Catégorie : club Page 2 sur 12

BORJA JIMENEZ AU CLUB TAURIN DE PARIS.

Le club taurin de Paris accueillait ce jeudi Borja Jimenez qui vient de vivre une temporada brillante après 7 années de galère. Accueilli par de chaleureux applaudissements, le maestro prenait place à la tribune et se livrait au feu des questions de la salle.

Accueil chaleureux pour Borja Jimenez au Club Taurin de Paris, le 23 novembre 2023. ©JYB

Sa vocation est née des tientas auxquelles il assistait vers ses 10 ans époque à laquelle ses toreros référents étaient Espartaco, Manzanares (père), Miguel Abellan, et un peu plus tard El Juli socle de sa passion pour les toros.

Pendant ces 7 années il a continué à s’entraîner quel que soit le nombre de corridas qu’il pouvait signer : il ne faut pas s’arrêter, au contraire. Heureusement les ganaderos (Martin Lorca, Murube, Julio de la puerta, Espartaco etc.) ont été accueillants et lui ont permis de tienter régulièrement. C’est grâce à cet entrainement qu’il a gagné ses cartels 2023.

En fait, paradoxalement, c’est la pandémie du COVID qui lui est venue en aide : Les ganaderos ont fait lidier au campo de nombreux toros qu’ils ne pouvaient vendre, des toros de respect le plus souvent faits pour les arènes de primera. Au cours de ces lidias privées, il s’est rendu compte qu’il était prêt et plus important, des apoderados et des empresas s’en sont aussi rendu compte, notamment Julian Guerra qui le fait entrer dans la Copa Chenel et à Madrid.

Borja Jimenez à la tribune du CTP encadré par Thierry Vignal et Araceli Guillaume. ©JYB

Il s’est donc installé à Salamanque avec Julian Guerra (qu’il considère comme un coach formidable et avec qui il ne pense pas qu’il puisse avoir des problèmes relationnels) qui l’a fait évoluer techniquement en prévision de la Copa Chenel où il tombe notamment sur un toro de Fuente Ymbro très fort qui lui permet de triompher. Mais le point clé de sa saison pour lui, est la corrida d’Escolar Gil à Pampelune, car à partir de là, le mundillo s’intéresse vraiment à lui et lui fait signer 6 ou 7 corridas en plus de Madrid. A propos de la polémique sur le retrait de points pour avis en demi-finale de la Copa Chenel, il considère qu’avec le temps ce ne sera qu’une anecdote, d’autant que ce système de décompte a été supprimé pour les prochaines éditions. Il regrette surtout que sa proposition de lidier en 3 ème de la finale les deux toros de Palha n’ait pas été retenue.

Mais le grand succès de sa saison est la corrida de Victorino Martin le 8 octobre à Madrid sur laquelle la salle l’a longuement interrogé :

C’est une première pour lui et Julian Guerra n’a pas voulu accepter sans avoir son accord, qu’il a donné immédiatement car il pensait qu’il pouvait s’y passer quelque chose de bien et, plus tard, à la veille de la corrida, il se sentait très concentré.

Les 3 semaines précédentes, il est allé tienter chez Victorino qui lui a expliqué, en théorie, comment lidier ses toros, (hauteur de la muleta, qui doit être très plate pour que le toro ne voie pas son corps, toque, etc.), passant beaucoup de temps avec lui. En voyant le résultat de ces conseils devant les vaches, la nervosité des premiers instants s’est effacée.

Paquecreas, n°46 de Victorino Martin, lidié en seconde position par Borja Jimenez qui va lui couper une oreille à Madrid, le 8 octobre 2023. ©JYB

Le toro de Victorino est très exigeant sur le plan technique et sur le don de soi. Devant lui, il ne faut jamais hésiter : si on arrive à le dominer, on en tire le meilleur. Selon Victorino, il faut le toréer en ligne droite au départ pour qu’il dure et ne venir au toréo en rond qu’ensuite. Mais à Madrid, le public ne réagit que sur le toréo en rond, donc il n’a pas pu totalement respecter cette règle. Par contre, Victorino n’a pas insisté sur le caractère « tobillero » de ses toros.

