« D’Ordóñez à Clemente, l’itinéraire d’une tauromachie », soirée de la Peña Antonio Ordóñez de Nîmes le mardi 22 avril…
Programmé en Arles le samedi de Pâques et « répété » à Nîmes pour Pentecôte, Clemente mérite l’attention des aficionados nîmois.
C’est pourquoi la Peña Ordóñez a souhaité proposer un rendez-vous pour le rencontrer autour d’un thème « D’Ordóñez à Clemente, l’itinéraire d’une tauromachie ».
Animé par Joël Bartolotti et en présence du maestro Clemente, à l’Hôtel C Suites le mardi 22 avril à 19h : Apéritif et Dîner débat.
Les fêtes de Bayonne 2025 s’annoncent prometteuses avec l’annonce du cartel de la corrida blanche des fêtes de Bayonne, après celle de la corrida rejon .
Le mystère autour de la figuras toute la semaine ajoute une dimension qui a réuni les aficionados bayonnais à la mairie vendredi soir.
Les organisateurs ont voulu faire de cette corrida un événement. 25 ans d’alternative pour celui qui est devenu une figura du toreo et qui a triomphé de nombreuses fois dans les arènes de Lachepaillet. Il s’agit de Sébastien Castella.
Lors de cette soirée, Yves Ugalde s’est exprimé devant une audience nombreuse, marquée par la présence du maire ainsi que des membres de la commission taurine.
Il va affronter seul l’élevage de la Ganadéria Pedraza de Yeltes dont on garde ici à Bayonne le souvenir avec Daniel Luque qui a flirté avec l’indulto en 2019 lors de la corrida Goyesque .
Cristobal rentre d’une campagne triomphale au Mexique où il a indulté un toro et coupé deux oreilles et la queue de son ultime samedi dernier. Rentré ce mercredi à Jerez, c’est à l’entraînement que nous le retrouvons aujourd’hui avant son départ demain matin pour son rendez-vous de Saint Martin de Crau ce samedi avec les Escolar Gil.
Cristobal revient tout d’abord sur ce début de temporada très enrichissant pour lui, qui lui donne un excellent entraînement pour les corridas qui s’annoncent à lui dans les prochaines semaines. Le moral est au beau fixe après les succès sud-américains il se sent vraiment prêt.
Son triomphe à Cenicientos l’an dernier lui a ouvert bien des portes et apporté une grande confiance. Dans sa vie personnelle , la naissance de son premier enfant avec sa compagne de toujours lui apporte maturité et responsabilité.
Saint Martin de Crau est une étape importante pour son retour en temps que matador de toro devant un aficion français pour laquelle il a un immense respect et qu’il compte bien impressionner.
Au passage il ne peut s’empêcher de glisser un mot de remerciement à celui qu’il appelle « abuelo »,Cristian Lamoulie, le grand aficionado roquefortais qui l’accompagne depuis ses débuts de novillero sans picador et avec lequel il garde des relations bien au-delà du professionnel.
Après son passage en France et avant son retour à Ceret, Cristobal a son grand rendez-vous avec Las Ventas. La confirmation dans la première place du monde a été gagnée à Cenicientos mais il sait qu’il devra sortir le meilleur pour convaincre l’aficion madrilène. Son style et sa détermination devraient le lui permettre.
En conclusion Cristobal est plus prêt que jamais plus convaincu que jamais de son avenir dans une profession qui est probablement l’une des plus difficile du monde. Il nous confiait en partant que si longtemps il avait cru qu’une bonne faena suffisait il é&tait maintenant convaincu que la suerte suprême est primordiale et suivant les conseils de Ruiz Miguel il pratique assidûment le careton. Suerte Maestro espérant un retour triomphal dans sa ville de Jerez et peut être un jour un paseo dans les arènes de la calle Circo .
Ce samedi soir, la Peña Adrien Salenc organise une conférence à la Cuevas de la Peña Taurine de Dax. Le rendez-vous réunit un public de tout âge, dans une atmosphère conviviale animée par Hugo Lavigne, qui mène l’entretien.
Au cours de cette rencontre, le matador Adriano se dévoile à travers le récit de son parcours. Avec un sourire chaleureux et une voix vivante, il transmet la joie que lui inspire la tauromachie, partageant ainsi la passion qui irradie chacun de ses gestes. Il rappelle notamment ses visites en ce lieu emblématique et relate sa découverte de la tauromachie lors d’une corrida à Rejon à Arles, soulignant qu’il a toujours considéré cet art comme l’objectif de sa vie et l’équilibre essentiel de son existence.
