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Las Ventas: une seule vuelta pour Miguel Andrades

Plaza de toros de Las Ventas (Madrid).

Troisième de la temporada venteña. 8.650 spectateurs.

Novillos de Hnos. Sánchez Herrero Aurelio Hernando (1º bis),

• ÁLVARO DE CHINCHÓN, silence et silence

• MANUEL CABALLERO, silence et silence

 MIGUEL ANDRADES, ovation après avis et vuelta al ruedo après avis.

Spectaculaire voltereta de Miguel de Andrades

Gamarde: prélude de bonne augure

Gamarde les Bains. Dimanche. Casi lleno.

6 toros de Montalvo

Morenito de Aranda, Oreille et oreille;

David Galván, Deux oreilles et saluts après avis;

El Rafi, Saluts et silence après avis

Gamarde c’est le moment des retrouvailles : le printemps après l’hiver, la première corrida de la temporada dans le sud-ouest. Elle donne le « là » en quelque sorte. Cette fois encore les organisateurs ne se sont pas ratés : avec une très belle entrée et un spectacle prenant dans son ensemble.

Un lot de Montalvo parfait pour une arène de ce type, c’est-à-dire ni trop ni trop peu, harmonieux, armé pointu et permettant dans l’ensemble aux toreros de s’exprimer. Les deux premiers furent justement ovationnés à l’arrastre pour leur noblesse, leur mobilité et leur capacité à humilier, le quatrième dans la même ligne mais un ton en dessous. Les autres moins encastés, parfois juste de force, le cinquième franchement compliqué.

Morenito de Aranda qui s’était vu remettre en piste le prix des clubs taurins du sud-ouest jouait à domicile en quelque sorte car le sud-ouest est devenu sa terre promise. Le gaillard a du métier et son lot ne lui posa guère de problème. Il se la joua facile avec le docile premier opposant mais en faisant bien les choses, notamment dans les mises en suerte. Il montra son expérience et son officio à son second passage devant un toro plus rétif qui se défendait sur place mais qu’il sut faire rompre. Il tua d’une estocade desprendida comme à son  premier passage, ralliant de nombreux suffrages.

Franchement sensationnel, David Galvan lors de son premier passage. Il dessina une douzaine de véroniques onctueuses, profondes, cadencées dont seuls les toreros du sud sont capables. Très en verve face à un toro noble et encasté il construisit une faena du même tonneau toute en douceur et élégance, conduite à droite pour débuter, puis menée de l’autre bord, la muleta muerta. Le gaditano termina par une luquesina anthologique et tua d’une épée tombée légèrement. Il coupa logiquement deux trophées. Il nous plut aussi, dans un tout autre genre, face à l’amer cinquième qu’il conduisit avec détermination mais tua au quatrième envoi. Hier Galvan aura frappé les esprits éclairés, torero sous-côté, il mérite d’être plus souvent cité dans nos ruedos.

Pour Rafi passer après deux toreros de si bon niveau, tous les deux en verve cela n’était pas un cadeau. Le sorteo n’était pas non plus en sa faveur. Les deux toros qui lui échurent manquèrent de force mais aussi de fond. Cette absence de transmission, le nîmois, décidé cela ne fait pas de doute, ne put la compenser avec son toreo un peu emprunté, brouillon parfois et surtout trop exigeant face à des animaux qui demandaient une muleta templée et conduite à mi-hauteur. Il n’eut pas non plus sa réussite habituelle à l’épée. Otro dia sera pour Rafi car il a de vraies qualités humaines et toreras et la pression mises sur les toreros français trop peu convoquées est dure à porter.

Ce fut la note un peu grise de cette mise bouche réussie, prélude à une temporada qui espérons-le sera à la hauteur de ce début.

Pierre Vidal

Photos Bertrand Caritey

Brindis de Morenito à F. Lassalle organisateur ému de ce geste.

