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| La commission taurine de l’Association des Fêtes annonce le cartel de la corrida qui aura lieu dans le cadre des Fêtes de la Saint-Jean dimanche 22 juin 2025 à 18 h : Sébastien CASTELLA, CLEMENTE et Tomas RUFO face aux toros de Zacarias MORENO. Pour ces 3 toreros, ce sera la première corrida dans le Sud-Ouest en 2025.Cet élevage présentera pour la première fois un lot de toros dans les arènes Henri Capdeville.Nous fêterons les 25 ans de carrière de matador de toros de notre grande « figura » française, Sébastien CASTELLA qui termine la temporada 2024 avec des triomphes à Zaragoza, Lima (où il vient de gagner le précieux Scapulaire d’Or de la feria) et Madrid Vista Alegre lors de sa participation au festival pour les sinistrés de Valencia.CLEMENTE revient quant à lui à Saint-Sever où il avait fait sa première corrida en France en 2019. Il est auréolé de succès retentissants cette temporada 2024 : à Dax et Béziers, il a gracié à chaque fois un toro, à Nîmes en septembre où il est sorti a hombros par la « Porte des Consuls » avec trois oreilles. Une nouvelle « figura » en puissance…Tomas RUFO se présentera pour la première fois devant le public saint-severin. En 3 ans de carrière de matador, ce pur castillan est déjà détenteur d’un palmarès impressionnant : 88 corridas, 47 « puertas grande » dont 2 à la Monumental de Madrid-Las Ventas et 2 sorties par le Porte du Prince de la Maestranza de Séville ! Et cette année il a ouvert la « Porte des Consuls » à Nîmes et celles de Pamplona et Zaragoza. |
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« C’est une temporada particulièrement fournie, nourrie de grands moments de tauromachie et riche d’un véritable succès, populaire et artistique pour SCP France au terme d’une nouvelle temporada à la tête des Arènes de Nîmes.
Créditée d’un engouement très important, la Finale du Trophée des As venait mettre un magnifique point final à une temporada 2024 forte de 18 spectacles : 8 corridas de toros, 2 novilladas piquées, 1 novillada sans picador, 1 corrida de rejon, 1 classe pratique, 4 courses camarguaises et les Olympiades des Gardians.
En 2024, ce ne sont pas moins de 115 000 spectateurs qui ont pris place dans les Arènes de Nîmes !
Un taux de fréquentation qui a permis de remplir par 4 fois l’amphithéâtre avec notamment un « No Hay Billetes » enregistré le samedi 18 mai ! Mais aussi de belles affluences enregistrées lors des 4 courses camarguaises. Un attrait notable et des plus importants qui témoigne de l’attractivité que génère la tradition tauromachique à Nîmes et en France !
Un rayonnement qui touche un public très large et qui se propage à grande échelle également sur les réseaux sociaux des Arènes de Nîmes. Ici aussi les chiffres sont éloquents : Plus de 3 Millions de personnes atteintes et 7,5 millions de vues de vidéos sur l’ensemble des réseaux (Facebook, Instagram, X anciennement Twitter et TikTok).
Au cours de la saison taurine, toutes les plus grandes vedettes sont passées par Nîmes : Roca Rey, Sébastien Castella qui a ouvert sa 18ème Porte des Consuls, Daniel Luque souverain lors de son solo à succès face aux toros de La Quinta, Alejandro Talavante, Juan Ortega, Emilio de Justo, Tomas Rufo, Léa Vicens, Diego Ventura éblouissant, sans oublier les adieux émouvants des légendes Enrique Ponce et Pablo Hermoso de Mendoza.
Fidèle à sa philosophie, Simon Casas n’en oublie par pour autant les toreros de demain : les français Solal et Clémente qui ont ouvert pour la première fois la Porte des Consuls, Lalo de Maria auteur d’une alternative réussie, mais aussi Juan Leal, Fernando Adrian, El Rafi où David Galvan sans oublier chez les novilleros la grande prestation de Samuel Navalon.
Côté bétail, c’est une belle satisfaction d’ensemble avec notamment la très bonne tenue du bétail français de Robert Margé, Dos Hermanas (Patrick Laugier) et Raphael Chaubet (novillada sans picador). Ces deux derniers fers ont d’ailleurs eu les honneurs de voir l’un de leur exemplaire être gratifié d’un tour de piste posthume : « Favorito » chez Dos Hermanas le dimanche 19 mai et « Novillero III » de Raphael Chaubet la veille en matinée.
Trois autres vueltas al ruedo posthumes sont également à noter pour les toros « Empanado » de Victoriano del Rio, « Ultramarino » de Fermin Bohorquez et « Beduino » de La Quinta. Du côté de la course camarguaise aussi le public des arènes de Nîmes a été gâté avec la présence de l’incontestable numero 1 Zakaria Katif, qui a soulevé son 5eme Trophée des As dans la piste gardoise le 13 octobre dernier. Mais également, les meilleurs cocardiers du moment : Ripart de Didelot-Langlade, Lichou de Rambier-Cavallini, Bohémien de Rouquette, Vicaire et le double Biou d’or Castella de Saumade, ont tour à tour foulé avec brio le sable de l’amphithéâtre. »
Communiqué annonçant le bilan de la temporada 2024 dans les Arènes de Nîmes de Simon CXasas Productions.
Il faudra attendre la nouvelle année pour connaitre le nouveau délégataire à la tête des arènes de Nîmes pour les spectacles tauromachiques…
Grosse surprise ce samedi matin où il était prévu que le Conseil Municipal valide la désignation du délégataire, d’autant plus que le maire Jean-Paul Fournier avait indiqué il y a peu qu’en définitive, c’était le groupe de Simon Casas qui se verrait désigné pour les quatre prochaines années.
Mais renversement de situation dû à une erreur dans la prise en compte des documents concernant la programmation… Come l’a indiqué Frédéric Pastor, l’Adjoint à la Tauromachie, la décision définitive sera annoncée lors du Conseil Municipal du 8 février. Wait and see…

