Auteur/autrice : Pierre Vidal Page 89 sur 149

Le danger de la PPL expliqué par André Viard

Abdré Viard ici avec Geneviève Darieussecq ministre, ancien maire de Mont de Marsan dans la manif pour la défense de nos traditions (10 000 chasseurs et aficionados).

Pour André Viard, président de l’Observatoire national des cultures taurines qui le précise au site mundotoro.com  : « Ils ont essayé cette proposition en 2019 à l’Assemblée nationale, en occultant les objectifs. Ils disent qu’il devrait être interdit aux mineurs de participer aux corridas et aux combats de coqs, car cela provoque des traumatismes et il est dans le meilleur intérêt de l’enfant de ne pas y aller. Mais dans la formulation du texte de loi qu’ils veulent approuver, il n’en est pas question. S’il est prouvé qu’un mineur de moins de 16 ans se trouve dans les arènes, les organisateurs et les artistes tomberont sous le coup de la loi sur la protection des animaux, qui prévoit des sanctions et des peines très lourdes. L’infraction ne serait pas l’abus, mais la présence du mineur. C’est ce qu’ils recherchent. Approuver cette loi et ensuite introduire un mineur dans les arènes, dénoncer le fait et infliger des amendes aux hommes d’affaires, aux toreros, aux cuarillas, etc., et ainsi faire peur aux organisateurs d’organiser des corridas pour 45 000 euros d’amende et jusqu’à trois ans de prison. Voyons qui osera célébrer les fêtes taurines avec cette loi.

Si vous lisez bien le texte de ce qu’ils veulent faire, c’est vraiment ceci. Dans un premier temps, avec la question des mineurs de moins de 16 ans, ils cherchent à dissimuler ce que dit la loi. Et ce qu’ils cherchent, c’est à pénaliser ceux qui laisseraient entrer le mineur. Qui va donner une corrida, pour qu’un mineur se faufile et soit condamné à une amende de 45 000 euros? Ils cherchent à rendre impossible la tenue des spectacles taurins. Non pas en les interdisant, mais en créant les conditions pénales pour que les organisateurs et les artistes interprètes ou exécutants tombent sous le coup de la loi.

Cette loi a été élaborée par un petit groupe de 20 sénateurs proches de la présidence. Il y en a en fait deux ou trois qui veulent voter là-dessus. Nous avons demandé au président du groupe parlementaire* et il assure qu’il ne votera pas pour et que dans son groupe il n’y a pas de majorité pour approuver cette loi parce qu’ils ne le veulent pas. Cela n’a donc aucun sens. Dans son groupe, il y a plusieurs sénateurs des îles, où se déroulent des combats de coqs, et ils vont tous voter contre. C’est incompréhensible » .

André Viard poursuit: « Le résultat normal serait qu’il n’y ait pas de surprise et qu’on les batte, mais il faut toujours être là. Ils ont essayé de nous dire « et si nous abaissons l’âge à 12 ans, qu’en pensez-vous ? », mais c’est quelque chose de prévu dans le règlement taurin, car les moins de 12 ans doivent être accompagnés d’un adulte. Ils voulaient nous imposer cela comme si nous étions stupides, mais nous ne leur avons pas donné la possibilité de négocier. »

*Il s’agit de François Patriat président du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants, auteur du projet, est un ex-ministre socialiste fondateur de En Marche, soutien du Président Macron depuis le premier jour, sénateur de la Côte d’Or, ex-président de la région Bourgogne. Il préside le groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants (anciennement La République en marche) au Sénat depuis sa création, en 2017, membre du bureau exécutif de La République en marche depuis la même année. Il fait partie du Conseil national de la chasse et de la faune sauvage.

Il fait partie des 192 sénateurs qui ont voté pour la répression des obstructions à la chasse, des 119 sénateurs ont voté contre l’abolition de la chasse à la glu, des sénateurs qui ont voté contre l’interdiction de la chasse le mercredi, il défend la chasse à courre. On l’a vu sur les tendidos des arènes, etc. Il présente un projet de loi anti-taurin dans la niche parlementaire de son parti qu’il ne voterait pas lui-même -cf André Viard, ci-dessus. Cherchez l’erreur !