Gamarde les bains ouvre sa journée avec un tentadero de Ganadéria Montalvo

Public  une demi  arènes

Cavalerie Bonijol

 première vache de la Ganadéria de Montalvo s’avance avec élégance, dévoilant son noble caractère. Clovis réalise une jolie série de véroniques, mettant en valeur les qualités de noblesse de l’animal. 

La vache s’élance trois fois de loin vers le cheval, bien que les deux premières charges manquent de franchise dans le peto. Cependant, la dernière charge se distingue par sa franchise et sa clarté.

Clovis commence la faena par des doblones avec la muleta, entamant une série à mi-hauteur. La premiere seie a droite sont exécutées mi hauteur. Il poursuit avec une série de naturelles  empreinte de douceur et de profondeur. La musique s’élève et les applaudissements du public accompagnent cette prestation.

La seconde vache, avec un trapio identique et une robe colorado, se distingue par sa jolie allure, bien qu’elle exprime un caractère légèrement mansa. 

Au cheval, elle adopte le même comportement que la précédente, montrant un peu plus de franchise lors de la seconde tentative. Cependant, elle s’avère plus faible que la vache précédente, obligeant Clovis à adapter ses derechazos pour respecter sa fragilité. Le public, sensible à cette finesse, témoigne son appréciation par de chaleureux applaudissements.

Lors de la faena, Clovis réalise un joli changement de main dans le dos, ajoutant une touche esthétique. On peut néanmoins regretter que le novillero ne procède pas à une simulation de mise à mort.

Maxence, représentant de l’écol e Adour Aficion, effectue une sortie de tapia pleine d’assurance. Il enchaîne avec élégance des séries de derechazos et de naturelles, démontrant une maîtrise remarquable. 

Les applaudissements du public résonnent dans l’arène, saluant la qualité de son travail. Pendant ce temps, le comportement de la vache s’améliore progressivement, allant a más et ajoutant à la beauté de l’instant.

texte et photos Nicolas Couffignal

Diego Ventura survole une bonne corrida de rejon à Sanlucar de Barameda

Le traditionnel rendez-vous du coso del Pino de Sanlucar de Barameda a réuni un public nombreux, plus de quatre cinquième d’arène. La ville de Sanlucar compte une très forte aficion au cheval presque plus qu’au toro ce qui explique peut être le bilan pléthorique de onze oreilles et une queue. Les toros quant à eux n’ont pas démérité un excellent lot de Pallares (le premier) et Benitez cubero les suivants,bien présentés à part des cornes toujours trop épointées, ont tous donné du jeu et fait preuve de caste et de noblesse, à noter le cinquième de vuelta al ruedo.

Andy Cartagena deux oreilles et deux oreilles

Diego Ventura une oreille et deux oreilles et la queue

Lea Vincens deux oreilles et deux oreilles

Disons tout de suite que l’on aurait pu diviser par deux voire plus ce bilan pour retrouver un peu le sens des réalité taurines.

A son premier Andy Cartagena assure le service minimum face au toro plantant souvent mal et à étrier passé. Son art tient beaucoup plus dans le dressage spectaculaire et les numéros de cirques, excellents au demeurant, faits hors de distance du toro. Lorsqu’il se retrouve dans le terain il est souvent accroché . So premier est fort et possède une charge longue que jamais il ne cherchera à templer se contentant de couses effrénées qui en plus d’un nombre important de banderilles finissent par affaiblir l’animal qui termine totalement arrêté après une bien trop longue faena la mise à mort très en arrière et tombée est quand même efficace.

Son second est un bon toro fort qui prendra bravement trois rejon de châtiment avant une faena aussi spectaculaire qu’inefficace. La mort elle le sera et de nouveau on paiera la démonstration équestre.

Diego Ventura est venu pour mettre à l’épreuve sa nouvelle cuadra de caballos. Six des huit chevaux présentés sortaient pour la première fois en public. Pari réussi pour le cavalier de la Puebla del Rio qui fit un sans faute côté équidés. Son premier adversaire est un bon toro mais on sent que Diego ne force pas son talent dans une faena intéressante mais un peu routinière. La mise à mort en trois temps nécessite l’usage du verduguillo et Ventura se lance, muleta en main, dans un série de derechazos terminé d’une passe de poitrine digne des meilleurs toreros à pied .