Samedi 30 novembre, la Ville de Mont de Marsan et l’école taurine Adour Aficion, fondée en 2006 par l’ancien matador Richard Milian, ont signé une convention de partenariat en vue de la mise à disposition des arènes du Plumaçon chaque samed


Vistalegre (Madrid). Festival “Madrid torea por Valencia”, en memoria de los damnificados por la DANA. LLeno de no hay billetes.
Novillos-toros de Garcigrande (1º, 2º et 7º), Jandilla, El Freixo (nº47, Niñero, vuelta al ruedo), Domingo Hernández (nº95, Lindo, vuelta al ruedo) Núñez del Cuvillo.
Enrique Ponce, vuelta al ruedo;
Sebastien Castella, oreille;
José María Manzanares, ovation et saluts,

Alejandro Talavante, deux oreilles;
Fernando Adrián, deux oreilles;

Roca Rey, ovation après avis
La novillera Olga Casado, deux oreilles et la queue.
Une fois de plus l’aficion a su répondre à l’appel de la solidarité. Nous avions déjà vu de nombreux toreros et aficionados pelle en main nettoyer les villes et villages de la province de Valence après la terrible catastrophe du mois dernier. Ce soir c’est l’aficion madrilène qui a répondu présent dans les arènes de Vistalegre qui pour la deuxième fois de leur existence ont affiché le lleno de no hay billetes pour un festival de bienfaisance en faveur de la province martyre. Tous les protagonistes toreros bien sûr, mais aussi areneros, service médical ou présidence et ganaderos ont offert leurs services. L’émotion était au rendez-vous dés le début lors du solo d’El Soro ou lorsque la banda de musica entonnait l’hymne de la province. Émotion énorme d’Enrique Ponce venu toréer pour sa province et sa ville natale de Chiva si durement touchée lors du cataclysme.
Le vétéran Enrique Ponce se devait d’aider sa province et c’est visiblement très ému que le torero de Chiva accueille au capote son adversaire qui bien dans le type de la maison est d’entrée très distrait caractère dont il ne se défera point tirant même vers le manso. Le professeur Ponce réussira à tirer quelques bons détails sans pouvoir atteindre des sommets. Un pinchazo et une entière lui ouvrent toutefois le chemin de la vuelta al ruedo .
L’exemplaire du même fer de Castella a lui aussi les mêmes défauts inhérents au fer. Une tendance à sortir seul tirant sur le mansedumbre. Pourtant l’animal possède cette noblesse qui permet de belles choses quand on le garde dans la muleta. Le début de faena est intense et de très haut niveau pour le seul mérite du torero mais le manso finit par dominer et la faena va vers le bas. Les dernières séries ne permettent que quelques détails à un Castella très au dessus de son toro. Il coupera cependant une oreille après une entière concluante bien qu’en arrière.
Jose Maria Manzanares ne peut rien tirer d’un novillo aussi vilain dehors que mauvais dedans dont il se débarrasse d’une demi suffisante.
