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Le programme de Castries

Ouverture de la temporada à la Peña Alegria de Dax : Conférence de Clémente Matador de toro

La Peña Alegria de Dax est fière d’annoncer une conférence pour marquer l’ouverture de la temporada 2024. Cet événement captivant aura lieu autour du matador Clemente et de sa corrida de Santiago Domecq, lors de la célèbre Feria de Dax 2024

Notre invité d’honneur, Clémente Matador, partagera ses précieuses expériences et perspectives sur l’univers de la tauromachie. Son année 2024 exceptionnel sa passion, Clémente offrira un retour personnel

Ne manquez pas cette occasion d’en apprendre davantage sur l’histoire et la culture de la tauromachie, directement auprès du maestro. La conférence promet d’être une exploration enrichissante et de partage.

Ils vous attendent nombreux pour cet événement qui promet d’enrichir vos connaissances et d’attiser votre passion pour la corrida. À bientôt à la Peña Alegria de Dax !

Nicolas Couffignal

AG de la peña Canton

Le 24 janvier, soirée de la Peña Dorian Canton sur le thème du rôle et de l’importance du valet d’épée…

Arcachon: belle soirée autour du livre « Vamonos sur les chemins du Rocio »

Très belle soirée au club taurin d’Arcachon qui a fait le plein pour la venue de Pierre Vidal et Bruno Lasnier qui ont présenté leur livre « Vamonos sur les chemins du Rocio ». Ce fut l’occasion de nombreux échanges sur ce pèlerinage si merveilleux et bien méconnu. Les auteurs ont partagé leur expérience sur ces durs mais enrichissants chemins andalous à la découverte de l’âme de ce peuple et de cette foi populaire. Il fut aussi question de tauromachie naturellement avant de passer à de délicieuses agapes présidées par Alain Biec le président du club en présence du président du club de La Brède (Peña des Graves) Michel Campistrau et de la doyenne du club âgée de 92 ans et de nombreux amis.

Une super soirée.

LES RENCONTRES DE CASTRIES

Rencontres des Cultures Taurines organisées par le Cercle Taurin « Le Trident » de Castries les 25 et 26 Janvier prochain en partenariat avec la Ville de Castries, la FFCC, la FFCL et l’UCTF…

Ces rencontres existent depuis 2008 et regroupent des projections de films et de diaporamas sur les tauromachies camarguaise, espagnole et landaise, mais aussi des rencontres avec des auteurs, des écrivains, des passionnés, une exposition et les animations virtuelles et immersives proposées par la FFCC.

Un Café-Débat clôturera l’après-midi du samedi sur le thème des Familles d’éleveurs avec la présence d’invités de marque.

Notre objectif est de toucher de plus en plus la jeunesse et de transmettre la passion qui nous anime pour la tauromachie au sens large. Nous cherchons également à faire connaître au public castriote de nouveaux artistes de qualité.

Il est à noter que cette année la nouveauté est l’organisation d’un concours photos / réels ouvert aux jeunes de moins de 25 ans, en partenariat avec la FFCC, la FFCL, l’UCTF, l’Union des Jeunes de Provence et du Languedoc et les Jeunes du Sud-Ouest…

(Communiqué)

Pascal Mailhan au club taurin l’Aficion

« Ranchero » de Pagès Mailhan vainqueur du concours de Vic (photo B. Carritey)

Dans le cadre de ses activités mensuelles, le club taurin l’Aficion et son président Thomas BOUSQUET recevront le vendredi 17 janvier 2025 à 19h00 au domaine Augé, à Boujan l’éleveur Pascal Mailhan qui viendra nous présenter son élevage.

La soirée se poursuivra par un apéritif dînatoire et la traditionnelle galette des Rois. Les personnes désirant participer à cette soirée (tarif : 15€/personne), se feront connaître par retour de mail au plus tard le 13 janvier prochain à 18h00. Les personnes ne participant uniquement qu’à la conférence se signaleront également même voie.

