Plaza de toros de Istres. Première de la Feria de Istres 2025. Lleno. Colombo, Solal et le mayoral de Montealto en triomphe.
Toros de Yonnet (1º, 2º y 3º) et toros de Montealto (4º, 5º y 6º), le quatrième (Montealto) vuelta al ruedo.
• MANUEL ESCRIBANO (coquelicot et or) silence après avis et oreille
• JESÚS ENRIQUE COLOMBO (olive de Jerez et or) oreille et deux oreilles
•SOLAL (télé en noir et blanc) oreille et deux oreilles
Pluie d’oreilles sur Istres 1ére corrida, quasi lleno. 3 Toros de Yonnet 1,2,3 et 3 de Montealto 4,5,6. Hormis le 1er, un tank de prés de 600kg, les autres entre 480 et 540 kg ont donné du jeu. Meilleur le 4ème crédité d’une Vuelta. Bien les 2,5,6.
Colombo a fait du Colombo. « zébulon » embarque le public avec lui aux banderilles. Comme la plupart des Sud Américains il manie à souhait le capote en lançant ses serpentinas. Faena hachée à son 1er, accrochage. Son 2è plus coopératif lui permet quelques bonnes séries. Estocade spectaculaire avec voltereta impressionnante.
Solal a de la volonté, de la tristesse dans le regard. Faena sans sel au 1er. Il se lâche sur le suivant mettant de l’alegria.
Sombra y sol pour Escribano. Je ne m’éternise pas sur son 1er. Le premier Montealto du lot prend 2 piques avec bravoure, noble à la muleta. Manuel nous offre 3 séries à droite d’une grande lenteur. Vuelta méritée au toro.
Soirée à 7 oreilles, il est vrai qu’ici on n’est pas à Vic !
Andrés Roca Rey a révélé hier lors d’une réception privée sa décision d’affronter six taureaux seul dans les arènes les plus emblématiques de son pays: Acho à Lima. Cela dans cette ville qu’il a quitté à 14 ans qu’il se retrouvera pour fêter ses dix ans d’alternative. « À mes débuts, j’ai toujours pensé à une alternative. Je voulais être actif pendant dix ans, puis retourner me reposer dans mon pays », a confié le torero, suscitant l’émotion parmi les personnes présentes à l’annonce de sa retraite. Cependant, il a rapidement dissipé les doutes : « Mais je n’ai pas encore envie de prendre ma retraite, et cette corrida est ma façon de renaître et de continuer à réaliser mes rêves. » Par ce geste, Roca Rey réaffirme son lien avec le public péruvien et son engagement envers la tauromachie à un moment clé de sa carrière. La Feria del Señor de los Milagros, l’une des férias taurines les plus importantes des Amériques, revêtira ainsi un caractère encore plus spécial cette année. De plus amples informations sur la date de l’événement et les fermes sélectionnées pour cet événement historique seront annoncées dans les prochains jours.
Le jury, composé de journalistes spécialisés et convoqués par Plaza 1, a décerné les prix aux vainqueurs de la San Isidro, qui s’est récemment achevée aux arènes de Las Ventas. Alejandro Talavante a remporté le prix, Morante de la Puebla a été honoré pour la meilleure corrida de la série et Víctor Hernandez a été élu torero le plus prometteur. Voici la liste complète des lauréats :
TRIOMPHATEUR DE LA FERIA Alejandro Talavante
MEILLEURE FAENA Morante de la Puebla
MEILLEUR NOVILLERO Aarón Palacio
MEILLEUR REJONEADOR
Diego Ventura
TORERO REVELATION
Víctor Hernández
MEILLEURE ESTOCADE
Uceda Leal
MEILLEUR PICADOR
Borja Lorente
MEILLEURE BREGA
Raúl Ruiz
MEILLEUR BANDERILLERO
Iván García
MEILLEUR TORO
‘Frenoso’, de Victoriano del Río, lidié par Fernando Adrián le 16 mai
MEILLEURE GANADERÍA
Jandilla, Combattue le 5 juin.
Selon Plaza Uno: « La San Isidro, récemment terminée, ainsi que l’extraordinaire corrida caritative qui a mis fin à un mois continu de corridas à Madrid, ont rassemblé 576 228 spectateurs. Le panneau « Pas de billets » a été affiché jusqu’à 15 après-midi, soit deux de plus qu’en 2024.