Talavante, bien aidé par le pensionnaire du Juli, paraît renaissant toréant de capote dans un style très personnel et varié conclu d’un quite assez inédit de gaonéras et saltillas. Les qualités de noblesse du novillo permettent un bon début de faena suivi de séries de naturelles très templées et exigeantes. Le novillo se plie aux volontés du diestro qui se régale et nous régale de sa grande personnalité enfin retrouvée. Certes le novillo manque un peu de force sur la fin mais le final par naturelles toute en douceur est remarquable. La grande estocade et la mort en brave sans puntilla provoque la joie du public qui réclame les deux oreilles et la vuelta al ruedo du toro.

Le niveau monte d’un cran avec Fernando Adrian qui amène le quasi cinqueno Domingo Hernandez au centre par une longue série de véroniques au ralenti d’une rare profondeur. Adrian se révèle un des grands toreros de capote du moment ce qu’il confirme dans son quite. Sa faena est un modèle de profondeur et d’intensité tant à gauche qu’à droite. Les séries s’enchaînent toutes templées et parfaitement dessinées, la main très basse, et le novillo se plie à l’exercice sans broncher.. La dernière par doblones est le point final à une authentique œuvre d’art. L’estocade portée droite permet l’octroi sans discussion des deux oreilles. La vuelta al ruedo du toro me semble un peu généreuse.
Andres Roca Rey ne tirera rien d’un plus que fade Nunez del Cuvillo ses recours habituels aux circulaires inversées et toréo de proximité n’y changeront rien le toros terminant totalement immobile.

« La valeur n’attend pas le nombre des années et pour leur coups d’essai veulent des coups de maître » Quoi de mieux que ces vers du « Cid » de Corneille pour qualifier la prestation d’Olga Casado ce soir. La jeune novillera sortie des rangs de l’école taurine de Madrid se présentait pour la première fois de sa vie dans un plaza de la capitale et qui plus est entourée des plus prestigieux matadors de toros du moment. La jeune fille ne s’est pas laissé impressionner par la gageure pas plus que par l’ovation que lui a offert le public à sa sortie en piste. Elle ouvre les débats au capote par un travail varié, véroniques et chicuélinas élégantes. D’entrée le novillo, de décembre 2020 quand même, montre de bonnes dispositions de noblesse. Chose bizarre il sera le seul à aller deux fois au cheval, le président refusant le changement demandé. Ce ne furent toutefois que deux picotazos. Olga conclut le premier tiers par un bon quite par gaonéras très exposé.
La faena débute à genoux au centre par des inversées dans le dos et une série de derechazos dans un mouchoir le poche. La suite est un régal d’élégance et de finesse torera. Olga Casado offre à son opposant une faena fleurie et bien construite ornée de farols du plus bel effet. Le novillo répond avec noblesse el le ballet est parfait. On pensait la faena terminée mais celle-ci se devait de se conclure par quelques poncinas sous les yeux de l’inventeur de la passe. La faena avait beaucoup duré et je dois reconnaître commencer à craindre pour le final. L’estocade parfaitement exécutée et en place survient après une série de malonetinas. La mort sin puntilla du novillo libère le public qui réclame et obtient les trophées maximums.
On ne pouvait rêver meilleure conclusion pour ce festival qui n’est que le premier d’une longue série pour venir en aide au valencianos.
Jean Dupin