Bruno Lasnier et Pierre Vidal au club taurin d’Arcachon ce vendredi soir

Vendredi 10 janvier, soirée à 19 HEURES AU SIEGE 6 RUE DE LA HUMEYRE à LA TESTE*SUIVIE DU DINER AU RESTAURANT DU PORT (en face).– Nous aurons le plaisir de recevoir PIERRE VIDAL et BRUNO LASNIER pour la présentation de leur bel ouvrage “ VAMONOS ! sur le chemin du Rocío “( L’Atelier des Brisants , 2024) , lequel nous emmène jusqu’ au petit village andalou du Rocío la semaine de Pentecôte : un voyage captivant dans le Parc de Doñana. “Les photographies de Bruno Lasnier en parallèle du récit de Pierre Vidal pénètrent l’intimité du Rocío”, souligne Antonio Arévalo dans sa présentation.PIERRE VIDAL est journaliste professionnel. Il est l’auteur de nombreux livres sur l’art et la tauromachie ainsi que de films (sur Thomas Dufau et Juan Bautista entre autres). Il interviendra également en tant que fondateur du site Corrida sí et du Club Taurin de Mimizan.

BRUNO LASNIER est auteur photographe. Il a publié entre autres ouvrages “Cartel”, ”La veillée d’armes”, ”Autour de l’arène”, ”Fernando Cruz”… 

– POUR LE DINER AU RESTAURANT DU PORT D’UN MONTANT DE 37 EUROS PAR PERSONNE AVEC APÉRITIF, VIN et CAFÉ

On parlera aussi toro autour du site corridasi.com.

Renseignements: 06 80 30 09 49.

David Casas invité du Club Taurin de Paris le 30 janvier

Il y a exactement 60 ans, précisément un jour de mai 1964, l’Espagne cessait pratiquement de respirer pour suivre à la télévision la confirmation d’alternative d' »El Cordobés ». A cette époque lointaine, les corridas télévisées – toujours sur la chaîne « officielle » TVE –  étaient une rareté, et elles le sont restées encore longtemps, au moins jusqu’aux années 1980, marquées par la diffusion en direct de la fameuse « corrida del siglo » du 1er juin 1982 à Madrid, puis par l’arrivée de Canal Plus et les diffusions d’extraits, et parfois de corridas intégrales, à partir de 1985. Ce phénomène s’est amplifié dans les années 1990, époque de la « massification » où il était parfois possible de voir jusqu’à plusieurs corridas télévisées le même jour sur différents canaux. Ensuite sont arrivées les télévisions à « péage », Via Digital, un peu avant l’an 2000, Canal Plus, et jusqu’à tout récemment Movistar, qui diffusait en intégralité toutes les grandes ferias espagnoles. La dernière en date a été « Onetoro », l’an dernier, dont l’aventure s’est toutefois terminée – provisoirement? – de façon quelque peu frustrante puisque faute d’un nombre suffisant d’abonnés, la chaîne a essuyé de telles pertes qu’elle a dû renoncer à diffuser la feria de San Miguel à Sevilla et la feria d’Automne de Madrid.
 C’est dire que la question de la corrida télévisée est brûlante, notamment en raison du problème des droits d’image versés par les télévisions aux organisateurs et toreros, qui ont été à l’origine de plusieurs conflits – et, plus profondément, parce que la diffusion télévisée d’un grand nombre de corridas dans l’année a transformé très nettement notre rapport au spectacle.
Nul n’était mieux placé pour évoquer la question que celui qui fut pendant de nombreuses années journaliste pour Movistar, soit dans le callejon soit comme commentateur, avant d’être de l’aventure de Onetoro l’an dernier. 

C’est pourquoi le Club taurin de Paris aura le plaisir d’accueillir David CASAS le jeudi 30 janvier à partir de 20 heures au restaurant Loubnane, 29 rue Galande 75005 Paris. 
Prix de la soirée ( à régler en chèque ou espèces) membres du Club à jour de cotisation: 32 euros; jeunes de moins de 25 ans: 15 euros; hôtes de passage: 40 euros. Il vous est rappelé que vous êtes encore à temps de régler votre cotisation pour l’exercice en cours, d’un montant de 60 euros.

