Murcia. Deuxième corrida de la Feria. 3/4 d’Arène. Taureaux de Daniel Ruiz, bien présentés, bien qu’inégaux dans l’ensemble, le troisième taureau se distinguant par sa qualité.
• MANZANARES, une oreille et une oreille.
• JUAN ORTEGA, ovation et deux oreilles.
• BORJA JIMÉNEZ, deux oreilles et silence.

Arènes d’Albacete. Huitième corrida de la Feria d’Albacete 2025. Plus d’une 1/2 Arène. Taureaux de La Quinta, bien présentés et inégaux. Le quatrième taureau était excellent, et une grâce a même été demandée. Le Cid a réalisé une des faenas de la feria mais rate un beau triomphe à cause de l’usage de l’épée. Les deuxième, troisième et cinquième étaient également bons.
• MANUEL JESÚS « EL CID », ovation et oreille avec deux tours d’arène.
• MOLINA, oreille et ovation après avertissement.
• ALEJANDRO PEÑARANDA, ovation après avertissement et ovation.

Piedrabuena (Ciudad Real) España – Toros de El Canario et Alcurrucén. Lea Vicens, ovation et oreille; Curro Díaz, ovation et ovation; Manuel Escribano, deux oreilles et deux oreilles.

Madridejos (Toledo) España – Toros de Ignacio Pérez Tabernero. Sánchez Vara, applaudissements et deux oreilles; Diego García, tour de piste et deux oreilles; et Víctor Cerrato, oreille et oreille.

Tordesillas (Valladolid) Novillada – 1/2 arène. Novillos de Dolores Aguirre Ybarra. Cid de María, Silence et Ovation; Pedro Andrés, oreille et oreille; et Salvador Herrero, ovation et silence.

Los Navalmorales (Toledo) – Novillos de Joao Dias Coutinho. Kevin Alcolado, deux oreilles et oreille; Cristian González, ovation et oreille; et Tomás González, oreille et deux oreilles.

Cadalso de los Vidrios (Madrid) – Novillos de Hdros. de José Cebada Gago, le 6em primé d’un tour de piste. Gonzalo Capdevila, ovation et oreille; Juan Alberto Torrijos, oreille et silence; et Jorge Hurtado, deux oreilles et deux oreilles et queue.

Arènes de San Marcos à Aguascalientes (Mexique) – Corrida de la Insurgencia. Lleno. Taureaux de Santa Inés, bien présentés et généralement nobles. Le quatrième, « Bravura Azul », a eu un tour de piste. Lorsqu’un torero comme Antonio Ferrera – sincère, honnête, engagé et doté d’une touche artistique naturelle – devient le maître de l’arène, du moment et même de l’atmosphère, tout peut arriver. Hier, il a coupé pas moins de trois oreilles et une queue, celle-ci à un bon taureau de Santa Inés.

• ANTONIO FERRERA, une oreille, deux oreilles et une queue

• DIEGO SÁNCHEZ, une oreille, applaudissements

• HÉCTOR GUTIÉRREZ, ovation, applaudissements

Lleno. Après le paseo, on rendit hommage à l’alguazil Yannick Boutet, le maire de Dax lui remit la médaille de la ville. Ce fut sa dernière prestation en tant qu’alguazil. 6 toros de Santiago Domecq, de présentation diverse, fils de quatre étalons differents, deux reçurent un tour de piste, le troisième « Reyesuelo », n°42, castaño, et le quatrième, « Mesdemayo », n°85, negro mulato. Ce dernier a été un toro exceptionnel auquel on a même demandé l’indulto.

Daniel Luque oreille, deux oreilles après avis et applaudissements

Clemente silence après avis, deux oreilles et la queue et saluts après petition.

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Sortie a hombros de Juan Leal et Samuel Navalón à l’issue de la clôture du Riz avec une bonne corrida de Margé. Demi-arène environ, soleil revenu.

Six toros de la ganadería Margé bien présentés et armés, au comportement varié, bons la plupart, la palme allant à Tizón (2) et Excalibur (4) crédités de la vuelta posthume.

Juan Leal : vuelta puis deux oreilles.

Diego San Román : oreille puis silence.

Samuel Navalón : oreille et oreille.

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Arènes de Salamanque, – Feria de la Virgen de la Vega 2025. Taureaux de Garcigrande, bien présentés dans l’ensemble, avec un bon comportement général. Le quatrième taureau de l’après-midi, nommé « Buenasuerte » n° 61, a été gracié par Emilio de Justo. Ils étaient généralement nobles, à l’exception du cinquième, qui était le taureau le plus terne de la corrida.

• EMILIO DE JUSTO, ovation debout après demande et deux oreilles et une queue symboliques

• JUAN ORTEGA, oreille et ovation debout

• ROCA REY, ovation debout et silence

Arènes de Muro, Majorque. Corrida. Llleno. Taureaux, par ordre : Álvaro Núñez, Román Sorando, Núñez del Cuvillo (2e bis), El Pilar, Garcigrande, El Capea et Monte La Ermita. Bien bâtis, malgré des présentations inégales. Ils ont généralement étaient de bon jeu. Le troisième taureau, El Pilar, s’est distingué en se voyant décerner un tour de piste. Les premier, quatrième et sixième taureaux se sont également distingués par leurs qualités.

• DAVID DE MIRANDA, deux oreilles et deux oreilles.

• JAVIER CONDE, ovation debout et ovation debout.

• MARCO PÉREZ, deux oreilles et deux oreilles et une queue.

Trois quarts d’arènes, temps couvert mais agréable. Six toros de Robert Margé, imposants de présentation, cinqueños, très armés, au comportement très contrasté. Les deux premiers se sont distingués par leur répétitivité et noblesse, mais que d’un seul côté. Le reste très compliqué, ils humiliaient à peine, cherchaient l’homme et les ont parfois atteint. Cette corrida de Margé n’aura pas été à la hauteur de celle de l’année dernière dans ces mêmes arènes.

Esaú Fernández : saluts et silence.

José Fernando Molina : silence et silence.

Juan de Castilla : oreille et vuelta.

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Trois quarts d’arène environ par temps changeant finissant par devenir plus clément à l’heure du paseo. Six toros d’Álvaro Núñez corrects de présentation et donnant un jeu inégal, bien que satisfaisant la plupart.

Alejandro Talavante : oreille et saluts.

Daniel Luque : deux oreilles et saluts.

Marco Pérez : oreille et oreille.

Si toutes les corridas ont leur propre histoire, il en est qui en ont une particulièrement gratinée ! Comme celle du jour qui en fait partie car toutes les prévisions météo étaient unanimes depuis pas mal de jours et effectivement, à quelques heures du paseo, il était difficile de penser qu’elle pourrait avoir lieu…

Et pourtant, à l’approche de l’heure fatidique, une lueur d’espoir a fait place au plus profond pessimisme préalable, les gens commençant à affluer et les portes à s’ouvrir pour en fin de compte, après le jet de quelques blocs de sciure, ressentir Carmen comme un signal libératoire.

Je crois que personne ne l’a regretté car cette corrida aura finalement réservé quelques moments de total intérêt. En préalable, j’ai envie de dire un grand merci à tous ceux qui l’ont rendue possible, empresa, toreros et areneros.

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