
Monterrey (Nuevo León) Mexique
Toros de El Junco
Enrique Ponce qui faisait ses adieux à la Monumental: 2 oreilles et oreille,
Sergio Garza: silence et silence
Arturo Gillo oreille et 2 vueltas al ruedo et oreille,
Monterrey (Nuevo León) Mexique
Toros de El Junco
Enrique Ponce qui faisait ses adieux à la Monumental: 2 oreilles et oreille,
Sergio Garza: silence et silence
Arturo Gillo oreille et 2 vueltas al ruedo et oreille,
Arènes de Latacunga , Equateur . Mano à mano. Première de la Feria de San Isidro Labrador. LLeno. Taureaux Triana (1er et 2ème) et Huagrahuasi (3ème et 4ème).
SEBASTIÁN CASTELLA, ovation et deux oreilles
ROCA REY, ovation et oreille
Latacunga (Equateur). Deuxième de la Feria de San Isidro Labrador –
Toros de Triana y Ortuño le sixième gracié:
David Fandila ‘El Fandi’, deux oreiles et ovation;
Manuel Escribano, deux oreilles et oreille
Borja Jiménez, ovation et deux oreilles et la queue symboliques.
Arènes de Juriquilla , Mexique . LLeno. Des taureaux de Los Encinos et Villa Carmela (5e bis) en guise de chapeau, bien présentés et inégaux dans le jeu.
GUILLERMO HERMOSO DE MENDOZA, ovation et ovation.
ENRIQUE PONCE, ovation et oreille.
OCTAVIO GARCÍA ‘EL PAYO’, ovation et silence
ISAAC FONSECA, oreille et ovation après avis.
Moroleón (Guanajuato) MEX Toros de La Muralla
Andy Cartagena, ovation et deux oreilles
Jose Mauricio, oreille et oreille
Luis David Adame, ddeux oreilles et ovation
Pachuca (Hidalgo) MEX 46° Aniversaire Plaza Vicente Segura mixte; despedida d’Enrique Ponce
Toros de Fernando de La Mora
Ponce palmas et vuelta,
Fauro Aloi ovación,
Diego San Roman ovation et ovation
Isaac Fonseca 2 oreilles et deux oreilles.
Tlaxcala, México. Quatrième de la Feria de Todos los Santos. Trois quart.
Toros de José María Arturo Huerta, le premier arastre lent.
ANTONIO FERRERA, palmas et silence.
ERNESTO JAVIER ‘CALITA’, deux oreilles et palmas après avis.
SERGIO FLORES, ovation et deux oreilles.
Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine !
Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,
Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,
La pâle mort mêlait les sombres bataillons.
Victor Hugo
Les anti-taurins ont vécu leur Waterloo hier au Sénat, une Bérézina où leurs troupes se sont noyées dans les glaces, sortant éthiques, en déroute de la bataille. C’est une éclatante leçon que ce vote sans équivoque des sénateurs. Une leçon universelle. Qu’ont-ils dit en effet : ne touchez pas à nos libertés, respectez nos cultures régionales, nos enfants sont sous la responsabilité de leurs parents. C’est le bon sens, la sagesse de la chambre dite haute qui a parlé.
Nous devons ce succès à la cohésion, la modération et la conviction du Milieu taurin dans son ensemble. L’Union des Villes Taurines de France son président Julien Dubois et les principaux maires qui le soutiennent Arles, Béziers, Nîmes, Dax, Bayonne, Mont-de-Marsan -et les autres- ont pesé de tout leur poids. Ils l’ont fait dans la cohésion et la modération. Tout cela a été coordonné avec efficacité par André Viard qui a fait un gros travail de lobbying qui porte ici ses fruits. On aura noté aussi la venue d’acteurs nouveaux comme les Jeunes Aficionados qui, directement concernés, ont joué un rôle non négligeable et original.
Durant le court débat médiatique qui a précédé la séance sénatoriale, on a senti que les lignes avaient bougé chez nos amis journalistes. Ce fut le cas, je l’ai noté à la volée, d’Europe 1 et BFM TV mais aussi de M6 et bien naturellement des France Bleues, notamment Gard Lozère. La presse écrite aussi nous aura vu d’une manière moins manichéenne je pense au Parisien mais aussi aux quotidiens régionaux comme Sud-Ouest (avec une itw de Julien Dubois dans SOD), de Midi Libre, La Provence ou la Dépêche qui ont montré une réelle sympathie pour la cause. Je voudrais enfin souligner les paroles sympathiques de Pierre Arditti dans « C’Dans l’air », sur France 5.