Vous pouvez également noter la réunion suivante, qui aura lieu le mardi 11 février avec Yves Charpiat, vétérinaire de l’UVTF.

(Communiqué)

Mont-de-Marsan: SOIRÉE GANADERÍAS À EL QUITE.

Mardi dernier, la Peña El Quite a reçu Christophe Andiné, Président de la Commission Taurine Montoise à l’hôtel Richelieu. Christophe a présenté les ganaderías de la feria de la Madeleine 2025. Auparavant, il avait très clairement fait le bilan de 2024, sans fausses excuses. Il a répondu aux questions des nombreux
socios présents qui ont apprécié ses explications.
La soirée s’est poursuivie par un apéritif-tapas et un délicieux repas préparé par le Chef Thierry Pantel.
Des cadeaux de Navidad : traditionnel calendrier de la Peña, livret sur les ganaderías de la Madeleine 2025, marques pages espagnols et taurins, ont été offerts aux socios. La soirée a été animée par un sorteo gourmand et fleuri avec un gagnant à chaque table.
Feliz navidad a todos.

CLUB TAURIN DE PARIS : La profondeur d’Emilio De Justo.

Emilio de Justo à son arrivée au Club Taurin de Paris le 11 décembre 2024. ©JYB

Ce 11 décembre, Emilio de Justo était l’invité du Club Taurin de Paris : accueilli avec chaleur, se mêlant à la cohorte des aficionados, il captait d’emblée l’attention et l’intérêt, après l’introduction du président Thierry Vignal.

Thierry Vignal, président du CTP accueille Emilio de Justo à Paris le 11 décembre 2024. ©JYB

Il évoque d’abord sa vie de torero : son enfance en Estrémadure, région taurine s’il en est, où il voit beaucoup de corridas à la télévision. Il est séduit surtout par l’émotion qui se dégage du spectacle et à 15 ans, il se lance dans la formation taurine : ses débuts sont simplement le toréo de salon avec Rafaël Canada et ce qu’on appelle en Espagne, le toreo de « tapia », où les jeunes apprentis attendent assis sur un mur lors des tientas que les toreros confirmés veuillent bien leur laisser la place. Puis il entrera à l’école taurine de Plasencia suivie par celle de Caceres.

En 2000, il revêt pour la première fois l’habit de lumière : une véritable fête et une grande émotion.

Il passe en novillada piquée en 2002, là où, dit-il, « les choses sérieuses commencent » et avec l’aide de son école taurine toréera 70 novilladas pendant les 5 années suivantes avec de nombreux succès dans les férias de novilladas (Arnedo, Arganda del Rey, etc.) et dans des grandes arènes. C’est là où il comprend l’exigence du toréo.

L’alternative survient en 2007 des mains de Talavante avec Cayetano pour témoin devant des toros de Jandilla. Après 2 saisons il subit en 2010 un fracasso monumental à Madrid où il entend les 3 avis. Sa carrière est suspendue pour 6 années très dures pendant lesquelles il ne perd pas courage. Pour continuer, avec l’aide du matador colombien Guerrita Chico, il se rend 4 années de suite en Colombie car il n’aura eu en Espagne qu’un seul cartel dans un pueblo d’Estrémadure. En 2013, il gracie un toro, ce qui lui vaut de nouvelles invitations et lui permet de retrouver le plaisir de toréer et de se rendre compte que Madrid n’avait été qu’un accident.

Emilio de Justo avec Thierry Vignal et Araceli Guillaume-Alonso pendant sa conférence au CTP le 11 décembre 2024. ©JYB

C’est Luisito, matador français retiré à San Lucar de Barrameda, qui le prend en mains et lui offre une opportunité à Orthez où il coupe 2 oreilles à une corrida de Hoyo de la Gitana. S’ensuivent des cartels dans tout le Sud-Ouest, notamment une rencontre avec les Victorino à Mont-de-Marsan où il coupe à nouveau 2 oreilles, puis l’année suivante avec les Adolfo Martin et le même résultat.