Plazuelo, n°22 de Victorino Martin, (tobillero) cherchant les chevilles de Borja Jimenez, à Madrid le 8 octobre 2023. ©JYB

À Madrid, alors que la grande porte était assurée après ses deux premiers toros, il a choisi d’aller à puerta gayola : Julian Guerra n’est pas intervenu dans cette décision. Lui, voulait d’abord la grande porte, mais aussi convaincre. Donc la porte du toril et la meilleure faena possible s’imposaient, même si le Victorino n’est pas facile à toréer à genoux.

Au cours de ses faenas on a remarqué la longueur de ses naturelles : certains toros le permettent, d’autres non ; il considère que c’est à lui de s’adapter. Les 3 Victorinos permettaient et il en a profité. Un aficionado a remarqué que ses toques étaient plus forts à droite qu’à gauche. Effectivement son premier toro présentait plus de difficultés à droite, il s’est adapté ! Pour les deux suivants, cela n’a pas été nécessaire sauf pour quelques passes isolées.

Naturelle croisée en chargeant la suerte de Borja Jimenez à Paquecreas, n°46 de Victorino Martin, à Madrid, le 8 octobre 2023. ©JYB

On a remarqué aussi qu’il était très croisé à Madrid. C’est une question de colocation. Le Victorino l’exige particulièrement, mais il essaie de le faire partout devant tous les toros. Car il ne veut pas de concept du toréo fermé ; il préfère un concept large pour pouvoir toréer tous les encastes et trouver le tracé adapté à chaque toro.

Pour la technique, a-t-il visionné ses faenas de Madrid ? Le soir même, c’était impossible car le téléphone n’arrêtait pas de sonner ! Il considère de toute façon qu’il vaut mieux le faire la tête froide après quelques temps pour une analyse critique moins émotionnelle et plus constructive.

A la question sur l’influence de son succès à Las ventas sur sa prochaine temporada, il souligne qu’il n’a plus le temps de rien faire (sauf l’entraînement) car il est invité partout : c’est ainsi qu’au sortir de la soirée, il se préparait à prendre un avion à 6 heures du matin pour rejoindre Salamanque et tienter en présence de l’empresa de Séville. Séville où rien n’est encore fait car l’empresa attend « les rois mages » pour commencer ses négociations. Mais il y a déjà plusieurs contrats signés et d’autres en cours, mais il ne dévoilera rien, l’annonce des cartels appartenant aux empresas.

Cependant, il a bien voulu concéder qu’un mano a mano avec son frère Javier était programmé en 2024.

Borja Jimenez devant Patatero, n°47 de Victorino Martin, à Madrid, le 8 octobre 2023. ©JYB

Pour répondre à la demande du public (et à celle de Victorino Martin qui a déclaré qu’il devait prendre ses toros), il considère que c’est vraiment un luxe de lidier les Victorinos, parce qu’ils ont du fond, qu’il faut aller les chercher et en extraire la substantifique moelle. C’est pourquoi, il veut les prendre mais dans les grandes arènes pour des publics connaisseurs, notamment en France (où il n’a jamais toréé depuis son alternative).

Ceci dit, il accepte de prendre des corridas dures, mais dans des endroits importants et veut aussi toréer avec les figuras et leurs toros. Ses élevages favoris : Victorino et l’encaste Albaserrada étant incontournables, il voit chez Santa Coloma La Quinta et Ana Romero, et par ailleurs, Victoriano del Rio,  Garcigrande parce qu’ils ont du fond et qu’il faut trouver leur charge. In fine il aspire à la variété.

À quelques questions plus personnelles il a souligné que dans les diners de famille on ne parle jamais de toros. Et que ses kilomètres de voyages et ses obligations l’empêchaient de rencontrer le public dans la rue, avec les selfies etc. Peut-être les vivra-t-il avec les fêtes qui approchent.