Faut-il s’endormir sur ces lauriers fraichement coupés ? Non ! Car on a vu aussi que l’agressivité des antis ne s’est pas démentie. Leur puissance -malgré un argumentaire déconnecté de la réalité- non plus ce fut le cas notament des plus radicaux comme PETA ou comme certaines « personnalités », excessives, violentes, contreproductives au bout du compte. Ceux-là ne sont pas prêts à lâcher le morceau et ils renouvelleront d’une manière ou d’une autres leurs agressions. Soyons prêts c’est-à-dire unis et centrés sur l’essentiel. Mettons nos puériles querelles d’égos dans nos cartables.
Que cherchait notre brave Samantha dans cette démarche sans perspective ? Quelle était la manœuvre politique envisagée, inattendue de la part du groupe qui a porté cette PPL ? C’est assez mystérieux, opaque. Si le but était de faire triompher une de ces fameuses « majorités d’idée » chères au Président de la République sur notre dos c’est raté. Car le tauromachie n’est pas la variable d’ajustement des calculs politiciens.
A bon entendeur salut!
Pierre Vidal
COMMUNIQUE
3Le Sénat a rejeté à une très large majorité l’attaque portée contre la corrida par le groupe RDPI en faisant siennes les conclusions de la commission des lois. Après avoir auditionné les parties, celle-ci avait estimé, conformément aux arguments développés par l’Union des villes taurines françaises, qu’au prétexte de la protection de l’enfance le texte présenté visait à :
⁃ sanctionner les organisateurs, les acteurs et les parents plutôt que de protéger les mineurs de traumatismes non démontrés,
⁃ porter atteinte au droit des familles et à l’autorité parentale,
⁃ porter atteinte au droit à la diHérenciation des collectivités qui confère aux maires le pouvoir de règlementer dans les domaines relevant de leurs spécificités.
En considérant que seuls les parents ont le droit d’inclure ou pas la culture taurine dans l’éducation de leurs enfants et que seuls les maires ont celui de règlementer la pratique de la tauromachie, le Sénat a franchi une étape importante sur le chemin de la protection définitive de la corrida en France.
Reconnaissante envers les Sénatrices et Sénateurs qui ont conforté les droit de la communauté culturelle taurine, l’UVTF poursuivra son action.dans cette voie.«
L’équipe de TOROS Y CAMPO serait ravie de vous recevoir afin de vous présenter son bilan de la temporada 2024 de l’ association, et vous présenter les perspectives pour 2025 !
DESPACITO A COMPAS !
Nous aimerions vivement pouvoir compter sur votre présence.
Abrazos Taurinos.
Patrick Laugier entame une grève de la faim pour défendre l’avenir de l’élevage dans les Bouches-du-Rhône.
Rendez-vous à Arles, Place de la République, samedi 16 novembre 2024, à 10h
Arles, le 13 novembre 2024 – Dès samedi 16 novembre à 10h, Place de la République à Arles, Monsieur Patrick Laugier, éleveur de taureaux de combat, entamera une grève de la faim pour dénoncer une situation injuste et inadmissible menaçant les droits des agriculteurs et l’avenir de l’élevage dans les Bouches-du-Rhône.
Depuis 1999, Patrick Laugier exploite les terres du Mas de l’Ilon, situées au cœur des Alpilles. Ce domaine, initialement confié par bail rural par des propriétaires privés, a vu son bail renouvelé en 2013 par acte authentique.
En 2017, cependant, ces terres ont été léguées au Conservatoire du littoral. Depuis lors, un contentieux oppose Monsieur Laugier au Conservatoire : bien qu’un accord initial ait été établi pour résilier le bail avec indemnisation, le Conservatoire refuse désormais de verser les compensations dues, arguant du classement des terres dans son domaine propre. Cette décision prive Monsieur Laugier non seulement de ses droits en tant que fermier, mais aussi de l’indemnisation pour ses investissements, ses améliorations, et ses pertes économiques.