Ces succès attirent l’attention en Espagne et lui ouvrent des contrats (Valladolid, Azpeitia,..) et il revient à Madrid avec les Victorino et sort pour la première fois par la puerta Grande à la féria d’Automne.

L’année suivante, Bilbao et Pampelune lui ouvrent leurs portes, avec succès, mais la crise du COVID éclate bientôt et brise l’élan. Il a peur d’être oublié.

2021 est pour lui une année de consolidation avec des grandes portes à Madrid et à Séville pour la San Miguel, devant les Victorino.

Emilio de Justo sort en triomphe de la Maestranza de Séville après une grande faena au toro n°51 de Victorino Martin, le 23 septembre 2021. ©JYB

En 2022, l’empresa de Madrid lui propose un geste avec une encerrona le dimanche des Rameaux. Les arènes sont pleines et après une faena intense au toro de Pallares, c’est l’accident à l’estocade : la voltereta lui brise les vertèbres cervicales, heureusement sans déplacement, mais les médecins prévoient 1 an ou 1 an et demi d’arrêt. Suivent 4 mois et demi d’immobilité complète dans un corset et surtout de douleurs intenses, mais il savait qu’il devait tout donner. Et il revient au toréo, 5 mois plus tard à Almeria, avant de toréer 10 corridas dans des plazas de secunda pour retrouver le sitio malgré la douleur (sous calmants) et la gêne qui n’ont pas disparu. Intérieurement, « il pleurait pendant le paseo ».

En 2023, il torée de nouveau dans les grandes plazas ; les séquelles sont toujours là, surtout dans le cou, qui lui donnent 60% de ses capacités. Mais il s’entraîne à fond pendant l’hiver car il est sûr de réussir et d’être prêt en 2024. Cette temporada sera des plus importantes avec de grands succès à Madrid, Séville, Pampelune, Malaga, etc. et son vœu de revenir au sommet s’accomplit grâce à un moral d’acier.

De chaleureux applaudissements saluent cette évocation de sa carrière et préparent certaines questions qui vont suivre.

Emilio de Justo en naturelle devant Portezolano, n°51 de Victorino Martin, à Séville, le 23 septembre 2021. ©JYB archives

Q : Il a une relation particulière avec Victorino Martin : peut-il en donner l’explication ? Et quels sont les toros de Victorino qui l’ont le plus marqué ?

Cela a commencé par hasard : il vivait dans un village non loin de la finca de Victorino et vers 16 ans il faisait du stop pour aller à une tienta. Victorino s’arrête : lui-même est très impressionné de cette rencontre, mais Victorino lui indique que la tienta dans son élevage c’est dans l’autre direction et qu’il se trompe. Réponse : « Non, non, je ne suis pas encore prêt pour aller chez vous, on verra plus tard ! ». Ceci explique assez bien la qualité de leurs rapports futurs..

Pour les toros : en 2016 le premier toro de Mont-de-Marsan auquel il coupe 2 oreilles. En 2021, le toro de Séville auquel il coupe là aussi 2 oreilles et le toro de Madrid auquel il donne une des faenas les plus intenses de sa carrière et enfin la corrida de Victorino à Cali, une de ses après-midi les plus complètes.

Q : En 2024, Ses triomphes lui ont valu 6 rabos coupés dont 2 indultos. Lesquels lui ont apporté le plus de plaisir ?

Il doit réfléchir : La saison a été tellement riche qu’il a du mal à détacher l’une ou l’autre de ses faenas. Peut-être celle à un toro de Vellosino dans un pueblo qui lui a donné beaucoup d’émotions.

Emilio de Justo pendant sa conférence au Club Taurin de Paris, le 11 décembre 2024. ©JYB

Q : En parlant de force mentale, comment se remet-on après 2 toros rentrés vivants à Madrid puis après l’accident ?

C’est une question profonde et difficile. « je me pose la question : comment ai-je pu en être capable ? J’ai passé tant d’années sans toréer et comment ai-je pu faire tout ça ? Peut-être l’aficion et l’amour du toréo.

