
Voici le cartel de la novillada sans picador de Maurrin qui aura lieu le vendredi 8 août 2025 à 19h30.
Le cartel sera le suivant :
4 Novillos de Alma Serena pour:
PAblo Hernandez
Léo Pallatier
Clovis Germain
Sacha Mousti « El Mosti »
Voici le cartel de la novillada sans picador de Maurrin qui aura lieu le vendredi 8 août 2025 à 19h30.
Le cartel sera le suivant :
4 Novillos de Alma Serena pour:
PAblo Hernandez
Léo Pallatier
Clovis Germain
Sacha Mousti « El Mosti »
Une fin de semaine taurine vous est proposée le VENDREDI 20 et le SAMEDI 21 JUIN à ORTHEZ
Le programme :
VENDREDI 20 : Présentation de la journée taurine des fêtes d’Orthez à la mairie 19h en présence du torero Luis GERPE.
SAMEDI 21 : Aux arènes du Pesqué,
– 11h précises, tienta de deux vaches de l’élevage EL PALMERAL (propriétaire olivier Martin) par Luis GERPE et un élève de l’école taurine de richard Milian. Entrée gratuite
– 12h apéro offert par Toros y Penas sous les platanes autour des arènes
– 13h30 repas sur réservation au restaurant O’GARAGE, menu 29 euros
INSCRIPTIONS PAR MAIL, CI-DESSOUS, POUR LE REPAS DERNIER DELAI VENDREDI 13 JUIN.
N’oubliez pas de préciser le nom et le nombre de personnes, menu en pièce jointe.
Les infos sur la TIENTA ne paraîtront, ni dans la presse ni sur les sites taurins, mais vous pouvez communiquer par le bouche-à-oreille, inviter vos connaissances et amis.
Communiqué
Arènes bien garnies. Soleil avec fortes rafales de vent qui ont incontestablement perturbé la séance. Xe anniversaire de la Peña Taurine El Galo. Bétail dans l’ordre de sortie de Gallon, Colombeau, Malaga, Roland Durand, les deux derniers de Pagès-Malihan.
Le troisième, de Malaga (Callet), a été crédité de la vuelta posthume.
Picadors : ont alterné Jean-Loup Aillet et Sofiane.
Avant que ne sorte le premier toro, un vibrant hommage a été rendu en piste à Jean-Louis Ayme, plus connu du mundillo sous l’apodo de « Termite ». Une distinction bien méritée…
Uceda Leal a éprouvé quelques difficultés dans les bourrasques à proposer le toreo classique qu’on lui connait, tuant mal de surcroit.
Esaú Fernández s’est illustré au capote avant de connaitre à son tour davantage de difficultés en cours de faena puis avec la rapière.
Juan Leal a été le plus en vue, tombant sur un excellent exemplaire de Malaga, comme mentionné plus haut, avec lequel il fit grimper la température sur les travées.
Faena dynamique, variée puis encimista récompensée par deux oreilles et la queue, cette dernière étant trimbalée avec fierté durant la vuelta par son jeune fils Juan !
Lama de Góngora a affiché sa décision au cours d’un trasteo inégal conclu par entière au second envoi. Pour lui aussi, comme pour la plupart de ses compañeros, on avait l’impression que sans les caprices d’Eole…
El Galo s’est montré entreprenant dans tous les tercios. Ce festival lui tient particulièrement à cœur et il n’a pas ménagé sa peine. Il eut le pundonor d’aller au bout malgré un sévère accrochage sur un quiebro et a été récompensé d’une oreille pour l’ensemble de son œuvre.
Lalo ferma la marche en tentant d’imposer son toreo fait de gestes élégants, ce qui ce jour, compte tenu des circonstances climatiques, ne fut pas toujours une partie de plaisir. Quasi entière.
Ainsi se terminait un festival dont il convient de souligner la bonne implication de tous, organisation comme toreros. Dommage que la troisième corne…
Paul Hermé torofiesta.com
Cet après-midi, Montsoué vibre au rythme de la fiesta campera avec des sevillanes envoûtantes et un spectacle équestre fascinant.
