder, chaque fois comme nouvelle la tauromachie d’un homme qui, on l’oublie toujours, risque sa vie même avec des petits toros mal foutus ou « mansos ».

Contentons nous d’aimer cet art si compliqué que depuis 60 ans que je m’assieds dans une arène, me reste mystérieux , émouvant, et, m’a toujours aidé à vivre.

L »art, les arts, nous sont des béquilles(muletas) morales et esthétiques.

Alors , au lieu de vous engueuler et vous comporter  toujours comme des écornifleurs ( cf Jules Renard) ouvrez vos esprits et vos goussets et admirez ce qui doit l’être.

J’ai lu tout récemment un livre de Francis Marmande dans lequel il se livre à l’exercice que je fais souvent : un musicien face à un torero.

Essayez vous- même si vous êtes mélomane; José Tomas qui serait il ? et Juli? et Ponce? et Ortega? et Morante?

Vous verrez c’est  bien  agréable !

Et, au moins, vous ne ferez plus la guerre à vos amis aficionados qui ne partagent pas vos goûts taurins.

Jean François Nevière

Rafi, Parejo, A. Mora à la fiesta campera de Rion

La temporada dans le Sud Ouest tire à sa fin et pour clôturer celle-ci la Peña Toro Blanco de Rion des Landes vous propose de se retrouver pour une fiesta campera les 9 et 10 novembre aux arènes André Taris .

Ce week-end taurin débutera le samedi 9 novembre à 18h au thèatre municipal  par une conférence avec pour thème «  LES ECOLES TAURINES » agrémenté par la projection du film  « SABLES FAUVES « réalisé par FRANCIS DEL RIO . A l’issu du film le maestro RICHARD MILIAN répondra aux questions de l’assistance .

Le dimanche place à la fiesta campera : après avoir dégusté les croupions, nous vous proposons avec le concours de Jean Baptiste Jalabert un cartel de jeunes toreros :

EL RAFI   le Nimois  a laissé une très bonne impression à Dax lors de Toros et Salsa face à une trés  bonne corrida de MARGE

CHRISTIAN PAREJO natif de Chiclana de la Frontéra , mais  Biterrois d’ adoption à fréquenté l’ école taurine de Béziers dirigée par le maestro Thomas Cerqueira . Cette temporada Christian a toréé 10 corridas et coupé 14 oreilles

 ALEJANDRO MORA  né d’une famille torére a pris l’alternative en 2023 à la féria de l’atlantique à Bayonne où il a triomphé

Le repas de l’aficion sera servi après le spectacle avec la participation des acteurs de la matinée.

Vous trouverez ci-après la participation aux frais :

–          Journée compléte ( croupions ,spectacle et repas)        :    40€

–          Spectacle seul    30€

–          Repas  18€

–          Groupes de 10 personnes  36€

Réservations : Office de tourisme – contact@coeurdeslandes.com   – Tel : 05 58 73 39 98

·               -penatoroblanco@gmail.com        – Tel : 06 79 64 18 67

Communiqué de la FSTF

La FSTF, violemment et injustement agressée par l’invité de l’émission « Callejon » du 21 juillet 2024 animée par Albert BLAIN sur Radio Bleu Gascogne, a demandé un droit de réponse qui a été honoré ce 21 septembre.
La FSTF ne se reconnait pas dans l’outrance des accusations et des mensonges proférés à cette occasion par André VIARD. Non, la FSTF n’est pas atteinte de « mélenchonisation », ni du « syndrome de Stockholm » ! Non, les aficionados ne sont pas « nostalgiques du règlement franquiste », encore moins « amers de ne pas être la pythie » !
Non, le CPAC n’est pas « la Stasi » et il ne formule pas de « propositions burlesques » !
Oui, la concertation sur le nouveau règlement a été tronquée !
Il est vrai que la FSTF s’attache à défendre et promouvoir la corrida authentique et éthique, à défendre l’intégrité du taureau ou encore les intérêts des aficionados, des approches qui peuvent gêner les tenants d’une soit-disant modernité.
Il y aura toujours des divergences d’opinion parce qu’il y a divergence d’intérêts entre ceux qui vivent pour la corrida et ceux qui vivent de la corrida. Un professionnel, un organisateur ne peut pas parler au nom des aficionados ou prétendre les représenter.
Ainsi, nous dénonçons actuellement les dérives des spectacles taurins qui voient l’affadissement du taureau et le triomphalisme gagner du terrain, soi-disant pour conquérir un nouveau public. Or la justification essentielle de la corrida et sa tolérance par la société ne peuvent reposer que sur le respect dans l’arène d’un taureau brave en pleine possession de ses capacités, qui doit être combattu et mis à mort le plus loyalement possible.
L’avenir de la corrida passe cependant par le rapprochement de ses défenseurs, ce que nous demandons c’est de l’écoute, un dialogue lui aussi loyal et le respect de l’autre et de ce qu’il représente.

Réécoutez la réponse de la FSTF en cliquant sur le lien suivant :
https://www.francebleu.fr/emissions/callejon/gascogne

PS Il s’agit d’un communiqué de la FSTF que nous passons comme tel. Ce sera le dernier sur ce sujet -sauf si la personne mise en cause veut apporter des précisions légitimes. Nous estimons en effet comme nous l’avons toujours dit qu’il y a mieux à faire dans l’intérêt des aficionados, par les temps qui courrent, qu’alimenter les polémiques, les communiqués succédant aux communiqués comme on l’a vu récemment. Un peu de hauteur de vue et de sens des responsabilités devraient prévaloir du côté de l’ensemble des défenseurs de l’aficion. J’ajouterai que par définition la tauromachie est dans son essence éthique et authentique et qu’il ne peut y avoir de différences de point de vue sur ce principe. Enfin gagner un public nouveau paraît une nécessité vitale ne serait-ce que pour assurer la pérennité de l’art taurin : c’est une évidence.

Le droit de réponse a été honoré, le communiqué est publié; l’affaire est close !

PV

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