Le torero doit penser, faire ses choix et décider seul. La solitude et la réflexion sont absolument indispensables, car dans sa tête il se voit tout le temps en train de toréer ou se demande quel est le toro qu’il voudrait voir. »

Q : Dans le même ordre d’idées rêvez-vous de toros ?

Oui il y a un rêve dans sa vie. Et il rêve toujours de faenas. Mais de toute façon, la réalité est toujours meilleure que le rêve !

Surtout qu’il y a aussi des cauchemars.

En tout état de cause, il voit toujours le côté positif, même dans les moments désagréables : il voit le bon qui va arriver après.

Q : Quels sont les toreros avec lesquels il apprécie le plus de toréer ?

Tous. D’abord parce qu’ils l’ont admiré après l’accident de Madrid, lui-même les admire tous. Sur le concept du toréo, les grandes figuras l’ont impressionné Joselito, Ortega Cano, Manzanares. Il a pris beaucoup de plaisir à les voir toréer, mais cherche surtout son propre style.

Emilio de Justo répondant aux questions des aficionados du Club Taurin de Paris, le 11 décembre 2024. ©JYB

Q : Que sera sa temporada 2025 ?

(sourire) Ce sera une temporada où faire un pas de plus et améliorer son toréo. Il ne faut pas être conformiste et avoir l’humilité de savoir qu’il y a encore des choses à faire.

(Bien entendu, aucun détail concret sur ses perspectives de cartels en 2025.)

Q : Quel est son toro idéal : facile, difficile ? Celui qu’il faut attendre ou celui qu’il faut aller chercher ?

Il ne sait pas. Car c’est au torero de s’adapter au toro. Il faut donc le laisser tel qu’il est mais bien connaître les élevages pour être capable d’anticiper toutes ses réactions.

Il préfère le toro qui vient avec caste et bravoure et qui embiste bien. Il aime la bravoure, mais la bravoure franche, le toro encasté, mais avec de la classe.

Q : Est-ce important d’être chef de lidia ?

Le chef de lidia doit être attentif, mais c’est quelque chose qui relève plus de l’étiquette aujourd’hui. Tous les toreros sont extrêmement attentifs à ce qui se passe en piste. En fait, le seul problème est qu’on doit tuer le premier toro alors que le public est froid et que le torero lui-même n’est pas échauffé ni au plus haut de ses capacités. Mais il faut assumer son expérience.

Q : Comment abordez vous la peur après tout ce que vous avez subi ?

La peur est toujours là ; mais la peur de ne pas toréer est la plus dure !

On a envie de la ressentir quand on ne peut plus se retrouver devant les toros.

En outre, quand on dépasse sa peur, cela use terriblement.

Estocade d’Emilio de Justo à Portelozano, n°51 de Victorino Martin à Séville le 23 septembre 2021. ©JYB archives

Q : Emilio De Justo est reconnu comme un grand estoqueador. Quelles sont ses références ? Peut-il citer des estocades dont il se souvient ?

L’estocade est personnelle ; c’est une question de synchronisation des mouvements. La coordination est donc très importante et pour cela l’entraînement au carreton est fondamental. Il faut se sentir à l’aise au moment où on se profile, d’où le carreton car c’est le moyen de créer son propre style à partir d’une base technique.

L’estocade pour le souvenir celle donnée au toro du Puerto de San Lorenzo qui lui a permis d’ouvrir sa première grande porte de Madrid.

Emilio de Justo reçoit le livre Toreros dans la ville lumière, au CTP le 11 décembre 2024. ©JYB

Cette question conclut la soirée et Emilio de Justo peut saluer une nouvelle ovation avant de recevoir en cadeau le dernier livre de l’UBTF Toreros dans la ville lumière, car à son arrivée il n’avait pas manqué de poser la question : Y a-t-il eu des toros à Paris ?

Signatures et dédicaces d’Emilio de Justo pour les aficionados du CTP, à paris, le 11 décembre 2024. ©JYB

Après signature du livre d’or du Club et dédicace de quelques photos, la soirée se poursuivra autour d’un bon repas avant que les aficionados parisiens ne se retirent enchantés de cette soirée.

Jean Yves Bloin https://facealacorne.fr/

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