« Toromagie », le Noël solidaire taurin revient dim. 08/11, de 11h30 à 15h, aux Arenes De Bayonne. Cette année encore, l’ensemble des clubs taurins bayonnais se mobilisent pour soutenir l’association « Haur Eri » qui œuvre à égayer le quotidien des enfants malades du Centre Hospitalier Côte Basque
Le maire de la ville de Nîmes, Jean-Paul Fournier, a annoncé au média français Objectif Gard que Simon Casas continuerait à diriger les arènes de Nîmes pendant encore quatre ans. Le producteur français a remporté avec son entreprise le concours pour la gestion du Colisée du 1er janvier 2025 au 21 décembre 2028. Un contrat qui sera officialisé lors du Conseil municipal qui se tiendra le 14 décembre.
Pour accomplir ce prochain exercice, Simon Casas a rassemblé autour de lui anciens et nouveaux, avec notamment Gilles Vangelisti, Hadrien Poujol, Robert Pilès et Denis Allegrini, une équipe complémentaire qui sera à la tête de l’amphithéâtre romain jusqu’à la fin 2028 en ce qui concerne les spectacles de tauromachie, en mode délégation de service public. A cet appel d’offre, avait aussi concouru une liste menée par Pierre-Henry Callet et Julien Miletto…
Daniel Luque est proclamé une nouvelle fois vainqueur d’Azpeitia. Le torero de Gerena se trouve une fois de plus sur le podium du cycle Azpeitiarra comme vainqueur absolu d’un abonnement où il s’est monté deux tardes consécutives sur son meilleur aspect. Dans la section élevage, le prix de la meilleure corrida a été décerné à Murteira Grave, qui est entré dans l’histoire d’Azpeitia pour avoir présenté une fois de plus une corrida de grande envergure comportant le premier taureau dont la vie a été épargnée dans ces arènes : Almirante. Pour Joaquim Murteira, le prix de la course de taureaux la plus brave.
La Commission taurine présidée par Joxín Iriarte a décidé de l’attribution exceptionnelle d’une récompense au torero vénézuélien Jesús Enrique Colombo pour être l’auteur d’une grande faena face au toro Almirante, gracié, faena récompensée de deux oreilles et d’une queue symboliques. Un fait historique qui méritait une telle reconnaissance.
Les prix seront remis lors des festivités de San Ignacio 2025, un cycle pour lequel la Commission taurine travaille déjà et qui sera une fois de plus présidé par les caractéristiques de ces arènes : sérieux, rigueur, dévouement au toro et fidélité aux vainqueurs.
En cette période automnale, alors que les feuilles tombent et que l’odeur des carcasses de canard envahit l’airal , les aficionados se réunissent pour discuter de la temporada 2024. Les arènes de Rion des Landes deviennent le centre des débats animés, où l’on partage des souvenirs et des impressions de la saison écoulée, tout en spéculant sur ce que réserve la temporada 2025. La fin de la temporada est toujours empreinte d’émotion et de nostalgie, mais elle laisse également place à l’excitation de l’avenir et aux nouvelles perspectives pour les passionnés de tauromachie en attendant le début de la fiesta campera.
Les toreros de la fiesta campera
Public 3/4 d’arènes
Météo automnale et température printanière
Cuadrilla Bonijol
Présentation de la fiesta campera par Bernard Dehez
El Rafi. :une oreille et vuelta
Christian Parejo : deux oreilles
Alejandro Mora : une oreille
Julio Norte. : une oreille
El Rafi à la cape
El Rafi
Le novillo, de présentation correcte, exprime une noblesse évidente. Dès le début, El Rafi applique des véroniques et chicuelinas applaudies par le public. La charge franche au cheval se solde par une pique.
Ce novillo nécessite une faena douce, mais la première série est un peu brusque. Cependant, El Rafi se ressaisit et offre une série de derechazos avec douceur au centre de l’arène. La faena est bien construite, remplie d’alegria et accompagnée par la musique. Le public approuve avec des applaudissements ķnkuƙ, surtout après une jolie série de naturelles.
Malgré une belle charge de loin du novillo pour un recibir, l’épée est un échec.
Christian Parejo affronte son second novillo, un colorado plein d’énergie que le précédent. Ce novillo est plus réfléchi et compliqué sur la gauche, et il pousse fort au cheval.
Lors du tercio de cape, les véroniques de Parejo manquent de douceur, mais sa chicuelina après la pique est bien plus aboutie, ce qui est apprécié par le public. La première série à la muleta commence près des planches, avec des derechazos appuyés qui déclenchent la musique. Cependant, le novillero se fait prendre à deux reprises.
Il termine par des manoletinas et un joli recibir pour conclure. Le novillo est aplaudi à l’arrastre.
Alejandro Mora
Alejandro Mora affronte le troisième novillo negro, dont le trapío se distingue des précédents. Le torero, avec une belle tenue de campo, exécute de jolies véroniques, montrant une attitude de légèreté et d’alegria. Lors du tercio de pique, le novillo charge de loin. Jeremy Banti est applaudi à la pose des banderilles.
Naturelle de Alejandro Mora
Avec douceur, le matador amène le toro au centre de l’arène par de jolies passes et des naturelles qui suscitent l’émotion du public. Les derechazos mi-hauteur sont appliqués avec précision, bien que le novillo soit un peu sur la retenue. Les naturelles, exécutées avec douceur, transmettent beaucoup d’émotion. La fin de la série se fait avec des passes à droite, les pieds ancrés dans le sable. L’estocade est propre. Il obtient oreille mais en mérite deux.