PV

Menace sur l’existence des corridas

Toreros Sanluqueños au Rocio

Les toreros de Sabnlucar et ceux qui vivent à Sanlucar viennent de faire le pélerinade du Rocio en compagnie de certains footballeur du club local. Parmi les taurins Adrián de Torres, Filiberto , Germán Vidal ‘El Melli’; les novilleros  Pedro Gallego, Víctor Barroso, Gonzalo Capdevila et Juanma Vidal; l’apoderado Diego Robles (le vétéran); les banderilleros Manuel Ángel Gómez ‘El Pollo’, Eloy Hilario et Mambrú; et les picadors de Trebujena Antonio Núñez, père et fils. Ce que les plélerins mettent trois jours à faire les toreros le font en un eul jour afin d’honorer la « Blanca Paloma ».

Béziers: hommage à Robert Margé

Journées taurines – 19 octobre 2024 – Hommage de l’Aficion et de ses amis à Robert Margé, empresario des arènes de Béziers durant 32 années de Ferias et autres manifestations taurines… beaucoup de chaleur amicale et d’émotions dans les coursives des arènes biterroises pour la pose d’un magnifique azulero.

http://lotaureroge.canalblog.com/

Grand Festival de Clôture à la Real Maestranza de Séville

Pour son final Séville rendait hommage à son grand torero Curo Romero. Devant une assistance comble les six toreros brindérent au maître de camas sous l’ovation du respectable.

Six novillos d’élevages différents furent présentés pour ce festival tous très correctement présentés pour l’exercice certains des quasi toros.

Diego Urdiales salua à la mort du Nunez del Cuvillo

El Cid deux oreilles du Fuente Ymbro

Daniel Luque deux oreilles d’un Zacaria Moreno

Oliva Soto deux oreilles du Paralejo Fortement applaudi à l’arastre

Pablo Aguado une oreille du soso El Vellosino

Javier Zulueta silence au Jandilla

Diego Urdiales hérite d’un Nunez del Cuvillo qui tient plus du charolais que du toro de combat, cherchant la sortie d’entrée il sort seul des piques en décochant de furieux coups de postérieur. Diego en tirera pourtant une première série liée de trois en trois puis parla suite de une en une. Le geste est beau, naturelles et dérechazos remarquablement dessinés. Toréant à mi hauteur Urdiales gardera le bœuf dans sa muleta et en tirera le maximum, Son effort sera récompensé d’un salut après une entière longue à agir.

El Cid reçoit son Fuente Ymbro par d’élégantes véroniques. L’animal fait preuve de caste dans la muleta mais aussi malheureusement d’un certain manque de force Le Cid lien pourtant de bonnes séries à mi hauteur sur les deux bords. L’élégance naturelle du Cid ressort dans chacune des séries et l’intention du maestro qui n’a pas toréé cette à année au niveau ou il devrait être est évidente. La faiblesse de l’animal se ressent pourtant dans le manque de transmission d’une faena pourtant volontaire. L’estocade desprendida mais très efficace est portée dans les règles. Les deux pavillons octroyés paraissent généreux.

Daniel Luque est dans son jardin à la Real Maestranza en l’absence de Morante il fait figure de figura locale, qui plus est il poursuit dans sa ligne du haut de l’escalafon. Discret à son début au capote, il se distingue par un grand quite par cordovinas, tafalleras données vers le bas. La faena de la maison sera tout en douceur et lenteur, le toro se prête à l’exercice. Le final, un festival de luquinas et arrucinas avec changement de mains fait se lever la plaza. L’estocade parfaite et concluante lui vaut deux oreilles indiscutables.

Oliva Soto n’a toréé cette année que trois fois dont deux festivals de bienfaisance, Il est bien décidé à ne pas rater cette occasion de se faire remarquer dans les arènes de Séville. Soutenu par une forte communauté gitane brandissant l’étendard à la roue, le torero de Camas nous offre le meilleur de la soirée au capote, embarquant le Paralejo par véronique des planches au centre de l’arène. Il amène l’animal au cheval par chicuelinas marchées de haut vol. Le novillo présenté comme un toro avec un murillo bien sorti est certainement le meilleur de la soirée et Oliva Soto ne passera pas à côté de son partenaire. ‘entame par doblones genou en terre est dominatrice et permet de fixer le toro au centre ou ce déroulera toute la faena. Le toreo est très classique sans artifice mais d’une douceur et d’un temple parfait tant à gauche qu’à droite. L’estocade est parfaite et fulgurante les deux oreilles plus que méritées et la vuelta al ruedo intense. La dépouille du toro reçoit une tres forte ovation du public qui aurait peut être pu demander la vuelta à ruedo pour le toro aussi.