Auditoire conquis et enchanté de la prestation de Borja Jimenez au Club Taurin de Paris, le 23 novembre 2023. ©JYB

Au final, une excellente soirée où l’on a apprécié la sincérité et l’engagement du torero : encore une fois, les absents non excusés ont eu vraiment tort !

JY Bloin (texte et photos) https://facealacorne.fr/borja-jimenez-au-club-taurin-de-paris/

ARLES, LA FÊTE, LE PARTAGE : LA TAUROMACHIE DANS TOUS SES ETATS !

Photo P. Hermé

L’École Taurine du Pays d’Arles organisait ce dimanche 12 novembre une Journée au Campo qui était aussi sa fête de fin d’année taurine. C’était à La Chassagne. Manière d’honorer le souvenir de Luc Jalabert, l’un des pères fondateurs de l’école telle qu’elle existe aujourd’hui, et de remercier Jean-Baptiste, Lola et toute leur équipe pour le travail fourni ces dernières années en tant qu’empresa des arènes pour transmettre le goût de la Tauromachie.

Occasion surtout pour l’ensemble des élèves de l’école, de mettre en pratique le travail mené tout au long de la saison et montrer leurs progrès. Entourés de leurs professeurs Mehdi SAVALLI, Graziella BORTOLIN, Jérôme Chan The Rang « EL CHINO », et toute l’équipe administrative de l’école, soutenus par ce public d’aficionados, connaisseurs et bienveillants, si nécessaire au soutien de leur passion, ils se sont « régalés » et nous ont « régalé ».

Dès le matin, Juan de MORENA, MATIAS, LISARES et MATHIS ont affronté trois novillos de l’élevage TARDIEU. On dit que sans toro, il n’y a pas de « toréo » ? Merci Loulou, Alain et Magali pour ce lot encasté, parfait pour apprendre et s’exprimer quand « on lui faisait bien les choses ». L’élégance des gestes de Juan, la détermination de MATIAS prêt à passer en sans picador l’année prochaine, la relation si personnelle que LISARES parvient à établir avec le toro, chacun à sa manière, à son niveau et dans son style ont fait passer une belle matinée taurine. Et puis un salut particulier à MATHIS, dernier élève ayant rejoint l’école et dont c’était la « première épée » en public : outre un style déjà affirmé, il a fait l’effort et réussi l’épreuve ! Merci et bravo à eux. L’école sera bien représentée dans les défis à venir !

Il fallait un bon repas pour faire passer ces premières émotions. Notre ami Miguelito avait concocté sa bonne Paella Don Miguel et les tartes de la Feria des Pains apportaient cette touche de sucré qui se fait « chupar los dedos »…

Il était temps de reprendre un après-midi de tienta qui se révélera… plein de surprises. Les deux vaches sorties en premier étaient exigeantes ? Difficiles ? Les présents verront alors les maestros JUAN-BAUTISTA et Mehdi SAVALLI prendre les trastos pour partager ce moment essentiel de la vie d’un élevage, la sélection du bétail, mesurant bravoure, noblesse, qualités, défauts de vaches que l’on gardera ou non comme reproductrices. Leçon de savoir-faire et de plaisir partagée entre grands toreros arlésiens. Le public était ravi, les élèves fascinés !

Olé Torerazos !

Alors quand est sorti ce petit novillo à la bravoure infinie et la noblesse exquise choisi avec soin par l’incontournable BILLY, mayoral de la ganaderia, ce sont tous les plus jeunes élèves, LUCA, ANDY, BAPTISTE, ENZO, LONNY, NOAH, ELIAN, YONIE, JUANITO DE VALVERDE qui ont tenu à montrer leur envie, prouver combien ils commençaient à manier capote et muleta, et nous dire « moi aussi je veux faire comme eux quand je serai grand ! ».

Ils ont été, rejoints par d’autres jeunes dont c’était parfois la première fois qu’ils se mettaient face à un novillo. Aux côtés de Jean-Baptiste, Mehdi, Jérôme, Graziella, ils goûtaient à la fête, une fête dont certains rêvaient qu’elle ne finisse jamais.