Picador Laurent Langlois
Public familial et local
Un changement de torero Francisco Montero remplacera Juan de Castilla, ajoutant une touche imprévue à cette journée festive et tauromachique.
Contrairement à l’ordre traditionnel de la lidia, le tentadero débute avec quatre vaches de roland , destinées aux élèves des écoles taurines d’Adour Aficion et de Huesca. La première avisé , lance quelques coups de tête. Le novillero de Huesca parvient à l’amener au centre et entame une série de naturelles mi-hauteur. Elle se révèle compliquée sur les derechazos. Il termine sur une simulation.
La seconde vache, au trapío légèrement plus marqué, charge le novillero avec vigilance, à l’image de la précédente. Moreno Leal, par son travail patient, parvient à l’humilier. La vache reste fixée sur le novillero plutôt que sur la muleta, mais il finit par prendre l’ascendant et réalise une bonne simulation. Les applaudissements saluent cette réussite.
La troisième vache, plus toreable, offre une charge courte mais exigeante. Vigilante, elle impose de garder la muleta sur sa tête. Le novillero de Huesca, appliqué, domine les dernières faenas à droite avant de conclure sur une simulation. Maxence, élève d’Adour, n’hésite pas à s’y confronter.
La dernière vache, élégante et au déplacement aérien, impose son caractère. Jule, serein, exécute de belles séries avec domination à la cape, captant l’attention du public. À la muleta, les premières passes affirmées dégagent une véritable émotion. Les naturelles mi-hauteur, parfaitement exécutées, achèvent une prestation maîtrisée. Le maestro Richard Millian , ne cache pas sa satisfaction. Son élève prend un nouvel élan, et depuis ce matin, l’annonce de sa participation en habit de lumière lors de la novillada non piquée de Rion-des-Landes ajoute une note prometteuse à son parcours. Une prestation qui augure de belles choses à venir !
Solalito
L‘eral de Roland, bien encastés, offrent du jeu. Solalito réalise une série propre à la cape avant deux rencontres avec le cheval. Son joli quite en chicuelinas, terminé par une rebolera, suscite les applaudissements du public. Les premières séries, dominatrices et pleines d’alegría, marquent son engagement. Une trinchera élégante attire l’attention d’une partie des spectateurs. Il privilégie les derechazos aux naturelles, affirmant son style. Une agréable prestation.
Le second éral, un Colorado, reçoit avec finesse la tauromachie fluide de Francisco Montero, qui signe une faena élégante à la cape. Avec douceur et profondeur, il exprime son tauromachie du cœur, loin des violences d’antan. La musique de la Pena Al Violin accompagne l’alegría du moment. Les applaudissements sincères du public saluent cette prestation maîtrisée. Un plaisir de le revoir, avant sa prochaine apparition à Orthez.
Texte et photos Nicolas Couffignal
Hier donc, 28 mai, l’évènement incontestable et d’ailleurs incontesté tant par le public présent que par la presse espagnole toute entière, ce fut la rencontre entre un très beau, très fin très armé en pointe,580Kg et très noir toro de cinq ans de Garcigrande nommé Seminariste,et , osons le rapprochement religieux, le pape de la tauromachie José Antonio Morante Camacho de la Puebla.
Faena sublime, complète et faisant hurler les gradins, se lever les impotents et garder un silence sépulcral pour attendre la mort du toro après une épée entière, et , c’est vrai, longue d’effet. Mais ainsi va le monde , au lieu d’attendre la chute de l’animal , pour contenter les impatients, Morante prit le descabello.
Trois descabellos juste pour accélérer la mort, sorte de loi Leonetti du Toro de combat, l’envolée des mouchoirs fut grandement majoritaire et s’amplifia, comme vont à mas les bravos destinés aux grands concertistes. Un seul petit homme perché à son palco, ne comprit rien à ce qui s’était passé: un faenon, admirable au suprême, réalisé par un immense maestro de 28 ans d’alternative, qui après avoir salué la présidence regagna la contre piste pour fumer, non! non! pas un havane, une simple cigarette. Tout, vous le voyez bien, était exceptionnel.
