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Indulto à Merida (Venezuela)

Plaza de Toros Monumental “Román Eduardo Sandia” de la ciudad de Mérida, Venezuela; plus de 1/2 arène –  

Toros de El Prado, Rancho Grande y San Antonio, le second la vuelta al ruedo, le sixième gracié. 

José Luis Rodríguez, oreille et ovation; 

Antonio Ferrera deux oreilles et palmas;

Manolo Muñoz, oreille et deux oreilles symboliques

Ciudad Rodrigo: Juan Manuel Candelas triomphe

Plaza de toros de Ciudad Rodrigo, Salamanca. Deuxièmeo festejo de los Carnavales del Toro de Ciudad Rodrigo. Lleno.

Un novillo de El Canario (5º) pour rejones et erales de Castillejo de Huebra, le 4ème vuelta al ruedo.

• DAVID FERNÁNDEZ ‘EL GALI’, ovation.

• SALVADOR HERRERO, palmas.

• NOEL GARCÍA, palmas.

• JUAN MANUEL VIDAL CANDELAS, deux oreilles et la queue. JM Vidal qui a débuté en France l’an dernier à Castelnau Rivière Basse est le petit frère du jeune matador de Sanlucar de Barameda El Melli.

• VÍCTOR HERRERO, oreille.

Images du carnaval:

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Photos : mairie de Ciudad Rodrigo

Saint Perdon: Ouverture de la billetterie

La Peña La Muleta de Saint Perdon vous donne rendez-vous le 5 Avril 2025 pour sa traditionnelle novillada , aux arènes du Plumaçon. Nous espérons vous retrouver nombreux au cours d’une des premières journées festives du Sud-Ouest.

La Une des Cahiers du cinéma

La corrida à la Une de la revue prestigieuse de Truffaut, Godard et cie, grâce au film d’Albert Serra; consacré à Roca Rey, bientôt sur les écrans.

Cantes Jondos et Palmas

Vient de paraître aux éditions Méridianes le livre de Serge Pey, dédié au torero Yvan Fandino Barros et au taureau Provechito : 

CANTES JONDOS ET PALMAS

Pour un échange d’âmes entre Yván Fandiño Barros et Provechito, taureau de la ganaderia de Baltasar Ibán 

durant  la messe du 19 juin 2017 dans l’église Santa Maria d’Orduña

a été tiré à 10 exemplaires numérotés de I à X et signés, accompagnés d’un dessin original de Serge Pey (encres,15×21,2022) sur papier Tintoretto et présentés sous un étui cartonné réalisé par l’atelier L’œil de Chat à Corconne.

Le tirage courant est de 200 exemplaires numérotés de 11 à 200. 64 pages ; format : 20 × 24cm ;12 illustrations.

Je vous signale aussi la parution plus ancienne du texte de F. Garcia Lorca : Essai sur le taureau en Espagne accompagné d’un dessin de Claude Viallat ; et celui de M. Hernandez : J’appelle le taureau d’Espagne accompagné de pastels de Vincent Bioulès. Les deux bilingues français-espagnol; traduction: René Pons 

RONDA !

Cayetano qui va se retirer en fin de temporada, en passe par le haut au toro n°132 de Garcigrande, à Ronda, le 9 septembre 2016. ©JYB archives

Ronda attire les touristes pour ses paysages vertigineux, son Ponte Nuevo d’où les prisonniers nationalistes furent jetés dans le vide pendant la guerre civile, mais aussi et surtout pour ses arènes mythiques.

Concours de calèches le premier jour de la féria, à Ronda. ©JYB archives

Les calèches sont une des marques de la féria: d’ailleurs, pour la corrida goyesque, les toreros arrivent aux arènes en calèches et sont précédés par un concours, le plus renommé d’Espagne peut-être avec celui de Séville, qui ouvre les cérémonies.

On sait qu’il n’y aura pas de féria à Ronda pour la deuxième année consécutive en 2025. Les travaux de mise aux normes de la plaza ne sont pas terminés et la toiture de tuiles a elle aussi besoin d’une rénovation. En attendant, on ne peut que visiter les arènes pour en découvrir certains caractères très spécifiques.

Les visiteurs des arènes qui passent par le toril, marchent sur les cendres d’Antonio Ordonez enterrées devant la porte. ©JYB archives

On sait par exemple qu’Antonio Ordonez demanda que ses cendres soient enterrées dans la plaza de Ronda, ce qui fut fait, symboliquement, devant la porte du toril. Mais on ignore qu’un autre torero Curro Guillen, mortellement blessé par la corne d’un toro de Cabrera, en 1820, fut lui aussi enterré dans les arènes. Le guide local affirme que son tombeau se situe dans le couloir des chiqueros, juste avant la sortie, d’autres (Wikipédia) que ses restes ont été découverts sous le sable à l’occasion de travaux.

Talanquère des arènes de Ronda. ©JYB archives

Parmi les caractéristiques des arènes, il y a ces talanquères, à moitié en pierre, à moitié en bois, peintes d’un gris qui échappe à la tradition du rouge habituel, et décorées de frises ou du sigle de la Reale Maestranza de Caballeria de Ronda.