A son second Ventura se lance dans un grand numéro de toreo à cheval. Le toro excellent lui permet tout les pose sont de face engagées, les cornes à quelques millimètres du poitrail du cheval. Une série de quiebros spectaculaires fait lever le public. L’amplitude du déplacement dans l’écart de ce jeune cheval est impressionnante, Diego Ventura tient là le cheval de quiebre idéal. La mise à mort est parfaite et si la queue peut paraître disproportionnée, il faut bien marquer la différence entre le grand toreo et le labeur de ses compagnons de cartel

Lea Vincens est une très bonne cavalière elle connaît parfaitement ses chevaux et les utilise à merveille et grande élégance mais c’est malheureusement tout ce que l’on peut mettre à son crédit ce soir. Elle m’a paru en roue libre toréant de façon imprécise posant systématiquement à étrier passé. On l’a connue meilleure torera mais elle plait toujours autant au public et c’est tant mieux pour elle.

En résumé ne boudons pas notre plaisir la course fut agréable et surtout nous a confirmé que Diego Ventura est toujours le meilleur rejonéador du moment et surtout un formidable préparateur de chevaux toreros.   Jean Dupin   

Saint Martin de Crau: Lamelas en triomphe

Saint-Martin de Crau. Samedi soir. Arènes Louis-Thiers. Deuxième de la Feria de la Crau. Lleno

Toros de José Escolar Gil. 

Alberto Lamelas: Vuelta al ruedo et pétition et deux oreilles.

Maxime Solera: Oreille et vuelta al ruedo après avis. 

Cristóbal Reyes: Silence après deux avis et silence.

Alberto Lamelas a connu une tarde positive, tombant d’emblée sur le toro qui m’a paru être le meilleur pour le torero. Après un tercio de piques inégal, il brinda une faena composée de plusieurs séries, notamment à bâbord, bien en phase avec les aptitudes de l’animal. Belle entrega du maestro de Jaén qui tira son épingle du jeu, mais qui perdit probablement une récompense pour un pinchazo suivi d’une entière delantera. Le quatrième ne sortait pas du même tonneau et après un tercio de varas sans grand éclat, mieux la dernière, puis après un brindis à l’assistance, l’exigence du bicho compliqua quelque peu le travail d’un Lamelas qui pour autant ne lâcha rien. Peu à peu, Alberto améliora les contours de  l’affrontement par une gestuelle efficace sur les dernières séries avant un entière caídita libérant deux trophées synonymes de grande porte…

Maxime Solera débuta avec un client qui ne lui rendit pas la partie facile, mais, le Fosséen répliqua en affichant pas mal de ténacité et d’envie, réalisant en définitive un trasteo relevé par des passages gauchers méritant la mention. Conclusion par entière tendida. Avec le quinto, bon capoteo par véroniques avant trois piques avant une faena comprenant de bons passages bien qu’un peu inégale, le tout aurait pu être récompensé si l’épilogue avait été sans reproches.

Cristóbal Reyes n’a pas dansé avec les plus belles, loin s’en faut. Le troisième, mal piqué, lui compliqua passablement la vie par la suite. Faena brindée à Julie Bérard comprenant quelques passages valeureux après avoir fait arrêter la musique, mais les choses en restèrent là après un emploi médiocre de la ferraille. Sortit plus tard un dernier au tamaño impressionnant et au caractère rapidement imprévisible sur chaque passe qui paniqua la cuadrilla et incita le Jerezano à abréger. Il faut dire à sa décharge que cet Escolar donnait vraiment l’impression d’avoir été déjà toréé. Vrai ou faux, il en avait pourtant toutes les caractéristiques. Bref, estocade partageant les avis, certes, mais soulageant pas mal de protagonistes…