Le président tout imbu de son pouvoir se leva donc, son veston ouvert sur son embonpoint serré par une ceinture genre Pierre Cardin de chef-lieu de canton, et se rassit l’esprit tranquille. L’oreille, l’oreille énorme il ne voulait pas la donner, il avait tort mille fois tort, car c’est l’épée non les descabellos qui comptent et la pétition majoritaire du public. Mais, si de goût il avait eu la moindre trace, ce président , José Ignacio San Juan, aurait sorti les deux mouchoirs d’un coup pour offrir à Morante une Grande Porte plus que méritée.
Fermer sa veste et ouvrir ses yeux, et déjà les choses se seraient mieux passées..
Viva Morante!
Jean François Nevière
…
La matinée débutera avec une novillada où la commission taurine renouvelle sa confiance à la ganaderia locale d’Alma Serena.
Pour cette occasion, le jeune Jules Dujol, issu de l’école Adour Aficion, fait sa présentation en public. Aux côtés de ce prometteur novillero, le cartel du matin réunit :
Ekaitz Moreno Leal (école taurine Adour Aficion) en photo, Lizares (école taurine de Arles) et Jules Dujol (en photo)
L’après-midi, c’est la prestigieuse Ganaderia Valdefresno, liée depuis des années à Rion, qui vient clore cette journée taurine. Fidèle à Rion des Landes , la ganaderia apporte une nouvelle fois son lot de bravoure et de spectacle.
Le cartel de l’après-midi rassemble trois jeunes talents prometteurs :
Alejandro Rubio, issu de l’école taurine de Madrid, Hugo Tarbelli, vainqueur de la novillada matinale de l’année précédente, et Clovis Germain, triomphateur du Bolsín de Bougue, qui enchaîne les succès depuis le début de la temporada. Rendez-vous à Rion-des-Landes pour soutenir l’avenir de notre culture et permettre l’émergence des grandes figuras françaises de demain
Nicolas Couffignal texte et photos
AFAP : à Nîmes, hommage aux « Pionniers de la Tauromachie Française » au Lavoir du Puits Couchoux le jeudi 5 juin à 11h…
Avec comme Parrain d’honneur de cette manifestation Alain MONTCOUQUIOL, l’Association Française des Aficionados Prácticos s rendra hommage cette année au Maire de Nîmes Jean Paul FOURNIER pour son soutien inconditionnel à la tauromachie et décernera la médaille de l’association française des aficionados prácticos à MARC SERRANO, matador de Toros Nîmois, à l’occasion de ses 25 ans d’alternative.
En outre, l’A.F.A.P. célébrera également les 150 ans de la création de l’Opéra CARMENT, de BIZET.
Exposition des muletas des enfants réalisées dans le cadre des actions de quartiers 2025.
A l’issue de la cérémonie, apéritif au Lavoir du Puits Couchoux (rue du Puits Couchoux, au-dessous du réservoir du Mont Margarot).
Présentation des six novillos de divers élevages français qui seront lidiés le samedi 21 juin pour la Novillada de la Romería…
François André
Le Cercle Taurin Toros y Toreros de Mauguio a choisi les 6 novillos qui fouleront le sable des Arènes de Mauguio le samedi 21 juin à 17h30 lors de la 36ème Romería del Encuentro.
Tardieu Frères
Pour la 3ème année, la confiance aux ganaderos français est renouvelée. Voici 6 novillos issus des élevages François André, Tardieu frères, Gallon, Margé, Pagès-Mailhan et San Sebastian pour El Mene, Julio Norte et Victor.
Gallon Frères
La billetterie en ligne est ouverte : https://www.billetweb.fr/novillada-de-la-romeria-de-mauguio1
Margé
Infos et réservations par email à billetterie.mauguio@gmail.com ou téléphone au 06 95 93 36 22 ou 06 70 32 30 06.
Pagès-Mailhan
Prix des places :
25€ pour les Entrées Générales / 20€ pour les Clubs Taurins et les Groupes (à partir de
10 personnes) – Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans accompagnés.