MERCI ET BRAVO A TOUS

ET A L’ANNEE PROCHAINE !

(Communiqué)

Mimizan: Assemblée Générale du Club Taurin

Le 8 décembre prochain à 19h au Casino de Mimizan aura lieu notre Assemblée Générale qui va clôturer cette saison taurine mimizanaise 2023.

Avant de se mettre à table autour d’un bon REPAS, rapport moral, financier, perspectives pour la prochaine année … seront présentées.

Menu : 25€ vin et café compris

Œuf cocotte au bouillon thaï

Filet mignon de porc, purée de patates douces, oignon glacé, fenouil et jus réduit

Profiteroles maison

Réservations à torosenmimizan@gmail.com avant le 25 novembre.

L’authentique

Union Jeunes de Provence et du Languedoc pour la défense de nos traditions

2023 marque la 8ème édition de « l’AUTHENTIQUE » journée de défense des traditions taurines.

Identité, culture, liberté, rires et musiques, reflètent cette merveilleuse journée qui clôture la saison taurine.

Rejoignez nous le 18 Novembre à la Churascaïa et célébrons ensemble notre attachement à notre mode de vie

Réussite de la première conférence à la Peña Alegria organisée par la jeunesse taurine de l’Adour 

Cette jeune association née il y a un an pour fédérer les jeunes autour de la tauromachie organisait hier soir une première conférence avec Jean-François Majeste dans le local de la Pena Alegria à Dax
Devant un public nombreux avec une majorité de jeune et de moins jeune.
Un premier parti ou Philipe Lalanne présente la Pena Alegria qui accueille cette conférence. Il reçoit un cadeau des mains de Pierre Eridia.

Miguel Darrieumerlou Jean François Mageste et Lucien Laurède sur l’estrade de la Pena Alegria

Le second parti animé par Miguel Darrieumerlou et Lucien Laurède entoure L’éleveur de la Espera.

Le second parti animé par Miguel Darrieumerlou et Lucien Laurède entoure L’éleveur de la Espera. Pas loin de deux heures de conférence qui aurait pu durer sans que le public s’ennuie.
Les difficultés à faire éclore l’élevage. Ils peuvent être financiers, au choix de l’encaste et de trouver du bétail sont exposés dans ce premier tiers. Le second est consacré à ce que recherche un éleveur.
Jean François Mageste estime que l’éleveur doit avoir un concept du toro et s’y tenir. A la Espera on recherche de la fixité et la capacité à un toro à être humilié.

Vache de la Ganaderia La Espera

Chaque Ganadero a ses propres critères mais trop de noblesse entraîne une forme de dégénérescence ou trop de géniaux qui peut être mauvais. Lors de la pique il est exigeant sur la mise en suette. Il observe la manière dont la vache va au cheval et s’y pose. Il permet de sortir de tapia aux élèves d’Adour Aficion lors de ces évènements en privé.
Le dernier tiers est concentré sur l’alimentation pour la centaine de bêtes. Le prix de la nourriture s”élève à trois cent soixante euro la tonne. Une vache a besoin de deux kilos et un toro de cinq cents grammes (pour un taurillon) a plus de deux kilo pour un toro . L’embarquement est un moment stressants pour l’éleveur ou l’animal peut se blesser et dans le ruedo ou la réputation de la ganaderia se décide. Après plus de deux heures de conférence, le public pu poser des questions plus précises à l’éleveur. Le public ravi de ce bon moment a fini la soirée avec des tapas.

Texte et photos Nicolas Couffignal

Nouveaux président à “Aignan y toros”

Photo François Darroux

Nouveaux Présidents d’Aignan y Toros, Michel AURENSAN et Michel PUPIN et le C.A.

Nîmes: le jeudi des artistes

e Jeudi Des Artistes inaugural de la saison 2023-2024 aura lieu le 9 novembre 2023 à Pablo Romero. Le premier cartel sera accueilli dans la salle de la cheminée, reconvertie en cocon d’exposition pour l’occasion. Olé, peut-on entendre d’ores et déjà. C’est le rendez-vous traditionnel de l’hiver après le tumulte des Vendanges. Le Jeudi Des Artistes, c’est l’occasion pour les nîmois taurins ou pas de se retrouver artistiquement. Si l’ambiance reste familiale, conviviale et enjouée, les artistes mélangent sans compromis leurs arts pour le bonheur du public.