Paul Hermé http://torofiesta.com

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© Philippe Gil Mir - Saint-Martin de Crau 05-04-2025 Toros de José Escolar Gil para Alberto Lamelas, Maxime Solera y Cristóbal Reyes

Sérieuse blessure du banderillero Victor Manuel Martinez à Casarrubios del Monte

Víctor Manuel Martínez a été surpris par le premier exemplaire de Mariano de León de l’après-midi, dans la ville de Casarrubios del Monte. Le subalterne a été attrapé à l’intérieur de la cuisse droite alors qu’il était en train d’exécuter une paire de banderilles au premier taureau de José Fernando Molina. Le banderillero a été rapidement transféré à l’infirmerie des arènes avec une blessure en corne de taureau visible à hauteur du milieu de la cuisse droite. Le chirurgien des arènes de Tolède est intervenu au micro de CMMedia pour confirmer que le banderillero avait subi un coup de corne à l’intérieur de la cuisse droite avec deux trajectoires, une ascendante de 7 cm. et un autre descendant de 10 cm.

Saint-Perdon: succès d’ El Cid de Maria

Photo JMD

Mont-de-Marsan. Novillada du club taurin de Saint-Perdon, soleil et nuages, température agréable, entrée sympathique autour d’un quart d’arène. Deux heures trente de spectacle. Six novillos de Condesa de Sobral, bien présentés, mobiles, de une pique, premier, deuxième, quatrième, à deux châtiments, troisième, cinquième et sixième, tous pris avec une honnête bravoure. Le cinquième aurait mérité une vuelta.

Sergio Sanchez (rose et or), au premier, trois pinchazos, cinq descabellos, silence ; au quatrième, une demi-lame, deux descabellos, avis, silence.

Cid de Maria (blanc et or), au deuxième, une entière, une oreille ; au cinquième, un pinchazo, une entière, deux oreilles.

Pedro Luis (bleu ciel et or), au troisième, un pinchazo, une entière, une oreille ; au dernier, trois pinchazos, trois descabellos, deux avis, silence.

Il y eut un instant où la course changea d’âme et de souffle. Cid de Maria, face à Almanaque, son deuxième Condesa de Sobral, laissa, nonchalament pendre sa main droite et promener toute en harmonie, sa muleta avec une extrême lenteur. Corps dépouillé, totalement relâché et le leurre au plus bas. Du grand art. Le temps semblait s’arrêter. Le Cid avait tout dit et venait de s’imposer sur le sable du plumaçon. Il terminait brillamment à gauche, soulignant sa faena de quelques « bernardinas ». La novillada de Saint-Perdon avait trouvé son maître, même s’il lui fallut prendre l’acier deux fois pour conclure.

Lors de sa première sortie il signait d’excellents moments à la cape. Il commençait sa faena à genoux, citait de loin sur les deux mains et l aissait voir beaucoup de temple/

La course avait été ouverte par Sergio Sanchez par un joli festival de véroniques et de chicuelinas avant de présenter deux belles statuaires et de se faire apprécier sur la main gauche. A son retour il fut assez pauvre dans tous les domaines et à part un farol à genoux il donna l’impression de s’ennuyer dans un toreo très apathique.

Pedro Luis, entama ses deux sorties par des porta gayola. La première frôla le drame. Il ne prit jamais la mesure de son adversaire et à la muleta fut très souvent débordé. Avec le deuxième adversaire il améliora son toreo de cape mais ne surnagea pas de sa faena brindée à l’éleveur. Certes il eut quelques beaux gestes, mais l’ensemble manquait de profondeur d’harmonie.

A l’issue de la course, Cid de Maria fut déclaré triomphateur de la novillada et récompensé par l’association des organisateurs du Sud-Ouest.

Jean-Michel Dussol

Photos: Romain Tastet

Saint Martin-de-Crau: bonne novillada de François André

Saint-Martin de Crau (Francia). Samedi 5 avril 2025, matinale. Arènes Louis-Thiers. Première de la Feria de la Crau. 1/2 arène.