Le cycle isidril, qui avait déjà marqué une nouvelle année d’augmentation de son nombre d’abonnés (17 536), a encore augmenté son nombre final de spectateurs, avec près de 12 000 de plus que la saison dernière. Au cours des 27 après-midi – les 26 soirées d’abonnement et la Corrida caritative -, une fréquentation moyenne de 21 432 spectateurs a été atteinte. 92,9% de la capacité de la plaza a été remplie.
Les chiffres de fréquentation spectaculaires atteints de la San Isidro 2025 se reflètent également dans les festejos où la vente des billets est inférieure. Cette année, 16.687 spectateurs ont été enregistrés l’après-midi où l’affluence était la plus faible, contre 15.111 qui se sont rassemblés dans les tribunes l’après-midi où l’affluence était la plus faible l’année dernière ».
Sixième et dernière corrida de la Feria de Pentecôte de Nîmes 2025. Deux tiers d’arène. Confirmation d’alternative à Nîmes des mains symboliques d’Espartaco.
Six Toros de Victorino Martín. plus de 2/3 d’arène.
• BORJA JIMÉNEZ : silence, silence, palmas après avis, silence, silence et silence.
Cela aurait du être une fête ou au moins un bon moment de tauromachie avec des ingrédients des plus intéressants sur le papier. Malheureusement peu de choses à vous dire et vous montrer de cette corrida. Un lot de taureau bien présenté mais faible et de peu de race. A part le 3em plus solide qui a permis au torero de s’exprimer. On ne lui en voudra pas. Il a fait pour le mieux mais il était impossible ce soir de briller avec ces taureaux.
On peut s’interroger sur ces taureaux envoyés par l’éleveur car la désillusion est forte. Y a t il un eu un problème sanitaire entre le départ de l’élevage et la sortie dans l’arène ? c’est dur d’envoyer le torero pratiquement au « casse pipe » avec ce type de taureaux qui ont pourtant une réputation solide. Le 1er est noble mais faible et sans émotion, le second tête haute demi charge et avisé et le 3 em bon : Borja aurait pu lui couper une oreille sans ces 3 coups de descabellos. le 4em très faible et copieusement sifflé à la fin. le 5em presque insipide et le 6em..sans commentaire.
La feria de Nîmes de pentecôte 2025 bonne dans l’ensemble se termine sur un fiasco triste.
L’été s’invite ce matin dans les arènes Vicoises en présence d’une bonne chambrée de spectateurs. C’est la journée des femmes, car en plus de nos 2 alguaziles préférées, le palco se compose de trois dames.
Les 5 ganaderias françaises en concours ont présenté des pupilles de qualité ; le Lartet meilleur crédité d’une vuelta, bons le Camino de Santiago et l’Astarac , intéressants l’Alma Serena et la Espera. Fernando Vanegas a invité Jérôme Bonnet à saluer à l’issue de la novillada.
Clovis blessé (tendons de la main droite) lors d’un quite donné au premier éral de Mateos , la novillada s’est transformée en mano a mano; le meilleur des deux s’octroyant le 5ème.
. Diego Mateos (rojo de la Rioja et azabache): applaudissements et silence
. Fernando Vanegas( purissima y azabache): vuelta, applaudissements et vuelta.
Si d’Artagnan, maniait bien la rapière, nos deux novilleros ont échoué dans cet exercice; dommage surtout pour Fernando Vanegas qui a dominé la matinée. Il nous avait marqué lors de sa 1ère piquée à Arzacq par sa maturité et son entrega.
Aujourd’hui sous les yeux de son frère Manolo, même impression. Il attaque le Camino de Santiago par deux bons capotazos, met le feu avec les banderilles. A la muleta, une série de doblones pour l’amener au centre. cité de loin le Camino prend 2 séries à gauche qui déclenche la musique, puis 4 à droite .2 pinchazos et une entière ternirent sa prestation. L’eral de la Espera sort vif , mobile. Fernando l’attaque avec una larga de rodilla suivie de bons capatazos, même alegria aux banderilles, faena essentiellement gauchère avec un erale faiblissant des antérieurs sur la fin. La mise a mort a quelque peu trainé.
Sort en 5è position le Lartet vif aussi, bien proportionné. Après avoir partagé les banderilles avec Mehdi, Fernando attaque en doblones avec sa muleta, puis sur les deux rives, le Lartet mange la muleta sans jamais se lasser. trois fois hélas, la rapière était grippée. Diego Mateos nous a délivré une tauromachie stéréotypée; il accueille son Alma Serena a porta gayola puis n’arrive pas transmettre d’émotion; Il s’est fait dépasser par la fougue de l’Astarac, souvent accroché , faena hachée.