San Sebastian
(Communiqué)
Site de l’association TOROFIESTA
Deux jolis rendez vous sont proposés dans les arènes de Captieux ce dimanche 1er juin 2025
A 11h aux Arènes Jean Sango de Captieux la novillada non-piquée organisée par Fiesta Garona, nous propose trois erales de La Espera avec Léo Pallatier et Clovis Germain qui se partagerons la lidia du troisième taureau.
Puis à 17h30, la novillada piquée est organisée par Rugby y Toros avec des taureaux de Gallon. Au cartel, la crème des novilleros avec : Aaron Palacio (Le torero de Zaragoza a réalisé de belles prestations à Seville et Madrid cette année et il est actuellement 3em au classement des novilleros), El Mene (solide novillero espagnol actuellement 5em au classement des novilleros) et Javier Zulueta (l’andalou est actuellement leader de l’escalafon des novilleros)
Captieux : une arène en Gironde qui est là et qui nous propose chaque année de beaux spectacles
Réservation à la Mairie de CAPTIEUX au 06 37 18 48 02 où
Plaza de toros de Cordoue. Troisième et dernière de la Feria de la Salud 2025. Lleno.
Toros de Domingo Hernández,
JUAN ORTEGA, deux oreilles et ovation.
• ANDRÉS ROCA REY, deux oreilles après avis et ovation.
• MANUEL ROMÁN -qui prenait l’alternative’, oreille et palmas.
Il y a des jours comme ça… Les difficultés à la mort des trois derniers toros privent Cordoue d’un final en apothéose de sa feria de la salud.
Tout avait pourtant magnifiquement commencé.
Une corrida homogène de Domingo Hernandez et trois toreros de personnalités différentes et complémentaires. Et une arène quasiment pleine.
Les banderilleros de Roca Rey ont salués à chacun de ses toros.
Commençons par le récipiendaire de l’alternative, Manuel Roman. Je l’avais vu pour sa première novillada piquée dans la Maestranza de Séville en juin 2023. Il m’avait impressionné par la profondeur de son toreros. Il n’a rien perdu de son talent.
Aujourd’hui il a hérité du lot offrant le moins de possibilités. Dans un costume sang de toro et or, il démarre par une série de derechazos templés qui déclenchent la musique. Le toro montre rapidement sa faiblesse. Final dans les terrains de proximité avec deux circulaires inversées. Oreille malgré un pinchazo. Avec le sixième, le toro proteste dès la deuxième série. À gauche, il parvient à le faire se livrer et se détache une deuxième série de face. Échec à l’épée qui le prive de sortir par la grande porte avec ses compagnons de cartel.
Juan Ortega a été inspiré tout l’après midi. Il montre son temple à la cape avec le second. Un toro mais qui bénéficie d’un recorrido plus long à gauche. On détache une série démarrée par la passe des fleurs, changement de main et des naturelles templées. S’en suit un final par des allers retours sur la main droite en rien trémendistes car marqués du sceau de l’élégance. Entière bien portée, deux oreilles.
Avec le quatrième, on retiendra une réception à la cape genou flèchi, un quite par tafalleras et un final par quatre molinetes et le pecho. Du Juan Ortega des grands jours. Échecs à l’épée, salut.
Roca Rey est dominateur dès les premières passes de cape. Il bénéficie du troisième toro avec le plus de fond. Le toro accroche la cape à la quatrième véronique, il la rattrape au vol et enchaîne deux chicuelinas serrées. Il reprend de la distance et en enchaîne quatre. Brindisi à José Luis Moreno, début à genou avec une demie douzaine de derechazos avec un cambio por la espalda, un changement de main et un pécho. Du grand Roca Rey. La suite est du même niveau avec des séries de derechazos généralement commencés par une trinchera qui place l’adversaire à la bonne distance. Vient à la fin une série à droite avec changement de main dans le dos et des naturelles des deux mains après avoir lâché l’épée factice. Des bernardinas serrées et deux oreilles malgré un pinchazo.
Le cinquième a moins de fond. Début par doblones en gagnant le centre. Série à droite main basse au ralenti. Idem à gauche. Le toro est vite essoré et finit par fuir le combat. Le mauvais usage du descabello réduit la récompense à un chaleureux salut.
Une grande après midi de toros qui ne se reflète pas dans les chiffres.
Michel Naudy
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