Appel à la Mobilisation des Éleveurs et Agriculteurs Français
La grève de la faim de Patrick Laugier va bien au-delà de sa situation personnelle. Ce combat symbolise la lutte de tous les éleveurs de France contre la dévalorisation de leurs droits et contre l’expansion des terres agricoles dans le domaine public. C’est pourquoi, au nom des éleveurs de taureaux de combat de France, nous appelons à la mobilisation de tous les acteurs du monde agricole et des citoyens solidaires de ces valeurs. La défense des droits des fermiers, la pérennité de l’élevage de qualité, l’arrêt de la privatisation des terres agricoles, et le respect du monde rural sont des principes fondamentaux de notre engagement commun.
Appel au Soutien des Élus, Institutions et Citoyens
Nous demandons aux institutions compétentes, aux élus locaux et nationaux, et à chaque citoyen d’intervenir pour soutenir Patrick Laugier et, à travers lui, tous les agriculteurs français. Ces derniers risquent de voir leurs droits affaiblis et leurs terres transférées de façon permanente dans le domaine public, empêchant toute transmission patrimoniale aux générations futures. Le respect des engagements contractuels et le droit à une indemnisation équitable sont des fondements du droit rural qu’il est inadmissible de bafouer.
Nous invitons tous ceux qui soutiennent ces valeurs à se joindre à nous, samedi 16 novembre à 10h, Place de la République à Arles, pour soutenir Patrick Laugier dans ce combat pour la justice et pour l’avenir de l’élevage en Camargue et au-delà.
Robert MARGÉ – Président des Éleveurs Français des Taureaux de Combat
Contact Presse : 06 09 53 31 71
(Communiqué)
Sourçe: torofiesta.com
Une fois encore les réseaux sociaux s’enflamment de caricatures, d’invectives voire d’insultes avant le vote de la PPL sur l’interdiction de l’accès aux arènes au moins de 16 ans qui se déroulera ce jeudi au Sénat. Ce sera le jour de la rencontre Israël-France et avec l’éventualité d’un nouveau pogrom, en France cette fois ; le vote sénatorial, son résultat quel qu’il soit, sera vite passé à la trappe tant l’actualité est terrifiante. Les ennemis d’hier qui se traitent de « grosse poubelle », la macroniste Samantha Cazabonne et Manuel Bompard le LFIste -il a signé une pétition pour l’adoption du texte-, se trouvent dans le même camp. Leur opposition si vite oubliée serait donc du théâtre ? De l’agitprop ? Leurs disputes affichées une blague pour abuser la galerie ? Ils sont d’accord, en tout cas, sur un point essentiel : la réduction des libertés publiques.
André Viard sur BFM TV a parfaitement soutenu notre point de vue; sur la forme avec fermeté et modération et sur le fond en s’appuyant sur la raison et la sincérité. Dans ces moments troublés que nous traversons où on ne sait plus qui est qui, il est essentiel que quelqu’un de solide tienne la barre, car dans ce contexte, rien n’est acquis par avance, toutes les manœuvres, les combines peuvent être envisagées et avoir des résultats inattendus.
Dans tous les pays où elle est attaquée Espagne, Colombie, Mexique et désormais la France, la tauromachie n’est qu’une variable d’ajustement des combines politiciennes. Le discours moral de ses instigateurs n’est qu’un cache sexe : qui peut croire devant le spectacle de la violence inouïe donnée par les médias, incontrôlée sur les réseaux que la corrida heurterait notre jeunesse ? Qui peut y voir une sorte de priorité nationale autorisant les partis à dépasser leurs oppositions radicales ? Il n’y a là ni logique, ni vérité, ni raison.
Qu’il y ait dans la société sur ce sujet un « conflit de sensibilité » cela ne fait pas de doute. Il est dû souvent à une méconnaissance totale d’une pratique complexe et méconnue de très nombreux français. Respectons ceux qui ne pensent pas comme nous; personne ne les oblige à partager nos goûts. Mais interdire ce n’est plus pareil. C’est un précédent. Si nous interdisons telle ou telle pratique parce qu’elle ne nous convient pas, que deviennent nos principes républicains basés sur le socle liberté, égalité, fraternité ? Plutôt qu’interdire ou limiter les idées, les religions minoritaires, les pratiques régionales -taurines ou autres-, la responsabilité de l’Etat et de ses représentants n’est-elle pas de les protéger ?
Je ne doute pas que dans sa sagesse le Sénat respectera ces principes républicains, ciment d’une société déjà trop divisée.
Pierre Vidal
L’emblématique émission estivale « Intervilles », véritable institution du divertissement télévisé français, s’apprête à effectuer son grand retour sur les écrans de France Télévisions en 2025, ravivant ainsi les souvenirs d’une époque révolue où les jeux de prime time incarnaient l’esprit bon enfant et la convivialité estivale.