Le prix de l’acoso est revenu à Fernando Vanegas, le Lartet remportant le prix du meilleur novillo.
Par quoi faut-il commencer cette reseña? Parler l’un après l’autre des toros? Cela risque d’être lassant. Disons que les cinq premiers ont développé des qualités différentes et soulignons que le premier et le cinquième furent les meilleurs, leur encaste Santa Coloma faisant s’épanouir aussi les qualités du torero. Le premier était noble et sa réception a porta gayola fit démarrer la soirée avec ce parfum d’émotion qui sied aux plazas toristas. Brindis au public , toujours aussi suspicieux et peu chaleureux malgre le 29 ° du jour. Heureusement le palco lança la musique, elle aussi un peu protestée par les plus coincés. Ce fut pourtant un très beau moment de tauromachie classique avec un Morenito calme et engagé qui fit tomber la premiere oreille.
On ira plus vite pour les trois suivants dont le deuxième, d’Arauz de Robles, negro etait un manso con casta.
Tout au long de la tarde Morenito prendra un soin particulier dans la mise en place des toros pour la pique et en dehors de Gabin Rehabi, ces messieurs , ayant placé comme il convient leur cheval de face ou de trois quarts semblèrent mettre un malin plaisir à piquer très en arrière… Vic aurait dû les siffler davantage!
Le troisième,un Flor de Jara, plus costaud que les autres pousse fort aux piques et le picador est applaudi fort justement. Exception qui conftme la règle. Deuxieme toro bravo de chez Cancela.
Le quatrième est un Arauz de Robles castaño de cinq ans sacrément armé, voilent un bien bâti qui prend sans mégoter trois piques dont deux affreusement placées, en arriére ou dans l’épaule.
On devine que ce toro sera compliqué et avec du genio, ce qui n’empêcha pas le diestro de nous offir en début de faena des doblones superbes, d’un classicisme d’école; juste après un émouvant brindis à L’idole Historique de Madrid, Morante de la Puebla. Voilà pour ceux qui n’ont pas d’yeux pour voir qui est José Antnio Morante de la Puebla., Il est souvent bon de rappeler à ceux qui doutent certaines verites dans l’art. Final catastrophique avec un affreux bajonazo qui prive le matador d’une oreille quasi certaine si… Toro applaudi à l’arrastre.
Vint le cinquième, à mon avis de très loin le meilleur, dépassant le premier par la complication qu’il offrit au torero . Cardeno Oscuro, bien fait, de presque six ans. A cet âge le toro de combat rélgléchit un peu avant de charger avec des intentions pas toujours très claires. . Grande faena sur les deux bords avec de temps à autre pour permettre de reprendre leur souflle au torero et au toro, et on repart pour des séries très belles templées et sereines.
L’épée fut tendida et un peu trasera et nécessita l’usage du descabello. Petite pétition et protestation véhémente des intégristes, l’OREILLE tomba, ô combien méritée.
Le sixième de la ganaderia concurrente ne put pas sauver l’honneur, il était violent, parado et dévisageait le torero il insistait ce mal élévé il était “miron” et avait une corne droite possiblement assassine.
Ce qui fut intéressant ce sont les toques vocales très forts pour encourager le toro à entrer dans la muleta et à suivre le bras de Morenito. Pauvre Morenito usé, épuisé, avec probablement une déhirure musculaire .
Le sixième fut le seul à ne pas être applaudi à l’arrastre.
2heures 55 de festejo avec trop de temps passé aux piques surtout quand elles sont mal données.
Presque plein. Toros de Fermín Bohórquez, bien présentés et de bon jeux globalement.
• DIEGO VENTURA, oreille, deux oreilles et deux oreilles et la queue.
• LEA VICENS, ovation, deux oreilles et oreille
Apothéose de Diego au 5ème taureau. Du rejón initial, punitif, au coup fatal, tout a été un délice de finesse, de précision et de maîtrise sur les dos d’« Oro Negro », « Quitasueño » et « Guadiana ». La foule, en extase, l’a récompensé avec les plus beaux trophées : deux oreilles et une queue.
Lea Vicens a été la meilleure avec le quatrième taureau. La cavalière avec Joker, et surtout son cheval vedette, Bético, a enflammée la foule à plusieurs reprises. Elle a parfaitement visé juste et tué le taureau de suite et a récolté deux oreilles.