+Julio Norte avec le dernier novillo de la temporada
Julio Norte affronte le dernier novillo au trapío identique au précédent, exprimant également de la noblesse. Bien que le novillo ne pousse pas trop au cheval, le novillero exécute avec alegria de jolies véroniques. La paire de banderilles posée par El Monteño est vivement applaudie.
Cependant, Julio Norte se fait prendre par le toro lors des premières passes. Il s’applique néanmoins sur les premiers muletazos à droite. Le novillo, avec une charge courte, révèle la volonté de Julio Norte de faire aussi bien que ses prédécesseurs, mais cette détermination manque de réalisme face à la noblesse et la charge courte de l’animal. Les derniers derechazos sont plus concluants, mais l’épée se place en arrière de la croix malgré l’engagement du novillero. Une oreille pour conclure cette temporada 2024 et le clap de fin dans l’airal pour refaire ce bon moment.
Les récompenses ont été remise par des enfants aficionado
La galerie photographique de la Fiesta campera de Rion-des-Landes au travers du regard de Philippe Gil Mir
DÉPLACEMENT AU SÉNAT CE MATIN POUR DÉFENDRE LA TAUROMACHIE !
« J’ai eu l’honneur ce matin d’être auditionné au Sénat pour m’exprimer sur une proposition de loi visant à interdire l’accès aux arènes aux mineurs de moins de 16 ans.
J’ai rappelé ma ferme opposition à cette initiative.
J’ai tenu à faire personnellement le déplacement car l’enjeu est très important : nous faisons face à une attaque directe contre la tauromachie, qui est une composante essentielle de notre culture et de nos traditions.
Ce projet remet également en cause la liberté des parents d’éduquer leurs enfants. Chaque famille doit avoir le droit de transmettre notre culture sans se voir imposer des réglementations.
Je crains par ailleurs que cette mesure n’annonce un objectif bien plus large, celui de l’interdiction pure et simple de la corrida. En tant que maire d’une ville taurine, je m’y oppose fermement.
Je réaffirme avec conviction mon engagement à défendre la tauromachie, à préserver nos traditions et à conserver la liberté pour les parents d’éduquer leurs enfants. »
Julien Dubois maire de Dax:
« J’étais, ce matin, auditionné par la Commission des Lois du Sénat.
Cet entretien m’a permis de m’opposer, à nouveau, à la Proposition de Loi visant à interdire l’accès aux corridas pour les mineurs de moins de 16 ans en redonnant clairement nos arguments ».
Comme si les enlèvements, le trafic des narcos, la corruption ne suffisaient pas, le pays que les aficionados a los toros aiment autant que l’Espagne taurine que le Perou ou la Colombie ou le Venezuela, je veux dire le Mexique, s’est doté d’une nouvelle présidente parfaitement anti taurine ,qui ne cache pas son intention d’interdire la corrida en utilisant pour arguments une masse de clichés imbéciles sur la soi- disant protection animale.
Pauvre Mexique, que deviendront les extraordinaires milliers d’hectares sans clôture tant la nature est généreuse , tous ces toros de Santa Coloma qui, si la corrida n’existe pas, disparaitront. Le mot est bien connu : Les toros mourront quand l’Espagne sera déjà morte.J’ai bien peur que le Mexique disparaisse , lui, en laissant disparaitre ce pan entier de son histoire: l’arrivée des toros depuis 1492
Vérité qui vaut tout autant pour le Mexique, si Mexico, Guadalajara, Monterrey, Querétaro Agu scalientes, Puebla Tlaxcala Durango Autlan ne donnet plus de corridas ce sera la fin d’une civilisation , ne riez pas,
Pauvre, pauvre Mexique! qui confie son sort à une antispéciste style Caron, style Petro( ex Farc Colombien désorrmais président de la Colombie,style Podemos…
La señora Scheinbaum , puisque tel est son nom va favotiser la typicité de son superbe pays sans traiter les vrais problèmes et dans le seul but de faire plaisir à quelques jeunes braillards imbéciles qui vous parleront de sang et de torture et que, bien sûr, puisque vous refusez de regarder les choses sérieusement,vous vous laisserez convaincre.
Au Mexique, idiote, où le sang coule t il? où la torture se pratique- t- elle vraiment?
C’est la corrida qui enlève les enfants rançonne les parents, tue les étudiants, corrompt la police assassine sans grand risque d’être puni?
Civilisation des nounours,des dessins d’enfants, des petits coeurs, des bougies ,des parcs d’attraction, tout ce qui va vous arriver , qu’on ne peut décrire, va vous arriver, par niaiserie pour commencer- et ensuite l »inculture dont finalement vous n’avez rien à faire dévorera votre pays..
Dépêchons nous, mes amis, le temps se rapproche où les hommes de grand art et de grand courage n »auront plus le droit d’exposer leur vision du monde en risquant leur vie.
Pour y être allé souvent, y compter des membres de ma famille; je n’arrive pas à croire que les grands éleveurs de toros, les grands toreros comme Adame, S Flores, PB Sanchez, Garibay, Payo, Chihuahua, j Mauricio, d San Roman ne pourront plus exprimer leur vision du toreo