Pour l’occasion, c’est l’animateur phare Nagui, figure bien connue de l’audience et défenseur engagé des droits des animaux, qui prendra les rênes de l’émission. Mais ce retour tant attendu suscite déjà de vives réactions, notamment en raison de l’absence de l’une des figures les plus emblématiques du jeu : les fameuses vachettes, ces bovins qui, au fil des années, étaient devenus les véritables reines du programme.
Cette décision de ne pas inclure les vachettes dans le cadre de la nouvelle version du jeu a suscité une onde de choc parmi les fans de l’émission. Pour certains, elle s’apparente à une trahison des racines mêmes du programme et dénature ce qui faisait sa singularité. En effet, les vachettes, qui ont toujours été perçues comme un élément emblématique et même affectueux du show, ont été scrupuleusement épargnées de toute violence dans le cadre du jeu. Leur rôle se bornait à être des partenaires des candidats dans des courses effrénées et des jeux d’agilité, dans un contexte d’amusement collectif. L’absence de ces animaux dans la version 2025 est donc interprétée par certains comme une tentative de réduire une tradition populaire au nom d’une idéologie personnelle, portée par Nagui, contre les pratiques jugées violentes envers les animaux.
Certes, la défense des animaux et la lutte contre la maltraitance sont des causes d’une légitimité indiscutable et d’une grande noblesse. Cependant, dans le cas précis des vachettes d’Intervilles, il convient de nuancer cette position. Ces animaux, bien traités et parfaitement en sécurité dans le cadre des jeux, ne souffraient pas de maltraitance. Il semble donc pertinent de se questionner sur la portée de cette décision, qui pourrait être perçue comme une forme d’imposition d’une idéologie extrême, allant au-delà des intentions initiales de l’émission.
Il serait peut-être nécessaire de réfléchir à l’impact que des positions radicales peuvent avoir sur des causes pourtant porteuses de valeurs sincères et bénéfiques. À trop vouloir imposer une vision unique de la moralité, on risquerait de détourner certaines traditions populaires de leur nature originelle, en les privant d’une part de leur âme, voire en fragilisant l’essence même de ces formes de divertissement qui ont su toucher des générations de téléspectateurs.
Ainsi, si la démarche de Nagui, en tant qu’animateur engagé, est respectable dans ses intentions, elle interroge quant à son application dans ce contexte précis. Une remise en question des formes de divertissement populaires, en prenant en compte les spécificités et les nuances de chaque situation, est sans doute nécessaire pour éviter que l’évolution de la société ne sacrifie des éléments de patrimoine culturel au nom de principes unilatéraux.
TOP À LA VACHETTE !!!
Auteur : Cazaubon Sébastien
Ndlr les maires de Dax et de Mont de Marsan ont déjà décidé que leurs villes ne participeraient pas à ce nouveau jeu sans les vachettes.
Après 11 années marquées par l’exceptionnelle collaboration avec l’élevage de PEDRAZA de YELTES, la Peña Taurine Garlinoise se lance un nouveau défi pour sa Journée Taurine du 13 avril 2025 en présentant un nouvel élevage, inédit à plusieurs titres.
En effet, le choix de la commission taurine s’est porté sur la Ganaderia DOMECQ NUÑEZ qui fera non seulement sa présentation en France mais lidiera également la première novillada avec picadors de sa récente histoire.
La ganadera Maria Domecq Nuñez n’est autre que la fille de Fernando Domecq Solis qui, après avoir largement contribué à la notoriété du fer de Jandilla, reprenait celui de Zalduendo pour en façonner un élevage leader jusqu’à sa vente en 2014.
Les novillos proviendront ainsi de cette prestigieuse lignée Jandilla / Zalduendo que Maria et son frère Fernando Jr ont décidé de perpétuer en l’honneur de leur père.
Etant donnés les résultats probants de l’élevage dans la catégorie sans picadors, la Peña Taurine Garlinoise fonde beaucoup d’espoirs sur cette présentation qui pourrait bien s’apparenter à la découverte des Fuente Ymbro dans les années 2000 et bien évidemment à celle plus récente des Pedraza de Yeltes.
Rendez-vous donc le Dimanche 13 avril 2025 dans les Arènes de la Porte du Béarn à GARLIN !
© 2025 Corridasi - Tous droits réservés