Avant de faire le lleno dans les arènes de Dax, Robert Margé avec Antonio Arevalo ont fait celui de la Peña Alegria de Dax. Un public attentif pendant la conférence et heureux d’avoir passé un bon moment de convivialité dans ce lieu.

La conférence, c’est déroulée en trois tiers sous la présidence de Christophe Lafitte et Pierre Eridia. Elle a débuté par un paseo de son président Jean-Marie Badets.
Le premier tiers fut consacré à son parcours où d’employé de banque, il a pris le chemin d’éleveur. Il découvrit d’abord les chevaux puis les toros. Une phrase marquante de l’éleveur « Le cheval m’a appris la liberté et les toros m’on rematé». Avec émotion, il raconte au travers d’anecdotes savoureuses et de travail l’assencion de son élevage. Ses  choix Cebada Gago , Nunez puis Santiago Domecq.
Son exigence et le patient travail de toute la famille ont participé au brillant succès de la temporada de 2023. À la suite d’une question sur l’alimentation, il explique que la biodiversité de son campo permet d’apporter une diversité alimentaire en plus du pienso.
La seconde partie de ce tiers est consacrée au second fer la Ganaderia Avé Maria près de Séville ou comme il exprime, « C’est une BELLE histoire d’Homme » avec Bertrand Pages.

Robert Margé qui parle de Sebastien Castella

Le second tiers est consacré à l’homme apoderado et empresario.
Tout en étant éleveur de Toro, Robert Margé est devenu directeur technique puis impresario des arènes de Béziers. Il a développé le rayonnement de cette arène avec la création du village du cheval et de loges pour les entreprises.
Sa destinée dans la tauromachie a fait qu’il est devenu apoderado de plusieurs Maestros dont un en particulier ou la tonalité sa voix exprime une relation et une affection particulière le Français “Sebastien Castella”.

Le dernier tiers est consacré à celui de son nouveau combat dans l’arène politique avec sa candidature pour les élections européennes avec Alliance Rurale. Robert Margé avec beaucoup de conviction déclare à propos des écologistes « ces gens veulent nous faire disparaitre. »
Antonio Arévalo est intervenu tout au long de cette conférence pour apporter son regard d’écrivain et d’aficionado, mais aussi dans ce dernier tiers du livre consacré à l’éleveur.
La conférence a pris fin avec la traditionnelle série de questions du public et la remise par le président du foulard de la peña.

Nicolas Couffignal