Cet après midi à Madrid, devant des gradins remplis à rabord s’est déroulé un magnifique festival taurin de bienfaisance pour les malheureuses victimes des inondations de la région de Valence.
Sept vedettes de la tauromachie avaient répondu présent et une jeune femme novillero nommée Olga Casado. Atmosphèreebtrès recueuillie dans les arènes, émotion palpable tout au long de la soirée.

Comment ne pas être ému devant les larmes du vieux maestro El Soro dans son fauteuil roulant ( si je ne m’abuse il en est à sa cinquantième opération chirurgicale de ses foutus membres fracassés à de nombreuses reprises. Il joua de la tropette comme il le fait toujours dans les gradins de Valence, puis le paseillo se déroula pour former une seule lignes avec d’un bord à l’autre Ponce, Castella, Manzanares, Talavante, Fernando Adrian, Roca Rey et Olga Casado.
Tous les brindis furent d’une tenue et d’une authenticité touchante, Ponce aux habitants de sa région, Chiva petite ville près de Valence dot il est originaire a été particulièrement abimée par les fleuves de boue, perdans de nombreux habitants, Castella brinda au ciel avec pudeur et l’élégance naturelle qu’onlui connait. Tous les torerosse donnèrent dans des faenas où ils ne se ménagèrent pas, m^me si le bétail offert par des élevages sans trop d’aspérité permit souevnt des gestes de grande valeur. Et à aucun moment nous ne vîmes de triomphalisme facile ou vulgaire, tout fut offert en retenue et grâce à leur distinction peronnelle, les vueltas furent d’honneur au drapeau valencien et non aux toreros triomphants.
Rien jamais rien de commun ou de vulgaire à aucn moment. Un drapeau portait cette belle expression, comme pour marquer labsence des politiquesnationaux ou valenciens: le peuple soutient le peuple.
Et en effet, le peule était là, de Madrid ou d’ailleurs, digne et ému .
Aucun membre du gouvernement régional, aucun du gouvernement de Pedro Sanchez qui se serait sans doute fait huer, évidemment pas le ministre de la culture qui fait tout pour combattre la corrida.En revanche, en barrera Isabel Diaz Ayuso la présidente de la communauté de Madrid(région), l’infante Elena toujours là, des célébrités du sport, des enfants et des jeunes en grand nombre, tout n’est donc pas perdu.
Alors dans ces conditions et compte tenu des circonstances, les critiques qui pourraient venir ternir cette tarde de toros seront méprisées ou considérées comme méprisables. Et d’ailleurs qu’aurait- on à reprocher? Castella fit de choses superbes au capote et en première partie de sa faena, Talavante nous offit sa personnalité et une gaonera enchainée par une saltillera a vous faire frissonner, Fernando Adrian qui avait hérité d’un toro toro de cinq ans se joua la vie comme si son avenir en dépendait.

Roca Rey fut mal servi par un toro soso, mais…Olga qui clôturait le bal toute de blanc vétue mit le feu aux poudres, faena complète, estocade parfaite… Le seul qui nous déçoit chaque fois qu’il sort maintenant, comme s’il avait perdu le sitio ou l’envie, c’es JMM…In fine, des toros ou novillos bas mais de bon jeu, braves les 4, 5 et 7.
On a vibré, pensé aux victimes des inondations, compris que la solidarité n’est pas un vain mot,.
L’Espagne tient par les toros, n’en déplaise aux animaliste.
Jean François Nevière