Au fil des anecdotes, Adriano revient sur ses débuts à Madrid, évoquant la vie en communauté, les tentations de la vie nocturne et la nécessité de forger une carapace d’acier face aux défis du quotidien. Chacune de ses histoires est empreinte d’un souvenir positif qui témoigne de la richesse de cette période formatrice.
Adriano qui parle de Olivier Baratchart tout en le regardant
Dans un élan d’émotion, le matador évoque également des figures marquantes de son parcours : il parle du maestro El Juli et de son apoderado, et met en lumière sa relation quasi filiale, établie depuis quinze ans, avec Olivier Baratchart, dont l’anniversaire est célébré ce jour même. Chaque élément de cette conférence offre ainsi une immersion authentique dans l’univers de la tauromachie, où tradition et passion se rencontrent dans une symphonie de récits intimes et mémorables.
Entre les questions de Hugo Lavigne et les interventions parfois nombreuses du public, l’échange s’installe de manière dynamique et enrichissante. Le matador évoque ses relations avec les éleveurs de toros à travers les tentaderos, qui lui permettent de mieux appréhender la patience et de se préparer mentalement à chaque corrida. Il exprime son intérêt pour la génétique des toros.
Le meneur de l’entretien revient sur des échecs formateurs, comme celui de Dax en 2024 avec Aigre Douce, lors duquel il perd les trophées à l’épée, ou encore celui d’une corrida organisée par la Ganaderia de Pedraza à Yeltes, avec un lot qui aurait pu lui permettre de triompher. À l’issue de cette corrida, il se fait opérer de l’épaule pour soigner une blessure datant de 2017 et entame une rééducation soutenue par sa famille et ses amis.
Il enrichit son univers artistique en s’adonnant à la lecture et au cinéma, entre autres passions qui complètent son parcours atypique. Il revient aussi sur divers succès, notamment à Bayonne lors de la Goyesque et à Arles devant les toros de la Ganaderia de Victorino Martin, en illustrant chacun de ces moments par de riches anecdotes.
Pour 2025, il se montre prêt à revenir au premier plan des toreros français, à l’instar de 2022, et il espère triompher à Dax. L’issue de ce défi sera dévoilée au mois de mai.
Les cartels sont déjà annoncés pour la féria de Chota, féria péruvienne parmi les plus importantes du pays andin. Cette année, elle se tiendra du 25 au 27 juin. Trois corridas y seront présentées, avec les combinaisons suivantes :
Mercredi 25 juin : Taureaux de San Pedro et Salamanque pour Jesús Enrique Colombo, Juan Leal et Alfonso de Lima .Jeudi 26 juin : Taureaux de San Simón pour David Fandila « El Fandi », Ismael Martín et Luis López. Vendredi 27 juin : Taureaux de San José del Monte pour Sebastián Castella, Fernando Adrián et Julio Aguilar.
Nous avons vu dernièrement CLEMENTE dans l’élevage de taureaux de Victoriano del Rio près de Madrid lors d’une tienta. C’est l’élevage de sa confirmation d’alternative à Madrid le 9 mai 2025. Photographies Bertrand Caritey et Bruno Lasnier.
Il combattait trois vaches solides et bien armées et il est prêt. Il a l’art et la cadence. Il n’y a pas de round d’observation et on sent qu’il est en confiance. Il a déroulé toute sa tauromachie devant nos yeux et nous a enchanté.
Il se prépare à fond en Espagne et on lui souhaite de bien débuter la temporada. La 1er date connue pour lui est le Samedi 19 avril à Arles à 16h30 : Toros de El Parralejo pour Sébastien Castella, Clemente et Tristán Barroso (alternative). Suerte Torero.
Morante à la une de l’ABC aujourd’hui : « J’ai une maladie très douloureuse. Ça me tourmente de devenir fou. » C’est inquiétant !
🗣 ENTREVISTA A MORANTE DE LA PUEBLA | Quinientos kilómetros separan La Puebla del Río de Marinha Grande, capital del vidrio y refugio portugués de Morante de la Puebla. El torero vive ahora entre el verde del pinar de Leiria y el azul del Océano Atlántico. Aunque nadie le ha… pic.twitter.com/irCnqfA9MU