Ainsi, Victoire, Laurent Arpinon et Patrice Bornand « El Reblochon » présenterons leurs oeuvres. Un joli cartel de lectures et de peintures taurines

Victoire est une jeune artiste peintre nîmoise inspirée, entre autres, par les traditions taurines. Ses toiles vives et percutantes, où se mêlent réalisme et abstraction, sont à l’image du caractère de l’artiste : instinctif, suggestif, communicatif et teinté d’un goût certain pour la fête!
Le comédien Patrice Bornand « El Reblochon » lira des extraits de la correspondance épistolaire de 1994 entre Luis Francisco Esplá, le torero d’Alicante, et Jacques Durand, l’écrivain taurin languedocien. Cette correspondance à l’ancienne réveille d’authentiques trésors. Un témoignage rare sur les petits et grands mystères de la tauromachie.
Laurent Arpinon lui, propose ses créations entre peinture et photographie. Il a récemment, mis en peinture les barricades des arènes de Saint-Gilles, et a illustré et publié, en collaboration avec Jacques Durand, « Des rouges-gorges dans la chicuelina ».
Un cartel mixte de choix à découvrir dès 19h à la Bodega Les Amis de Pablo Romero. Entrée libre, petite restauration Tapas y Vino. Bodega Les Amis de Pabo Romero 12 rue Emile Jamais

Rendez-vous à la peña des Graves

Une journée avec El Rafi

Une journée originale mélangeant rugby et tauromachie est organisée par la peña El Rafi. Le matin à 10 h , c’est au Stade du Gond à Dax où sera organisé un match de rugby suivi d’un repas. L’après-midi à 15H30 direction la Ganaderia La Espéra où l’on pourra voir El Rafi lors d’un tentadero. Le tarif et les réservations sont indiqués ci dessous

Tarif journée 30€ (membre 25€)

Tarif tienta 15€ (membre 10€)

réservation ( 06 72 63 14 30 )

Borja Jimenez au club taurin de Paris

On dit parfois que la plaza de Madrid a perdu de son pouvoir de “dar y quitar” sur les carrières des toreros. Pourtant, il ne se passe pratiquement pas une saison sans qu’un, parfois plusieurs toreros, relégués au “monton” ou jeunes aspirants au vedettariat, soient propulsés sur le devant de la scène par un ou plusieurs succès à Las Ventas. Cela a été le cas cette année d’un torero originaire d’Espartinas, près de Sevilla, comme son glorieux aîné “Espartaco”, novillero plutôt en vue mais qui avait disparu relativement vite après son alternative sévillane de 2015. Cette année, plusieurs actuaciones remarquées à Madrid lors des corridas de juillet lui ont valu de figurer à l’Automne au cartel de la corrida de Victorino Martin, où, devant tuer trois toros du fait de la blessure de “Roman”, il a coupé l’oreille de chacun des trois et est donc sorti par la Grande Porte, entrant de plein droit parmi les révélations de cette fin de temporada, au point que certains ont pu dire qu’il était en train de devenir le nouveau spécialiste des corridas de Victorino. Le Club taurin de Paris aura donc l’honneur d’accueillir:

  BORJA JIMENEZ

 le jeudi 23 novembre à partir de 20h(lieu restant à déterminer)

Cette réception s’inscrit dans la grande semaine de l’aficion parisienne destinée à rappeler la victoire sur la funeste proposition de loi Caron d’abolition de la corrida en France et suivra de 24 heures la réunion inter-clubs ayant vocation plus spécifiquement à fêter cet évènement.

Merci de vous inscrire le plus vite possible par retour de mail ou à l’adresse suivante: clubtaurindeparis@gmail.com

Amitiés aficionadas,

Le bureau

© 2023 Corridasi - Tous droits réservés