Le Vellosino qui échoit à Pablo Aguado est un manso de gala qui ne permet rien avant les piques prise parce qu’il le faut bien, Pourtant Pablo loura donner à chaque sortie du cheval deux formidables quites le premier par delantales le second par chicuelinas, rappelant le maître qu’il est dans l’art du capote. Par la suite le manque de force et de caste de l’animal ne permettra qu’une faena sans émotion et plutôt ennuyeuse conclue d’une estocade entière et concluante l’oreille tombe malgré une pétion qui m’a paru minoritaire.

Le novillero avec picador Javier Zulueta vaut sa présence ce soir certainement au fait qu’il est le fils de l’alguazil en tire de la Real Maestranza il fera faire trois vuelta des campana à son Jandilla qui après les deux piques n’avait plus grand chose à donner à la muleta. Les protestations du public n’y feront rien faena ennuyeuse et mise à mort en trois temps n’arrangeront rien.

En conclusion un festival intéressant qui permit de vibrer en de nombreuses occasion et de revoir un Curro Romero radieux dans ces arènes qui l’ont tant adulé.

Jean Dupin

Reportage à venir

Alba de Tormes : gros succès d’Ismaël Martin

Plaza de toros de Alba de Tormes, Salamanque. Corrida de toros. Lleno. 

Toros de Murube (1º, 4º) et Montalvo.

DIEGO VENTURA, oreille et deux oreilles.

EMILIO DE JUSTO, ovation et deux oreilles.

ISMAEL MARTÍN, deux oreilles et deux oreilles et la queue.

Mexico corrida de las luces, Diego Sanchez reçoit une grave cornada

México. Monumental. Corrida Nocturne de Las Luces. 1/2 arène.

Toros de Santo Tomás, Santa Inés (2º bis et 4º), Santa María de Xalpa, Los Encinos et Villa Carmela, 2º bis, de Santa Inés, arrastre lent. 

Fernando Robleño, silence après avis aux deux; 

Arturo Saldívar, ovation et saluts et silence aprèès avis; 

Diego Sánchez, palmas et ovation.

Diego Sanchez a été victime d’un double coup de corne grave par le sixième et opéré sur place. Selon le chirurgien: L’opération a été laborieuse, elle a duré près de cinq heures, il fallait s’assurer qu’il n’y avait pas de détails, d’autant plus que la zone où le coup de corne a été fait comporte de nombreux coins et recoins, mais heureusement, elle s’est déroulée sans complications. Il avait une blessure d’entrée au niveau des ischio-jambiers, ce qu’on appelle la fosse poplitée droite avec deux trajectoires, la plus grande de 15 centimètres qui blesse les muscles gastrocnémiens et blesse le muscle saphène interne, sans le casser, heureusement.

«C’est-à-dire que la corne est entrée, est descendue et a déchiré les mollets (muscles du mollet également appelés gastrocnémiens) et a blessé une veine.,Les muscles ont été réparés sans complications et après examen, il n’y a pas de blessures supplémentaires »
.

JAEN, FEU D’ARTIFICE FINAL

Plaza de toros de Jaén. Dernière de la Feria de San Lucas. Plus de 3/4

Toros de Victorino Martínle 3ème ‘Paquito’, vuelta al ruedo.

DIEGO VENTURA, deux oreilles et une oreille

CURRO DÍAZ, deux oreilles et deux oreilles

EMILIO DE JUSTO, ovation après deux avis et deux oreilles

La San Lucas de Jaen clôt traditionnellement le temporada, cette coutume était tombée en désuétude et Jaen, malgré les dimensions de sa plaza, était quelque peu négligée et abandonnée par son public. La tarde d’hier lui a redonné son lustre, retransmise par plusieurs chaînes de télé, suivie par un public nombreux et passionné, elle aura été à la hauteur des espérances.