A Ronda, pas de barrera le premier rang s’assoit les pieds dans le vide au dessus du callejon. ©JYB archives

Les places les plus recherchées par les spectateurs sont celles du premier rang, même si elles présentent un risque au cas où un toro réussirait à sauter dans le callejon. Mais le risque est faible, compte tenu de la hauteur des talanquères.

Costumes goyesques de Antonio Ordonez, Paquirri et Francisco Rivera au musée de la Maestranza de Ronda. ©JYB archives

Sous les gradins, un musée très bien conçu et riche en détails de grande valeur permet d’évoquer le souvenir des toreros ayant combattu en ces lieux depuis la création des arènes au 18 ème siècle.

Manzanares en véronique devant le toro n°80 de Garcigrande, à Ronda, le 9 septembre 2016. ©JYB archives

On sait que les arènes de Ronda sont un fief torériste et que ne s’y produisent que les toreros choisis par les descendants de la famille Ordonez qui en a la gestion. Les plus grands noms y ont donc toréé, dont Léa Vicens qui a participé à la traditionnelle corrida de rejon de la féria. Car dans les dépendances des arènes figure aussi une école d’équitation renommée et, comme dans toute l’Andalousie, le cheval est roi comme le toro.

Léa Vicens sur Betico banderillant un toro de Passanha le 11 septembre 2016. ©JYB archives

Pourtant les corridas de Ronda présentent quelques spécificités techniques: d’abord il n’y a aucun affichage des caractéristiques des toros dans l’arène: ni poids, ni âge, ni numéro d’identification: ici, c’est la tradition, et le public vient pour les toreros, pas pour les toros!

Toro n°26 de Toros de la Plata, rematant le burladero pour agresser son ombre, à Ronda, le 9 septembre 2016. ©JYB archives

Autre caractéristique de la plaza, le sortéo est ici intégral: on ne crée pas de lot après de longues discussions entre banderilleros de confiance, mais on tire simplement au sort l’ordre de sortie des toros: les 6 numéros des toros inscrits sur les traditionnelles feuilles de papier à cigarette sont mis dans le sombrero du mayoral et chaque « confiance » à tour de rôle tire un des papiers.

Véronique de Lopez Simon, dans le soleil de Ronda, au toro n°38 de Garcigrande, le 9 septembre 2016. ©JYB archives

Mais même sans féria en 2025, Ronda mérite une visite !

Le Ponte Nuevo de Ronda. ©JYB archives

Texte et photos JY Blouin https://facealacorne.fr/

Tienta à Aurice

Tienta – repas 30 euros ,sur réservation au 06 58 71 53 38.

L’affiche des fêtes de Bayonne

Photo Mathieu Prat

L’affiche des Fêtes de Bayonne 2025 a été dévoilée ce midi. Elle est l’œuvre de Julie Alenda et a généré 31,21 % des votes des internautes. ▪︎ 2 corridas seront au programme : – vendredi 11/07 : Corrida blanche des Fêtes – samedi 12/07 : Corrida à cheval.

LES « CAMINO DE SANTIAGO » A VILLENEUVE-DE-MARSAN

Très bon choix du club taurin de Villeneuve de Marsan que celui de donner une corrida intégrale du Camino de Santiago. On ne dira jamais assez que Jean Louis Darré, le ganadero de Bars est un pionnier et qu’il est le seul dans le sud-ouest à être allé au bout du destin de ganadero de bravo c’est à dire jusqu’à élever un toro de quatre ans. Reconnu en Espagne où il a lidié de nombreuses corridas avec succès, il a été ignoré en France, du moins au niveau des corridas, car nul n’est prophète en son pays. Il y eut une exception heureuse et brillante: Mimizan où il fut répété avec succès les trois premières années des « arènes du Courant ». Le voilà de retour sur ses terres gasconnes à Villeneuve -où il fut déjà présent- le 5 août prochain, une date à ne pas manquer !

PV

Valence: One Toro ressucite, Madrid 17 spectacles de la San Isidro sur CMMTV

La plateforme One Toro n’est pas morte: elle diffusera quatre des spectacles donnés dans le cadre des fallas de Valence.

● J 13 mars à 16:30: Novillada con picadores. Novillos Fuente Ymbro : El Mene, Javier Zulueta, Simón Andreu.

● V 14 à 16:30: Corrida de toros. Toros de El Parralejo para Miguel Ángel Perera, Paco Ureña y Fernando Adrián.

● S 15 à 16h30 Corrida de toros. Toros de Victoriano del Río / Toros de Cortés: Talavante, Roca Rey, Alejandro Chicharro (alternative).

● D 16 à 16:30: Corrida de toros. Toros de Jandilla / Vegahermosa: Manzanares, Roca Rey , Tomás Rufo.

Le même jour Castilla la Mancha Media TV qui a télévisé l’an dernier 71 spectacles taurins avec des scores remarquables annonce qu’ elle va téléviser désormais 17 spectacles taurins de la San Isidro. Cela lève l’hypothèque de Télé Madrid qui va téléviser elle aussi la San Isidro sans que l’on sache si cela sera en mode ouvert pour tous les téléspectateurs ou réservé aux madrilènes.

Reste Séville, Ramon Valencia, le patron de Pagés, ne peut -ou ne veut- rien dire sur le sujet. Il y a des négociations en cours néanmoins. Canal Sur est sur le coup c’est une bonne chose car les retransmissions en direct y battent tous les records : une moyenne de 4 millions de personnes.

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