Erales de Héritiers de François André.

Isaac Galvin: Oreille et ovation et saluts après avis. 

Clovis Germain: Ovation et saluts et oreille

En matinée, devant environ une demi-arène, quatre erales de François André étaient opposés à Isaac Galvín et Clovis, un mano a mano entretenu qui n’a pas dégagé vraiment de vainqueur, chacun des deux aspirants recevant un trophée, à son premier pour le Chiclanero et à son second pour Clovis, avec saluts à l’autre pour les deux.

A noter que les deux novilleros ont partagé les banderilles et que s’ils ont encore un long chemin qui les attend, cette course a fait partie de celles qui avec les qualités du bétail mais également ses exigences sont à même de les faire progresser. C’est bien là le but recherché et ce jour, malgré quelques scories, leurs aptitudes ne sont pas passé inaperçues…

A noter que Frédéric Lautier a salué à l’ultime aux côtés de Clovis, et que les deux jeunes sont repartis sous les applaudissements. On aura pas mal d’occasions de revoir l’un comme l’autre…

Paul Hermé http://torofiesta.com

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0000 - 1295 Saint-Martin de Crau 05-04-2025 Erales de Francois Andre © Philippe Gil Mir

Cartels de Mont-de-Marsan : Morenito de Aranda doublé

Morenito ici à Saragosse (photo Gil Mir)

– M 16/07: Morenito de Aranda, Daniel Luque, Borja Jiménez (Fuente Ymbro)

– J 17/07: Juan Ortega, Andrés Roca Rey, Clemente (El Parralejo)

Matin. NSP. Erales de Alma Serena et l’Astarac pour le vainqueur du bolsin de Bougue, Clovis, un 3ème à désigner

– V 18/07: Fernando Robleño, Damián Castaño, Juan de Castilla (José Escolar)

– S 19/07: Miguel Ángel Perera, Emilio de Justo , Tristán Barroso (Santiago Domecq)

11h. Novillos de Cuillé pour Aaron Palacio, El Mene, Martin Morilla

– D 20/07: Manuel Jesús ‘El Cid’, Morenito de Aranda, Fortes (Victorino Martín)

Hier en fin de marinée le maire, Charles Dayot présentait les cartels de la prochaine feria de la Madeleine. Un cérémonie qui se déroulait dans le théâtre de la ville et qui s’ouvrait sur la place, devant le bâtiment, devant un immense public d’aficionados qui n’avait pu être admis. Ainsi les jours glorieux de la Madeleine furent-il dévoilés, en présence, également de leurs concepteurs et acteur, notamment Jean Baptiste Jalabert l’un des prestataires de service. Présentèrent également ces événement, Christophe Andine président de la commission taurine, Pascal Darquier et Colette Lacomme représentant les courses de Saint Perdon et le bolsin de Bougue.

Photo JMD

Parmi les acteurs, on notait la présente de Morenito de Aranda, Juan de Castilla, Tristan Barroso prendra l’alternative le jeudi 17 juillet, l’apoderdo Jean-François Piles ou encore Madame Dominique Cuillé qui fournira la novillada du samedi 19 juillet.

La feria s’ouvrira par un cartel très fort le Mercredi 16 juillet avec Morenito de Aranda, Daniel Luque et Borja Jimenez face à des Fuente Ymbro. A retenir le cartel de clôture avec des Victorino Martin où l’on retrouvera Morenito de Aranda, qui triomphateur l’an dernier a été récompensé par deux contrats. Cette course verra aussi le retour à 51 ans de Manuel Jesus Salas El Cid. Fernando Robleño fera se adieux à l’aficion avec des Escola Gil le vendredi 18 juillet. Autre grand moment, le 19 juillt avec Andres Roca Rey entouré par Juan Ortega et Clemente.Un feria très équilibrée et attrayante par ses élevages et ses toreros.

JMD

CAPTIEUX

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