On le doit d’abord au lot remarquable amené par Victorino Martin emtipado, parfait dans sa présentation pour une plaza de cette envergure. Les deux Victorino réservés au cavalier ont suffisamment duré avec la mobilité nécessaire à l’art équestre, le lot de Curro Diaz sérieux et noble, celui de de De Justo plus âpre et complexe. Le toro de la corrida fut le 3ème, encasté, vibrant, brave; mais il ne méritait pas l’indulto demandé par le public et le président a bien fait de lui refuser.

Génie du rejoneo, Diego Ventura a montré l’ampleur de son talent qui allie à la fois une technique solide, une vraie sincérité et ces clins d’œil -un peu agaçants- mais désormais consusbtanciels à la discipline. On aura apprécié à son premier passage les sortes de « Bronce » et « Gudiana ». Le cavalier de La Puebla foudroya le premier au rejon de muerte mais ne tua le second qu’au troisième essai après une faena vistosa. Au totalo trois trophées… Diego met une broche de oro à sa temporada…

Grande après-midi de Curro Diaz l’enfant du pays, qui tomba sur le lot le plus agréable. Curro décidé, sut metter son expérience au service de son toreo esthétique qui fait sa marque. Il tua les deux fois sans s’engager de deux épée desprendida. Cela ne l’empêcha pas de faire un doublé à chacun de ses passages -excessif disons-le. Malgré cet avalnche de trophées, Curro a démontré une fois encore qu’il méritait mieux et plus que le rang qu’on lui octroie aujourd’hui. Sa carrière, marginale, aurait mérité un plus large écho mais il lui reste encore quelques années.

Bien dans un tout autre genre, Emilio de Justo spécialiste de la Maison Victorino où il a grandi en quelque sorte. On vit cet officio lors de son premier passage car l’opposant était de la meilleure cuvée de l’élevage : très exigeant et pesant sur le torero. Emilio aguanta avec courage et poder cette machine à répéter qui se retournait court et charchait l’homme sous la percale. Il prit rapidement le dessus sur l’adversaire le conduisant dans de belles séries bien conclues par le haut. Le public demanda l’indulto ce qui gêna l’ extremeño dans la suerte ultime et il ne l’occit qu’au cinquième essai. Il se contenta donc d’un salut très applaudi par les tendidos. Un ton en dessous lors de son second passage Emilio tua d’un pinchazo hondo et d’un descabello qui lui donna le droit de sortir en triomphe lui aussi.

P Vidal

25ème CONCOURS DE LA NOUVELLE TAURINE DE MUGRON

Prix Jean-Claude MOUCHÈS organisé par la Peña Taurine Mugronnaise

Règlement 2025

Le prix littéraire Jean-Claude MOUCHÈS de la Nouvelle Taurine de Mugron sera décerné à l’occasion de la journée taurine du Lundi de Pâques 21 Avril 2025 à Mugron (40250). Les textes des nouvelles devront être consacrés soit à la Corrida, soit à la Course Landaise, soit à toute autre forme de tauromachie.
Le classement des textes reçus sera effectué sans distinction de catégorie. L’auteur de la meilleure nouvelle recevra le premier prix d’un montant de 500 C. Il sera attribué un deuxième prix de 200 € et un troisième prix de 100 €.
Une attention particulière sera portée par le jury aux candidats âgés de moins de 16 ans dont les textes
seront signalés par la lettre « J » accompagnée de la date de naissance en haut à gauche de la première
page sous le code.
Les meilleurs textes seront publiés dans le recueil édité chaque année par la Peña Taurine Mugronnaise.
La lecture du palmarès et la remise des prix se dérouleront le lundi 21 Avril 2025 aux arènes de Mugron,
à l’issue de la novillada sans picador du matin ; elles seront suivies du lancement public du recueil.
1/ FORMALITES : Les textes présentés devront être dactylographiés en 6 exemplaires, en interligne 1,5
ou double et ne devront pas excéder dix feuillets Format A4 (recto seulement) soit environ 300 lignes,
police 12. Ils devront être également envoyés sous format numérique (fichier traitement de texte) à
l’adresse-mail de la peña (pena-taurine-mugronnaise@wanadoo.fr).
Ces exemplaires seront adressés à la Peña Taurine Mugronnaise.
2/ GENRE : Les textes devront être consacrés à la corrida, à la course landaise ou toute autre forme de
tauromachie au sens large du terme, sans qu’il soit imposé un mode d’expression (poésie exclue). Les
candidats seront libres de choisir entre réalisme ou fiction, humour ou drame etc., en évitant toute
polémique pour ou contre l’une ou l’autre forme de tauromachie.
Rappel : La nouvelle est définie comme un récit bref dont l’intrigue est simple sur une durée brève. Elle
se conclut sur une fin surprenante et rapide, la chute.
3/ NOMBRE : Chaque candidat pourra envoyer une ou deux nouvelles dans chacune des catégories.
4/ ANONYMAT : Les nouvelles ne doivent pas être signées ni comporter de signe distinctif.
Chaque candidat enverra en même temps que son ou ses écrits une enveloppe fermée contenant un
document avec ses nom, prénom, adresse et le titre de la nouvelle et si possible, une adresse e-mail. Sur
l’enveloppe sera seulement noté une suscription comportant 3 lettres et 3 chiffres. Cette suscription
devra être reportée en tête de chaque nouvelle en haut et à gauche de la première page. Ceci permettra
de reconnaître l’auteur au moment du dépouillement. Pas d’illustrations.
5/ DELAIS : Les nouvelles devront parvenir à Monsieur le Président de la Peña Taurine
Mugronnaise – 2 Place de La Laïcité – 40250 Mugron avant le Mercredi 15 Janvier 2025.
6/ JURY : Le jury est constitué de personnalités reconnues (écrivains, éditeurs, anciens toreros,
journalistes…).
7/ DROITS D’INSCRIPTION : Inscription gratuite. Chaque envoi devra cependant être accompagné d’une
enveloppe timbrée à l’adresse du candidat (s’il n’a pas d’adresse e-mail.)
IMPORTANT.
Toute nouvelle soumise au jury ne pourra concourir pour un autre prix littéraire de même nature.
Ne seront pas retenues les nouvelles arrivées après la date fixée ou portant le nom de l’auteur, au texte
trop long ou non accompagnées de l’enveloppe timbrée ou de l’adresse informatique.
Peña Taurine Mugronnaise – 2 Place de La Laïcité – 40250 MUGRON

Tél 05.58.97.74.45 – E-mail:

Ureña et Galvan triomphent au festival de Chinchon

Plaza de toros de Chinchón, Madrid. Festival taurin.

Novillos, par ordre de lidia, de Cayetano Muñoz, José Vázquez, Domingo Hernández, Victoriano del Río, Ginés Bartolomé et Jandilla. 

JUAN MORA, oreille

Paco Ureña brindant à Juan Mora

PACO UREÑA, deux oreilles

DAVID GALVÁN, deux oreilles

ALEJANDRO MORA, ovation 

AITOR FERNÁNDEZ, vuelta al ruedo

ÁLVARO DE CHINCHÓN, ovation

Huéscar, Jaén – Festival taurin.

Novillos de Roque Jiménez.

Rafaelillo, deux oreilles et deux oreilles; 

Víctor Puerto, deux oreilles et ovation

Le novillero Víctor Rejas, oreille 

Fourques, France – Festival.

Photo Daniel Chicot

Novillos de Gallon. 

Frederic Leal, deux oreilles;

Uceda Leal, deux oreilles;

Marco Leal, deux oreilles et la queue;

Juan Leal, deux oreilles;

Lalo de María, deux oreilles

Joachim Cadenas, oreille. 

Fuente de Cantos, Badajoz – Festival.

Novillos de Guadajira, 2ème vuelta al ruedo.

Le rejoneador Adrián Venegas, deux oreilles et la queue

Diego Fera, deux oreilles et la queue;

Le novillero, Pablo Herrera, deux oreilles.

Ondara, Alicante – Festival.

Novillos de Lagunajanda et un eral de Sáncho Dávila.

Javier Vázquez, oreille; 

Manolo Carrión, deux oreilles 

Diego Urdiales, oreille; 

García Navarrete, vuelta al ruedo; 

Nek Romero, oreille

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